Quand l’érudit prêche la gloire du ciel, pour gagner les biens de la terre, c’est le signe que toutes structures de la morale et tous les principes de valeurs humaines se sont effondrés.
Quand pour une campagne électorale, les serviteurs, (Kerviteurs*) de l’état ne reculent devant aucune dépense, ni aucun mensonge, pour se faire voir, suivant les règles d’une allégeance, passepartout, usitée comme un lit de prostitution pour celui qui a le pouvoir de donner ou d’élire, ce sont pour sûr les symptômes d’une nation bétonnée sur place pour une longue…très longue période.
Est-il concevable que pas un dix-millionième de toutes ces fortunes charriées au vent pour les campagnes, les apparences, la luxure prohibée en islam, et devenue indécente par la situation du peuple, ne soit dépensée pour porter secours au un dixième d’un peuple qui croupit sous la misère les catastrophes et l’ignorance ?
Chers concitoyens dites « EUF », vous êtes foutus.
Ne vous tuez pas pour être la tête. C’est là où se situe le plus de mal.
Pensez-vous que toutes ces cylindrées, ces V8, V9 et V10 garées, pour le prestige devant vos villas, échappent à l’attention du Bon Dieu ? Alors qu’il n’y a même pas une ambulance de secours, pour sauver une vie qui s’écrase de douleur aux abords de la ville ?
Quel est la nature de ce grand amour que vous jurez pour vos populations ?
N’est-ce-pas le même qu’on éprouve pour son beefsteak fumant ?
Revenez à la raison. Celui qui vous a prêté la puissance pour disposer du sort de Ses créatures, est capable à tout moment, de frapper par sa Toute Puissance pour vous réduire à moins que quand Il vous a créés pour la première fois.
Essayer de laver les mauvais comportements en famille, ou au minimum d’essorer la famille, pour réduire la mauvaise qualité de ce cinéma.
Un homme de Dieu doit intervenir uniquement dans les défectuosités et les imperfections qui dérangent la bonne relation entre les hommes, ou qui tournent du chemin du Créateur. Nos plus grandes déviations n’ont enregistré aucune intervention de l’un de nos hommes de sciences religieuses.
Par contre les petites choses de ce monde, surtout à issue lucrative, sont l’objet de l’attention particulière de ceux qui semblent s’être tournés vers les délices d’ici-bas, agitant la carte blanche du haut. Ceci est immoral et discrédite tout celui qui se prend à ce jeu « tartufien », qui ne cadre ni avec notre foi, ni avec nos principes ou nos traditions.
Ceux qui sillonnent l’étranger transportant, en vue de les vendre, la religion, les handicaps du pays, ses attraits ou ses charmes, sont des traitres. Ils doivent l’entendre et en payer le prix.
Ce ne sont pas les campagnes qui vont les laver d’une honte transfrontalière, qu’ils ont cultivée, en toute conscience, pour un gain qui ne sera jamais propre. Ils savent de quoi je parle.
Je préfère ne pas aller plus loin.
Un président qui dit : « je suis curieux de savoir », est curieux à entendre.
A-t-il le droit d’être curieux de « savoir » monsieur le président?
Avec les renseignement, l’administration, le ministère de l’intérieur, un président a-t-il le droit moralement d’ignorer ce qui se passe au sein d’un peuple dont les souffrances ne sont connues à l’intérieur, qu’en premier lieu, par leur large diffusion à l’extérieur et dont il est le premier responsable ?
Et on parle de mandat.
Mais quel mandat ? Il n’y-a pas de mandat. A part celui qu’on signe après chaque nomination. Une distinction, octroyée à un pauvre bougre, selon les critères que nous connaissons, pour se nourrir de la chair de ses concitoyens.
La réalité est que nous sommes divisés en maitres et esclaves.
Ceux qui arrivent à franchir le mur de Berlin vers l’autre côté, vont s’appliquer à ce que ceux qui sont restés derrière le mur, restent « à leur place ». C’est-à-dire des misérables, abrutis par la faim, les maladies, l’ignorance et les souffrances. Des parias incapables d’envoyer un enfant à l’école ou de sauver la vie de l’un des leurs frappé par la maladie. Des chairs à campagne électorale, qui seront affichés au besoin, pour que le nombre soit là et que le compte soit bon.
Dans cet engrenage immoral, certain citoyens n’accèderont jamais à un droit. Ils resteront des cibles de l’injustice… Tant que Dieu l’acceptera.
Cadres dites « EUF ». Vous allez crever.
Vouloir édifier une société sur le faux est le plus insolent défi au Gouverneur de l’univers.
Hocher la tête, applaudir, sans discontinuer ou arborer un large sourire derrière une caméra, ou à côté d’un chef de l’état est une attitude, qui a perdu sa longitude et sa latitude : Le peuple comprend et vous regarde avec mépris. Vous ne méritez pas un tel rôle. Soyez plus grand. Votre dignité est le support de notre honneur national.
