Les USA ce n'est pas la France. La diffamation, la calomnie « est autorisée » au nom de la liberté d'expression. La justice peut exceptionnellement, au cas par cas, demander le retrait de telle ou telle publication mais c'est très rare. De là que certains mauritaniens planqués là-bas se permettent d'abuser de la liberté d'expression en toute impunité car le principe aux USA consiste à laisser la personne diffamée répondre selon les mêmes termes et le même procédé. Ainsi on y trouve des publicités comparatives où tout est permis même la diffamation.
Les américains ont l'habitude des propos outranciers même venant de candidats à l'élection présidentielle qui se traitent de tous les noms. Adi chez eux. Le problème c’est qu’avec internet, quelqu’un là-bas, surtout prétendument activiste indépendant de forces financières inavouables, peut s’en prendre à n’importe qui sur un autre continent, homme d’affaire, politique, citoyen lambda, intoxiquant des followers ou même des services de renseignements économiques qui ne connaissent pas les fondements de cette liberté d’expression radicale américaine.
Face aux tueurs à gages sur internet planqués aux USA capables de nuire à une réputation aux yeux du commun des mortels, dans le cas de Yacoub Sidya, il faudrait qu'il fasse comme les blogueurs en exil et se mette à leur répondre selon ce qu’ils valent pour être digne du droit américain en matière de droit de réponse. Ce n'est pas de son niveau et il n'a pas ce temps.
Pour avoir la paix, Yacoub devrait renoncer aux marchés gagnés par son mérite dans certains pays pour apaiser les commanditaires mauvais perdants qui alimentent les cybercriminels professionnels de la diffamation et payer il Pizzo, taxe de la petite mafia sur internet qui rackette les hommes d'affaires ; il refuse le procédé et préfère payer des avocats qui lui coûtent plus cher. C'est une question de principe. Il a raison.
Quant à l’histoire de sa réussite. Ce ne fut pas de tout repos : après avoir créé de zéro MSS, société de sécurité et de transport de fonds en Mauritanie avec une belle réussite financière, Aziz a créé une loi pour le dépouiller de son entreprise MSS au profit d’un proche. Yacoub a refusé le deal qui consistait à l'exploiter comme un vulgaire wogave. Aziz lui a alors envoyé en plus les impôts à sa solde. Au lieu de plier le genou pour survivre en Mauritanie, Yacoub a quitté le pays sans presque rien et le proche d’Aziz a alors prospéré en récupérant le fruit de son travail. Ce n’est pas un secret d’Etat.
Le reste est une affaire de bonne étoile. Il a repris ses activités petit à petit, fort de son expérience dans le domaine de la sécurité et des transports de fonds en Mauritanie. Les partenaires qui le rencontrent à l'étranger jugent sur pièces et non sur les ragots sur internet qui suivent sa réussite. Quand on travaille dans le domaine de la sécurité et du transport de fonds, on gère des sommes considérables. Il a voulu se diversifier, il a créé sa compagnie d'aviation qui prospère surtout dans la sous-région etc. Cela fait des jaloux, rien de plus normal.
Il n'est rentré en Mauritanie qu'au bénéfice de l'apaisement du climat politique, économique et social depuis l'élection du président de la république, son excellence Mohamed Ould Cheikh Mohamed Ahmed Ould Ghazouani.
A propos des partenaires russes, il a été clair. Il n'a pas renié ses rapports avec des hommes d'affaires russes quand la russie était fréquentable par les USA et quand les sanctions sont tombées suite à la tournure des relations entre l’occident et la Russie, il a pris ses distances comme ferait tout homme d'affaire qui travaille sur plusieurs continents et veut la clarté et la sérénité pour ses affaires le temps que la politique internationale en question s'apaise.
Certains ont trouvé là de quoi alimenter des suspicions sans pouvoir apporter la moindre preuve mais sachant qu'en matière de calomnie comme dit l'adage " calomniez ! calomniez ! il en restera toujours quelque chose ».
Face à cela, il faut se battre avec les armes de la justice là où la diffamation est reconnue pour sa nuisance notamment en Europe et ailleurs dans le monde et laisser les cybercriminels mauritaniens qui sont aux USA abuser de l’impunité en la matière jusqu’à certaines limites car tout n’y est pas permis. En effet, aux USA avec de bons avocats la nuisance de la diffamation finit par être reconnue et les coupables refroidis sérieusement.
Cela dit, quand on rien à se reprocher d'illégal, il faut rester serein car Dieu suffit comme témoin. Prier car face aux bienfaits d'Allah qu’Il donne à qui il veut, la mauvaise foi, la jalousie, la calomnie, l’envie ne sont que les stratagèmes du Malin. Le coran le rappelle souvent : au-delà de la loi du talion, le pardon est mieux et laisser la justice à Allah comme le rappelle le verset 30 de la sourate 8 : " Et (rappelle-toi) le moment où les mécréants complotaient contre toi pour t’emprisonner ou t’assassiner ou te bannir. Ils complotèrent, mais Allah fit échouer leur complot, et Allah est le meilleur en stratagèmes. "
En effet Allah guide qui Il veut et égare qui Il veut.
