La Faculté des Sciences Juridiques et Économiques à l'Université Al-Asriye de Nouakchott a organisé vendredi, en partenariat avec la Fondation allemande Hans Seidel, le Centre Mauritanien des Études et Recherches Juridiques, Économiques et Sociales (CMERJES) et avec l’appui du « projet Etat de droit », un colloque national sur le thème « Etat de Droit et Démocratie en Mauritanie, à la formation optimale des élèves-magistrats, à la stratégie de la politique sectorielle de la justice en Mauritanie et au principe de la séparation des pouvoirs.
Ces volets ont été sanctionnés par des débats profonds et houleux animés par des professeurs de droit et des chercheurs.
Le doyen de la Faculté des Sciences Juridiques et Économiques, le professeur Moctar Vall Ould Mohamedou, a axé son mot d’ouverture sur les symboles de L’État de droit, à travers les époques historiques et les traditions démocratiques dans de nombreux pays réputés par leurs riches expériences démocratiques.
« Le concept de L’État de droit est une notion à la fois philosophique, juridique et politique requérant une conjugaison d’un ensemble de pratiques de nature à enraciner le concept de L’État de droit chez tous, à la lumière des législations fondées sur l’égalité assurée par des tribunaux et des institutions indépendantes », a-t-il dit, louant la participation de la Fondation Hans Seidel, du CMERJES et du projet d’appui à L’État de droit, relevant de l’Union Européenne.
Le président du CMERJES, Dr Mohamed Dah Abdel Kader, a inscrit quant à lui, le colloque dans le cadre de l’ouverture de la Faculté sur son environnement, à travers l’organisation de diverses activités scientifiques relevant de ses compétences.
« L’Etan de droit se définit comme étant l’État se fixant des règles juridiques dans le cadre de ses relations avec les citoyens ou qui garantit les droits individuels et les libertés individuelles des citoyens, grâce à ses lois constitutionnelles et juridiques, de sorte à être qualifiée d’institution fonctionnant et agissant selon la loi », a-t-il dit.
Il s’est appesanti ,par la suite, sur l'expérience mauritanienne en matière de l’État de droit, les bases sur lesquelles ont été créées des institutions démocratiques puisant leur crédibilité d’une Loi fondamentale votée par le peuple, consacrant l’alternance au pouvoir, l’appui des droits individuels et le droit au recours des personnes quant au caractère anticonstitutionnel des lois.
Le président du projet d’appui à l’État de droit relevant de l’Union Européenne, M. Christophe Koïta, a mis en exergue, dans son intervention, l'importance du colloque, organisé au sein d’un édifice scientifique et en présence d’un parterre de professeurs et d’étudiants.
Le respect de L’État de droit est considéré comme étant la priorité des statuts des Nations démocratiques et des principes généraux de la Charte de Lisbonne 2017, créant les institutions européennes, a-t-il dit, remerciant la Faculté pour la parfaite organisation de cette rencontre et sa son coopération exemplaire.
source AMI
Ces volets ont été sanctionnés par des débats profonds et houleux animés par des professeurs de droit et des chercheurs.
Le doyen de la Faculté des Sciences Juridiques et Économiques, le professeur Moctar Vall Ould Mohamedou, a axé son mot d’ouverture sur les symboles de L’État de droit, à travers les époques historiques et les traditions démocratiques dans de nombreux pays réputés par leurs riches expériences démocratiques.
« Le concept de L’État de droit est une notion à la fois philosophique, juridique et politique requérant une conjugaison d’un ensemble de pratiques de nature à enraciner le concept de L’État de droit chez tous, à la lumière des législations fondées sur l’égalité assurée par des tribunaux et des institutions indépendantes », a-t-il dit, louant la participation de la Fondation Hans Seidel, du CMERJES et du projet d’appui à L’État de droit, relevant de l’Union Européenne.
Le président du CMERJES, Dr Mohamed Dah Abdel Kader, a inscrit quant à lui, le colloque dans le cadre de l’ouverture de la Faculté sur son environnement, à travers l’organisation de diverses activités scientifiques relevant de ses compétences.
« L’Etan de droit se définit comme étant l’État se fixant des règles juridiques dans le cadre de ses relations avec les citoyens ou qui garantit les droits individuels et les libertés individuelles des citoyens, grâce à ses lois constitutionnelles et juridiques, de sorte à être qualifiée d’institution fonctionnant et agissant selon la loi », a-t-il dit.
Il s’est appesanti ,par la suite, sur l'expérience mauritanienne en matière de l’État de droit, les bases sur lesquelles ont été créées des institutions démocratiques puisant leur crédibilité d’une Loi fondamentale votée par le peuple, consacrant l’alternance au pouvoir, l’appui des droits individuels et le droit au recours des personnes quant au caractère anticonstitutionnel des lois.
Le président du projet d’appui à l’État de droit relevant de l’Union Européenne, M. Christophe Koïta, a mis en exergue, dans son intervention, l'importance du colloque, organisé au sein d’un édifice scientifique et en présence d’un parterre de professeurs et d’étudiants.
Le respect de L’État de droit est considéré comme étant la priorité des statuts des Nations démocratiques et des principes généraux de la Charte de Lisbonne 2017, créant les institutions européennes, a-t-il dit, remerciant la Faculté pour la parfaite organisation de cette rencontre et sa son coopération exemplaire.
source AMI