Le seul trésor que possédaient vos pères et vos grands-pères, et qui n’acceptait aucune dévaluation était le refus de plier aux bassesses ou d’adorer les biens périssables de ce monde.
Ils avaient les yeux fixés sur Le Très Haut et leurs affaires marchaient toutes seules, avec quelques brebis quelques vaches, ou quelques chamelles. Ce que vos millions ne pourront vous procurer aujourd’hui.
Avec le ventre plein, vous sentirez toujours la faim. On ne peut être comblé au milieu de certaine misères.
Quand on reste indiffèrent aux ramifications du cancer du faux dans les rouages de l’état, on signe par-là, la fin de la nation.
La Mauritanie ne mérite pas un tel sort.
Nous marquons le pas sur place et faisons le tour des progrès du monde en quatre-vingt jours, par les belles paroles et les prétentions vaniteuses.
Alors que la parole ne peut nourrir de la faim, ni étancher la soif, ou rassurer de la crainte.
La responsabilité de tout ce monde n’est pas une mince affaire.
Il faut que le Vrai transparaisse dans les actions et que la justice gouverne et gère le partage des faveurs, de la protection et de la tutelle.
Un conseil de ministre qui nomme une seule frange au détriment des autres, est en flagrant délit de salir le nom de la nation, et ne représente que lui-même.
Une congrégation, une fratrie, une secte ou une bande, qui mendie, qui conspire ou complote avec l’étranger, pour nous plier à ce qui ne sied pas à notre héritage, à notre patrimoine ou à nos traditions, vole notre volonté et ternit notre intégrité. Elle est à combattre.
Un parti politique, qui prêche ouvertement le racisme, les schismes, la division, ou la manipulation de notre unité nationale, constitue une preuve éclatante que l’autorité est absente et que la priorité de ses priorités n’est que le pouvoir, pour pouvoir pourvoir ses caisses et ses comptes en banques.
Rien de plus.
Ceux qui s’enrichissent à vue d’œil, doivent se rendre compte que voler demande un peu plus de discrétion. Les administrés sont démunis, affaiblis, mais ils pensent. Ce sont peut-être des esclaves dans l’esprit de certain, mais des esclaves pensant. Leurs yeux aiguisés à scruter l’avenir et l’espoir, sont devenu des télescopes de précision mathématique, qui observent vos état trient et analysent les mensonges. Ceci demande un peu de décence.
Une Mauritanie propre, juste, fraternelle et intègre, constitue la meilleure des garantie, pour que les enfants pour lesquels vous accomplissez ce que vous accomplissez, trouvent un cadre national, dans lequel ils s’épanouiront, et marcheront les têtes hautes et non pas les queues entre les jambes. Pensez-y.
Les fausses manières, les faux témoignages, les faux semblants, l’hypocrisie, sont étrangers a notre société. Ce sont des phénomènes nés avec l’avènement de l’argent et de la vie du mensonge et des apparences.
N’acceptez pas de laisser vos frères dans la nécessité, alors que vous nagez dans une opulence, immorale. Vous êtes plus grands et plus nobles que ces petits appétits qui ne durent que l’espace d’une poussée de cheveux blancs.
Les mauvais raisonnements sont les termites de l’avenir de notre pays. Arrêtons-nous un instant, pour dire non aux cancres de tout bord qui crient Bien avec la langue et scandent Mal avec l’acte et le cœur. C’est aussi une forme de sincérité et d’amour de dire à son frère ce qu’il ne voit pas derrière sa bosse.
Ce n’est pas celui qui gouverne qui change la situation, mais un peuple conscient qui n’applaudit que pour ceux qui le méritent.
Si vous êtes avec Dieu, vous ne craignez rien et si vous agissez contre Sa Volonté, vous n’avez aucun espoir.
Le secret du bonheur est dans la modestie, la modération et la droiture. Le partage donne la force et divulgue le sourire.
Le perdant est celui qui ne laisse pour l’histoire que les mauvaises images. Ne faites pas du malheur des autres, un prix pour votre bonheur. Vous arroseriez votre futur et celui de vos progéniture de remord, de haine et de chagrin.
Suffisez-vous de peu. Une chaumière explosant de joie est meilleure qu’un château tapissé d’égoïsme, construit de crimes et peint de tristesse.
La sobriété et la satisfaction du nécessaire sont plus précieuses que les trésors.
Puisse Allah nous protéger, tous et nous remettre sur le chemin que nous avions choisi au commencement. Celui de l’honneur, de la fraternité et de la justice. Amine.
* « Kerviteur » mot inventé, que j’ai tiré de Kervaat. Le gouffre qui avale tout ce qui l’approche.
