Hier ( mercredi 28 octobre), les habitants de Nouakchott, la capitale mauritanienne et qui se rendaient au marché central ont été surpris par l’augmentation subite et folle de la hausse des tarifs de transport de 10 à 20 MRU.
En effet, le prix de la place qui était fixé à 10 ou 20 MRU passe à 30 et 40 MRU pour certaines lignes sans aucune note de la Direction du transport, sans même une explication quelconque.
La Direction du transport par la voie d'une source n'est pas au courant de cette augmentation. Alors à qui faut-il s'adresser ? Les conducteurs de taxis et les encaisseurs dans les garages de la polyclinique et aux abords du marché capital deviennent des rois à quelques heures de la fête du Maouloud.
Les tarifs sur la ligne Capital-Poteau 6 prennent la place à 30MRU, Capital-Mellah 40MRU, Clinique-PK 7 20MRU, Clinique-Carrefour Bamako 30MRU, Capitale-Toujounine 40MRU. « Une pagaille aveugle dans le secteur du transport à Nouakchott accentuée par le silence des autorités chargées de la gestion, martèle une mère de famille venue au marché LETIHAD avec ses deux enfants pour les achats de la fête » fustige-t-elle.
Ces prix sont-ils étudiés ? s’interroge Mohamed venu avec son fils de Mellah pour les préparatifs de la fête. Sans doute non puisque la tarification n'est pas conforme sur l'ensemble du secteur, ou c'est simplement comme ce fut le cas à la veille et pendant les fêtes religieuses à Nouakchott. Chaque groupe de taximan de son côté augmentent leur tarif avec une hausse de 10 MRU passant ainsi de 30 à 40 MRU.
« Je n’ai pas le choix, il fait nuit, comment ne pas accepter 30 MRU », tonne Maimouna qui traine sa fille à 21 heures, près du Musée national à la recherche d’un taxi pour Bouhdida.
« Ces prix sont pratiqués normalement, sans aucun contrôle, et pourtant nous sommes à l’approche de la fête. De tels agissements peuvent nuire et détourner l’attention du citoyen à perdre encore plus la confiance envers les autorités. Le ministère du transport et la direction du transport terrestre doivent prendre des mesures coercitives et drastiques contre de tels agissements.
Par Aboubecrine SIDI
En effet, le prix de la place qui était fixé à 10 ou 20 MRU passe à 30 et 40 MRU pour certaines lignes sans aucune note de la Direction du transport, sans même une explication quelconque.
La Direction du transport par la voie d'une source n'est pas au courant de cette augmentation. Alors à qui faut-il s'adresser ? Les conducteurs de taxis et les encaisseurs dans les garages de la polyclinique et aux abords du marché capital deviennent des rois à quelques heures de la fête du Maouloud.
Les tarifs sur la ligne Capital-Poteau 6 prennent la place à 30MRU, Capital-Mellah 40MRU, Clinique-PK 7 20MRU, Clinique-Carrefour Bamako 30MRU, Capitale-Toujounine 40MRU. « Une pagaille aveugle dans le secteur du transport à Nouakchott accentuée par le silence des autorités chargées de la gestion, martèle une mère de famille venue au marché LETIHAD avec ses deux enfants pour les achats de la fête » fustige-t-elle.
Ces prix sont-ils étudiés ? s’interroge Mohamed venu avec son fils de Mellah pour les préparatifs de la fête. Sans doute non puisque la tarification n'est pas conforme sur l'ensemble du secteur, ou c'est simplement comme ce fut le cas à la veille et pendant les fêtes religieuses à Nouakchott. Chaque groupe de taximan de son côté augmentent leur tarif avec une hausse de 10 MRU passant ainsi de 30 à 40 MRU.
« Je n’ai pas le choix, il fait nuit, comment ne pas accepter 30 MRU », tonne Maimouna qui traine sa fille à 21 heures, près du Musée national à la recherche d’un taxi pour Bouhdida.
« Ces prix sont pratiqués normalement, sans aucun contrôle, et pourtant nous sommes à l’approche de la fête. De tels agissements peuvent nuire et détourner l’attention du citoyen à perdre encore plus la confiance envers les autorités. Le ministère du transport et la direction du transport terrestre doivent prendre des mesures coercitives et drastiques contre de tels agissements.
Par Aboubecrine SIDI