Le ministère du Commerce de l’Industrie et du Tourisme a abrité, mardi, une réunion de la Commission chargée de la mise en place du Code à barres industriel en Mauritanie.
Ouvrant les travaux de cette réunion, M. Ahmed Salem Ould Bouhedde, secrétaire général du ministère, a souligné l’importance du Code à barres pour la protection et la traçabilité des produits industriel nationaux.
La mise en place du Code à barres contribuera «à faciliter la commercialisation de nos produits industriels et encourager nos exportations, notamment après la signature d’une convention avec la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest et la Zone de libre échange en Afrique (ZLECA)», a souligné le secrétaire général, avant d’ajouter que «le secteur de l’industrie s’attelle actuellement à mettre en place un système d’identification par code à barres».
«Le système d’identification dépend largement de la mise en place de ce code pour chaque produit qui garantit une nette visibilité des produits de chaque secteur, surtout qu’il comprend des chiffres indiquant l’origine du produit par pays constituant le «préfixe pays», a-t-il rappelé.
«La mise en place de ce système de codification mettra un terme au désordre régnant dans le secteur, où les produits sont fabriqués et commercialisés sans aucun moyen d’identification de leur origine», a-t-il souligné.
«Dans d’autres cas, des usines fabriquent des marques avec une identification qui n’est pas enregistrée dans notre pays ou inscrite dans des pays étrangers, ce qui ne permet pas le suivi de ces produits sur le marché national», a-t-il déploré.
«Le but de cette rencontre à laquelle participent les représentants des secteurs concernés par les industries et le commerce consiste à trouver des solutions rapides en vue de l’adoption ce système d’identification dans notre pays», a-t-il précisé, avant de procéder à l’ouverture des travaux de la Commission.
AMI
Ouvrant les travaux de cette réunion, M. Ahmed Salem Ould Bouhedde, secrétaire général du ministère, a souligné l’importance du Code à barres pour la protection et la traçabilité des produits industriel nationaux.
La mise en place du Code à barres contribuera «à faciliter la commercialisation de nos produits industriels et encourager nos exportations, notamment après la signature d’une convention avec la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest et la Zone de libre échange en Afrique (ZLECA)», a souligné le secrétaire général, avant d’ajouter que «le secteur de l’industrie s’attelle actuellement à mettre en place un système d’identification par code à barres».
«Le système d’identification dépend largement de la mise en place de ce code pour chaque produit qui garantit une nette visibilité des produits de chaque secteur, surtout qu’il comprend des chiffres indiquant l’origine du produit par pays constituant le «préfixe pays», a-t-il rappelé.
«La mise en place de ce système de codification mettra un terme au désordre régnant dans le secteur, où les produits sont fabriqués et commercialisés sans aucun moyen d’identification de leur origine», a-t-il souligné.
«Dans d’autres cas, des usines fabriquent des marques avec une identification qui n’est pas enregistrée dans notre pays ou inscrite dans des pays étrangers, ce qui ne permet pas le suivi de ces produits sur le marché national», a-t-il déploré.
«Le but de cette rencontre à laquelle participent les représentants des secteurs concernés par les industries et le commerce consiste à trouver des solutions rapides en vue de l’adoption ce système d’identification dans notre pays», a-t-il précisé, avant de procéder à l’ouverture des travaux de la Commission.
AMI