Mohamed Hanefi. Koweït.
Quand pour une campagne électorale, les serviteurs, (Kerviteurs*) de l’état ne reculent devant aucune dépense, ni aucun mensonge, pour se faire voir, suivant les règles d’une allégeance, passepartout, usitée comme un lit de prostitution pour celui qui a le pouvoir de donner ou d’élire, ce sont pour sûr les symptômes d’une nation bétonnée sur place pour une longue…très longue période.
Est-il concevable que pas un dix-millionième de toutes ces fortunes charriées au vent pour les campagnes, les apparences, la luxure prohibée en islam, et devenue indécente par la situation du peuple, ne soit dépensée pour porter secours au un dixième d’un peuple qui croupit sous la misère les catastrophes et l’ignorance ?
Chers concitoyens dites « EUF », vous êtes foutus.
Ne vous tuez pas pour être la tête. C’est là où se situe le plus de mal.
Pensez-vous que toutes ces cylindrées, ces V8, V9 et V10 garées, pour le prestige devant vos villas, échappent à l’attention du Bon Dieu ? Alors qu’il n’y a même pas une ambulance de secours, pour sauver une vie qui s’écrase de douleur aux abords de la ville ?
Quel est la nature de ce grand amour que vous jurez pour vos populations ?
N’est-ce-pas le même qu’on éprouve pour son beefsteak fumant ?
Revenez à la raison. Celui qui vous a prêté la puissance pour disposer du sort de Ses créatures, est capable à tout moment, de frapper par sa Toute Puissance pour vous réduire à moins que quand Il vous a créés pour la première fois.
Essayer de laver les mauvais comportements en famille, ou au minimum d’essorer la famille, pour réduire la mauvaise qualité de ce cinéma.
Un homme de Dieu doit intervenir uniquement dans les défectuosités et les imperfections qui dérangent la bonne relation entre les hommes, ou qui tournent du chemin du Créateur. Nos plus grandes déviations n’ont enregistré aucune intervention de l’un de nos hommes de sciences religieuses.
Par contre les petites choses de ce monde, surtout à issue lucrative, sont l’objet de l’attention particulière de ceux qui semblent s’être tournés vers les délices d’ici-bas, agitant la carte blanche du haut. Ceci est immoral et discrédite tout celui qui se prend à ce jeu « tartufien », qui ne cadre ni avec notre foi, ni avec nos principes ou nos traditions.
Ceux qui sillonnent l’étranger transportant, en vue de les vendre, la religion, les handicaps du pays, ses attraits ou ses charmes, sont des traitres. Ils doivent l’entendre et en payer le prix.
Ce ne sont pas les campagnes qui vont les laver d’une honte transfrontalière, qu’ils ont cultivée, en toute conscience, pour un gain qui ne sera jamais propre. Ils savent de quoi je parle.
Je préfère ne pas aller plus loin.
Un président qui dit : « je suis curieux de savoir », est curieux à entendre.
A-t-il le droit d’être curieux de « savoir » monsieur le président?
Avec les renseignement, l’administration, le ministère de l’intérieur, un président a-t-il le droit moralement d’ignorer ce qui se passe au sein d’un peuple dont les souffrances ne sont connues à l’intérieur, qu’en premier lieu, par leur large diffusion à l’extérieur et dont il est le premier responsable ?
Et on parle de mandat.
Mais quel mandat ? Il n’y-a pas de mandat. A part celui qu’on signe après chaque nomination. Une distinction, octroyée à un pauvre bougre, selon les critères que nous connaissons, pour se nourrir de la chair de ses concitoyens.
La réalité est que nous sommes divisés en maitres et esclaves.
Ceux qui arrivent à franchir le mur de Berlin vers l’autre côté, vont s’appliquer à ce que ceux qui sont restés derrière le mur, restent « à leur place ». C’est-à-dire des misérables, abrutis par la faim, les maladies, l’ignorance et les souffrances. Des parias incapables d’envoyer un enfant à l’école ou de sauver la vie de l’un des leurs frappé par la maladie. Des chairs à campagne électorale, qui seront affichés au besoin, pour que le nombre soit là et que le compte soit bon.
Dans cet engrenage immoral, certain citoyens n’accèderont jamais à un droit. Ils resteront des cibles de l’injustice… Tant que Dieu l’acceptera.
Cadres dites « EUF ». Vous allez crever.
Vouloir édifier une société sur le faux est le plus insolent défi au Gouverneur de l’univers.
Hocher la tête, applaudir, sans discontinuer ou arborer un large sourire derrière une caméra, ou à côté d’un chef de l’état est une attitude, qui a perdu sa longitude et sa latitude : Le peuple comprend et vous regarde avec mépris. Vous ne méritez pas un tel rôle. Soyez plus grand. Votre dignité est le support de notre honneur national.
