La validation des outils pédagogique du mentorat clinique des sages-femmes fait l’objet d’un atelier régional, dont les travaux ont débuté, lundi à Nouakchott, à l’initiative du ministère de la santé avec la collaboration du bureau régional du fonds des Nations Unies pour la Population (UFPA) pour l’Afrique de l’Ouest du Centre.
La rencontre est destinée à la validation des outils qui vont permettre d’améliorer la qualité de la formation et par conséquent celle des soins prodigués par les sages-femmes.
Dans son mot d’ouverture, le ministre de la santé, Dr. Mohamed Nédhirou Ould Hamed, a précisé que l’augmentation du taux de décès de maternité maternelle et néonatale constitue un défi majeur pour l’Afrique, particulièrement l’Afrique de l’Ouest et du centre.
Il a ajouté que le 2ème objectif des ODD, qui porte la réduction de ce taux, actuellement de 582 décès sur 100.000 naissances vivantes, à 70 décès seulement à l’horizon 2030, va en droite ligne avec les engagements du Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, portant l’amélioration de l’état de santé des populations, notamment les franges vulnérables de la société.
Le ministre a enfin salué le choix de la Mauritanie pour abriter cette formation et réitéré l’engagement de son département à lui apporter l’accompagnement et le suivi nécessaires à l’atteinte de ses objectifs.
Pour sa part, le représentant du bureau régional du fonds des Nations Unies pour la Population, M. Susten Dogro, a précisé que cette formation des mentors est hautement stratégique pour notre région où on enregistre les taux de mortalité maternels et néonatals les plus élevés.
Pour sa part, le représentant du l’UNFP en Mauritanie, M. Mohamed El Kory Boutou, a précisé que l’approche du mentorat a été expérimentée depuis bientôt trois ans dans les pays de l’Afrique de l’Ouest, notamment le Burkina, le Mali et Madagascar et quelle a donné des résultats encourageants en matière de réduction de la maternité maternelle, surtout en période périnatale.
AMI
La rencontre est destinée à la validation des outils qui vont permettre d’améliorer la qualité de la formation et par conséquent celle des soins prodigués par les sages-femmes.
Dans son mot d’ouverture, le ministre de la santé, Dr. Mohamed Nédhirou Ould Hamed, a précisé que l’augmentation du taux de décès de maternité maternelle et néonatale constitue un défi majeur pour l’Afrique, particulièrement l’Afrique de l’Ouest et du centre.
Il a ajouté que le 2ème objectif des ODD, qui porte la réduction de ce taux, actuellement de 582 décès sur 100.000 naissances vivantes, à 70 décès seulement à l’horizon 2030, va en droite ligne avec les engagements du Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, portant l’amélioration de l’état de santé des populations, notamment les franges vulnérables de la société.
Le ministre a enfin salué le choix de la Mauritanie pour abriter cette formation et réitéré l’engagement de son département à lui apporter l’accompagnement et le suivi nécessaires à l’atteinte de ses objectifs.
Pour sa part, le représentant du bureau régional du fonds des Nations Unies pour la Population, M. Susten Dogro, a précisé que cette formation des mentors est hautement stratégique pour notre région où on enregistre les taux de mortalité maternels et néonatals les plus élevés.
Pour sa part, le représentant du l’UNFP en Mauritanie, M. Mohamed El Kory Boutou, a précisé que l’approche du mentorat a été expérimentée depuis bientôt trois ans dans les pays de l’Afrique de l’Ouest, notamment le Burkina, le Mali et Madagascar et quelle a donné des résultats encourageants en matière de réduction de la maternité maternelle, surtout en période périnatale.
AMI