VLANE A.O.S.A
Les américains ont l'habitude des propos outranciers même venant de candidats à l'élection présidentielle qui se traitent de tous les noms. Adi chez eux. Le problème c’est qu’avec internet, quelqu’un là-bas, surtout prétendument activiste indépendant de forces financières inavouables, peut s’en prendre à n’importe qui sur un autre continent, homme d’affaire, politique, citoyen lambda, intoxiquant des followers ou même des services de renseignements économiques qui ne connaissent pas les fondements de cette liberté d’expression radicale américaine.
Face aux tueurs à gages sur internet planqués aux USA capables de nuire à une réputation aux yeux du commun des mortels, dans le cas de Yacoub Sidya, il faudrait qu'il fasse comme les blogueurs en exil et se mette à leur répondre selon ce qu’ils valent pour être digne du droit américain en matière de droit de réponse. Ce n'est pas de son niveau et il n'a pas ce temps.
Pour avoir la paix, Yacoub devrait renoncer aux marchés gagnés par son mérite dans certains pays pour apaiser les commanditaires mauvais perdants qui alimentent les cybercriminels professionnels de la diffamation et payer il Pizzo, taxe de la petite mafia sur internet qui rackette les hommes d'affaires ; il refuse le procédé et préfère payer des avocats qui lui coûtent plus cher. C'est une question de principe. Il a raison.
Quant à l’histoire de sa réussite. Ce ne fut pas de tout repos : après avoir créé de zéro MSS, société de sécurité et de transport de fonds en Mauritanie avec une belle réussite financière, Aziz a créé une loi pour le dépouiller de son entreprise MSS au profit d’un proche. Yacoub a refusé le deal qui consistait à l'exploiter comme un vulgaire wogave. Aziz lui a alors envoyé en plus les impôts à sa solde. Au lieu de plier le genou pour survivre en Mauritanie, Yacoub a quitté le pays sans presque rien et le proche d’Aziz a alors prospéré en récupérant le fruit de son travail. Ce n’est pas un secret d’Etat.
Le reste est une affaire de bonne étoile. Il a repris ses activités petit à petit, fort de son expérience dans le domaine de la sécurité et des transports de fonds en Mauritanie. Les partenaires qui le rencontrent à l'étranger jugent sur pièces et non sur les ragots sur internet qui suivent sa réussite. Quand on travaille dans le domaine de la sécurité et du transport de fonds, on gère des sommes considérables. Il a voulu se diversifier, il a créé sa compagnie d'aviation qui prospère surtout dans la sous-région etc. Cela fait des jaloux, rien de plus normal.
Il n'est rentré en Mauritanie qu'au bénéfice de l'apaisement du climat politique, économique et social depuis l'élection du président de la république, son excellence Mohamed Ould Cheikh Mohamed Ahmed Ould Ghazouani.
A propos des partenaires russes, il a été clair. Il n'a pas renié ses rapports avec des hommes d'affaires russes quand la russie était fréquentable par les USA et quand les sanctions sont tombées suite à la tournure des relations entre l’occident et la Russie, il a pris ses distances comme ferait tout homme d'affaire qui travaille sur plusieurs continents et veut la clarté et la sérénité pour ses affaires le temps que la politique internationale en question s'apaise.
Certains ont trouvé là de quoi alimenter des suspicions sans pouvoir apporter la moindre preuve mais sachant qu'en matière de calomnie comme dit l'adage " calomniez ! calomniez ! il en restera toujours quelque chose ».
Face à cela, il faut se battre avec les armes de la justice là où la diffamation est reconnue pour sa nuisance notamment en Europe et ailleurs dans le monde et laisser les cybercriminels mauritaniens qui sont aux USA abuser de l’impunité en la matière jusqu’à certaines limites car tout n’y est pas permis. En effet, aux USA avec de bons avocats la nuisance de la diffamation finit par être reconnue et les coupables refroidis sérieusement.
Cela dit, quand on rien à se reprocher d'illégal, il faut rester serein car Dieu suffit comme témoin. Prier car face aux bienfaits d'Allah qu’Il donne à qui il veut, la mauvaise foi, la jalousie, la calomnie, l’envie ne sont que les stratagèmes du Malin. Le coran le rappelle souvent : au-delà de la loi du talion, le pardon est mieux et laisser la justice à Allah comme le rappelle le verset 30 de la sourate 8 : " Et (rappelle-toi) le moment où les mécréants complotaient contre toi pour t’emprisonner ou t’assassiner ou te bannir. Ils complotèrent, mais Allah fit échouer leur complot, et Allah est le meilleur en stratagèmes. "
En effet Allah guide qui Il veut et égare qui Il veut.
VLANE A.O.S.A