Le seul trésor que possédaient vos pères et vos grands-pères, et qui n’acceptait aucune dévaluation était le refus de plier aux bassesses ou d’adorer les biens périssables de ce monde.
Ils avaient les yeux fixés sur Le Très Haut et leurs affaires marchaient toutes seules, avec quelques brebis quelques vaches, ou quelques chamelles. Ce que vos millions ne pourront vous procurer aujourd’hui.
Avec le ventre plein, vous sentirez toujours la faim. On ne peut être comblé au milieu de certaine misères.
Quand on reste indiffèrent aux ramifications du cancer du faux dans les rouages de l’état, on signe par-là, la fin de la nation.
La Mauritanie ne mérite pas un tel sort.
Nous marquons le pas sur place et faisons le tour des progrès du monde en quatre-vingt jours, par les belles paroles et les prétentions vaniteuses.
Alors que la parole ne peut nourrir de la faim, ni étancher la soif, ou rassurer de la crainte.
La responsabilité de tout ce monde n’est pas une mince affaire.
Il faut que le Vrai transparaisse dans les actions et que la justice gouverne et gère le partage des faveurs, de la protection et de la tutelle.
Un conseil de ministre qui nomme une seule frange au détriment des autres, est en flagrant délit de salir le nom de la nation, et ne représente que lui-même.
Une congrégation, une fratrie, une secte ou une bande, qui mendie, qui conspire ou complote avec l’étranger, pour nous plier à ce qui ne sied pas à notre héritage, à notre patrimoine ou à nos traditions, vole notre volonté et ternit notre intégrité. Elle est à combattre.
Un parti politique, qui prêche ouvertement le racisme, les schismes, la division, ou la manipulation de notre unité nationale, constitue une preuve éclatante que l’autorité est absente et que la priorité de ses priorités n’est que le pouvoir, pour pouvoir pourvoir ses caisses et ses comptes en banques.
Rien de plus.
Ceux qui s’enrichissent à vue d’œil, doivent se rendre compte que voler demande un peu plus de discrétion. Les administrés sont démunis, affaiblis, mais ils pensent. Ce sont peut-être des esclaves dans l’esprit de certain, mais des esclaves pensant. Leurs yeux aiguisés à scruter l’avenir et l’espoir, sont devenu des télescopes de précision mathématique, qui observent vos état trient et analysent les mensonges. Ceci demande un peu de décence.
Une Mauritanie propre, juste, fraternelle et intègre, constitue la meilleure des garantie, pour que les enfants pour lesquels vous accomplissez ce que vous accomplissez, trouvent un cadre national, dans lequel ils s’épanouiront, et marcheront les têtes hautes et non pas les queues entre les jambes. Pensez-y.
Les fausses manières, les faux témoignages, les faux semblants, l’hypocrisie, sont étrangers a notre société. Ce sont des phénomènes nés avec l’avènement de l’argent et de la vie du mensonge et des apparences.
N’acceptez pas de laisser vos frères dans la nécessité, alors que vous nagez dans une opulence, immorale. Vous êtes plus grands et plus nobles que ces petits appétits qui ne durent que l’espace d’une poussée de cheveux blancs.
Les mauvais raisonnements sont les termites de l’avenir de notre pays. Arrêtons-nous un instant, pour dire non aux cancres de tout bord qui crient Bien avec la langue et scandent Mal avec l’acte et le cœur. C’est aussi une forme de sincérité et d’amour de dire à son frère ce qu’il ne voit pas derrière sa bosse.
Ce n’est pas celui qui gouverne qui change la situation, mais un peuple conscient qui n’applaudit que pour ceux qui le méritent.
Si vous êtes avec Dieu, vous ne craignez rien et si vous agissez contre Sa Volonté, vous n’avez aucun espoir.
Le secret du bonheur est dans la modestie, la modération et la droiture. Le partage donne la force et divulgue le sourire.
Le perdant est celui qui ne laisse pour l’histoire que les mauvaises images. Ne faites pas du malheur des autres, un prix pour votre bonheur. Vous arroseriez votre futur et celui de vos progéniture de remord, de haine et de chagrin.
Suffisez-vous de peu. Une chaumière explosant de joie est meilleure qu’un château tapissé d’égoïsme, construit de crimes et peint de tristesse.
La sobriété et la satisfaction du nécessaire sont plus précieuses que les trésors.
Puisse Allah nous protéger, tous et nous remettre sur le chemin que nous avions choisi au commencement. Celui de l’honneur, de la fraternité et de la justice. Amine.
* « Kerviteur » mot inventé, que j’ai tiré de Kervaat. Le gouffre qui avale tout ce qui l’approche.
Mohamed Hanefi. Koweït.