Le représentent du Fonds monétaire international en Mauritanie, M. Josef Karangwa, a présenté, mardi à Nouakchott, le rapport annuel de son organisation concernant la région du Moyen Orient et de l’Afrique du nord, en présence du ministre des Finances, M. Mohamed Lemine Ould Dhehbi,
Le document met en exergue les conséquences des turbulences économiques mondiales et les facteurs de vulnérabilité sur la croissance dans la région, notamment la hausse de la vulnérabilité des finances publiques, de la dette, des dépenses publiques, du fléchissement de la productivité et de la baisse des dépenses en capital.
Le rapport propose, par ailleurs, des solutions de nature à relever ces défis, à travers l’accélération de la croissance et de réformes structurelles dans toutes les régions, la promotion de l’investissement y compris les investissements directs étrangers, et l’assainissement des finances publiques, sans nuire à la croissance.
Les interventions des personnalités présentes ont été axées sur la nécessité de revoir les politiques suivies dans ce cadre, afin que l’impact de la croissance économique soit réellement ressenti, en termes de lutte contre la pauvreté et de création d’emploi.
Ils ont, entre autres, souligné l’opportunité d’examiner la viabilité de la dette, de diversifier l’économie et d’améliorer les délais de payement en faveur des petites et moyennes entreprises.
En réponse à ces interrogations, le ministre des Finances a rappelé les efforts consentis par l’État en matière d’assainissement des finances publiques et la mise en place d’ambitieux programmes sociaux destinés à atténuer la dégradation du pouvoir d’achat des citoyens et à créer davantage d’emplois au profit des jeunes.
Ces efforts, a-t-il précisé, visent à mettre la croissance économique au service des Mauritaniens, en particulier les plus démunis.
La séance s’est déroulée en présence du gouverneur de la Banque centrale de Mauritanie, du président de la Chambre de commerce, d’industrie et d’agriculture, du représentant de la Banque mondiale, de plusieurs représentants de départements ministériels et de la société
AMI
Le document met en exergue les conséquences des turbulences économiques mondiales et les facteurs de vulnérabilité sur la croissance dans la région, notamment la hausse de la vulnérabilité des finances publiques, de la dette, des dépenses publiques, du fléchissement de la productivité et de la baisse des dépenses en capital.
Le rapport propose, par ailleurs, des solutions de nature à relever ces défis, à travers l’accélération de la croissance et de réformes structurelles dans toutes les régions, la promotion de l’investissement y compris les investissements directs étrangers, et l’assainissement des finances publiques, sans nuire à la croissance.
Les interventions des personnalités présentes ont été axées sur la nécessité de revoir les politiques suivies dans ce cadre, afin que l’impact de la croissance économique soit réellement ressenti, en termes de lutte contre la pauvreté et de création d’emploi.
Ils ont, entre autres, souligné l’opportunité d’examiner la viabilité de la dette, de diversifier l’économie et d’améliorer les délais de payement en faveur des petites et moyennes entreprises.
En réponse à ces interrogations, le ministre des Finances a rappelé les efforts consentis par l’État en matière d’assainissement des finances publiques et la mise en place d’ambitieux programmes sociaux destinés à atténuer la dégradation du pouvoir d’achat des citoyens et à créer davantage d’emplois au profit des jeunes.
Ces efforts, a-t-il précisé, visent à mettre la croissance économique au service des Mauritaniens, en particulier les plus démunis.
La séance s’est déroulée en présence du gouverneur de la Banque centrale de Mauritanie, du président de la Chambre de commerce, d’industrie et d’agriculture, du représentant de la Banque mondiale, de plusieurs représentants de départements ministériels et de la société
AMI