La marche populaire qui sera organisée le mercredi matin, à Nouakchott, n’est pas la marche d’un mouvement, d’un groupuscule ou d’un parti politique. Elle est celle de tous les citoyens qui tiennent à exprimer leur rejet du racisme funeste qui sème les germes de la discorde.
C’est aussi la condamnation du discours de la calomnie, de la menace, de l’injure, de l’intimidation, de l’appel à la violence, de l’apologie de l’animosité, de la stigmatisation d’une communauté et de la culture des particularismes exacerbés.
C’est aussi le refus de la haine qui vise insidieusement à dresser les uns contre les autres pour les amener à se détester et à créer un climat propre à rendre hystérique le débat social.
Cette marche est plus que tout une preste réponse au flot pernicieux de haine raciste déversé sur les médias sociaux par des populistes aigris, des suppôts du racisme viscéral, des manipulateurs vendus et des semeurs de haine et de divisions dans le dessein de polluer l’atmosphère sociale pour provoquer la dislocation du lien social et susciter des bouleversements telluriques dont ils espèrent tirer les conditions d’une subversion politique.
En marchant ensemble, majorité, opposition et indépendants réaffirment leur attachement à l’unité nationale et à la cohésion sociale qui sont le socle fédérateur de toutes les composantes du pays et expriment ainsi leur rejet total de la discrimination raciale.
En joignant leurs voix ensemble, ils dénoncent en bloc l’ignominie de toutes les manigances et de toutes les tentatives visant à créer des tensions opposant les citoyens, et décrient avec force le discours de tenants de cette haine destructrice qui conspire contre notre peuple.
En s’associant par delà leurs clivages politiques, leurs différences d’opinions, leurs repères référentiels et leurs inclinations intellectuelles et idéologiques, ils tirent une sonnette d’alarme sur les risques que font peser sur notre société de pareilles déviations qui attentent à notre aspiration profonde à continuer à vivre ensemble.
Dans ce pays, maures noirs et blancs, peuls, soninkés et wolofs, hommes, femmes, jeunes, vieux, sont tous héritiers d’une longue histoire commune et d’une riche culture de paix et de tolérance. Ils sont imbus des insigne valeurs de notre sainte religion qui enseigne l’amour, la compréhension, la tolérance et la solidarité.
Dans ce pays aussi, le sang mélangé des martyrs issus de toutes nos communautés a maculé le champ de bataille sur lequel les fils de ce pays sont tombés pour défendre cette terre et ses hommes.
Ce ne sont pas les propos racistes d’une poignée de pyromanes à la périphérie de l’intelligence humaine qui pourraient mettre à mal le désir ardent des Mauritaniens de préserver leur unité, de raffermir leur solidarité et d’entretenir constamment leur volonté de vivre ensemble dans la cohésion et l’harmonie.
Ce ne sont pas non plus des discours haineux charriés par un courant extrémiste qui sauront avoir raison de l’attachement de notre peuple à vivre dans la paix et à construire résolument son devenir dans la droite ligne de ses valeurs et de ses principes.
De fait, contrairement à ce qu’espèrent ces racistes, leurs agissements répréhensibles ne font qu’exalter encore plus le sentiment national, stimuler l’élan patriotique, densifier les agrégats de la cohésion sociale et massifier les liens inter-communautaires de notre société.
Nos concitoyens ont toujours su, dans un sursaut national, se dresser comme un seul homme dans les moments décisifs pour défendre les causes sacrées, pour barrer la route à tous ceux qui essaient d’attenter aux fondamentaux constitutifs de leur société et à ses valeurs fondatrices et pour interdire l’accès à cette ligne au-delà de laquelle l’espace de l’existence et de la pérennité de notre société est mis en jeu.
C’est pourquoi ils marcheront tous ensemble pour dire d’une même voix que le racisme haineux ne triomphera pas de l’amour de la fraternité et de l’attachement à l’unité.
source AMI
C’est aussi la condamnation du discours de la calomnie, de la menace, de l’injure, de l’intimidation, de l’appel à la violence, de l’apologie de l’animosité, de la stigmatisation d’une communauté et de la culture des particularismes exacerbés.
C’est aussi le refus de la haine qui vise insidieusement à dresser les uns contre les autres pour les amener à se détester et à créer un climat propre à rendre hystérique le débat social.
Cette marche est plus que tout une preste réponse au flot pernicieux de haine raciste déversé sur les médias sociaux par des populistes aigris, des suppôts du racisme viscéral, des manipulateurs vendus et des semeurs de haine et de divisions dans le dessein de polluer l’atmosphère sociale pour provoquer la dislocation du lien social et susciter des bouleversements telluriques dont ils espèrent tirer les conditions d’une subversion politique.
En marchant ensemble, majorité, opposition et indépendants réaffirment leur attachement à l’unité nationale et à la cohésion sociale qui sont le socle fédérateur de toutes les composantes du pays et expriment ainsi leur rejet total de la discrimination raciale.
En joignant leurs voix ensemble, ils dénoncent en bloc l’ignominie de toutes les manigances et de toutes les tentatives visant à créer des tensions opposant les citoyens, et décrient avec force le discours de tenants de cette haine destructrice qui conspire contre notre peuple.
En s’associant par delà leurs clivages politiques, leurs différences d’opinions, leurs repères référentiels et leurs inclinations intellectuelles et idéologiques, ils tirent une sonnette d’alarme sur les risques que font peser sur notre société de pareilles déviations qui attentent à notre aspiration profonde à continuer à vivre ensemble.
Dans ce pays, maures noirs et blancs, peuls, soninkés et wolofs, hommes, femmes, jeunes, vieux, sont tous héritiers d’une longue histoire commune et d’une riche culture de paix et de tolérance. Ils sont imbus des insigne valeurs de notre sainte religion qui enseigne l’amour, la compréhension, la tolérance et la solidarité.
Dans ce pays aussi, le sang mélangé des martyrs issus de toutes nos communautés a maculé le champ de bataille sur lequel les fils de ce pays sont tombés pour défendre cette terre et ses hommes.
Ce ne sont pas les propos racistes d’une poignée de pyromanes à la périphérie de l’intelligence humaine qui pourraient mettre à mal le désir ardent des Mauritaniens de préserver leur unité, de raffermir leur solidarité et d’entretenir constamment leur volonté de vivre ensemble dans la cohésion et l’harmonie.
Ce ne sont pas non plus des discours haineux charriés par un courant extrémiste qui sauront avoir raison de l’attachement de notre peuple à vivre dans la paix et à construire résolument son devenir dans la droite ligne de ses valeurs et de ses principes.
De fait, contrairement à ce qu’espèrent ces racistes, leurs agissements répréhensibles ne font qu’exalter encore plus le sentiment national, stimuler l’élan patriotique, densifier les agrégats de la cohésion sociale et massifier les liens inter-communautaires de notre société.
Nos concitoyens ont toujours su, dans un sursaut national, se dresser comme un seul homme dans les moments décisifs pour défendre les causes sacrées, pour barrer la route à tous ceux qui essaient d’attenter aux fondamentaux constitutifs de leur société et à ses valeurs fondatrices et pour interdire l’accès à cette ligne au-delà de laquelle l’espace de l’existence et de la pérennité de notre société est mis en jeu.
C’est pourquoi ils marcheront tous ensemble pour dire d’une même voix que le racisme haineux ne triomphera pas de l’amour de la fraternité et de l’attachement à l’unité.
source AMI