"Nous ne sommes pas demandeurs d'une part dans le gouvernement prochain, ni d’un gouvernement d’union nationale, mais plutôt d’un pacte moral et politique", a précisé l’ex-candidat à la présidentielle de juin 2019, Mr Biram Dah Abeid, dans une partie de son entretien sur la Chaine Sahel TV, le jeudi 18 juillet, à 22 heures.
Il a rappelé qu’il apporte ici une précision limpide sur une idée que certains détracteurs ne cessent de véhiculer dans les rangs des populations.
Et seul un dialogue sincère avec les quatre ex-candidats de l'opposition et au cours duquel, tous les problèmes qui intéressent les mauritaniens seront débattus dans le but de trouver des solutions définitives, a-t-il souligné.
D’ailleurs, notre reconnaissance du futur pouvoir dépendra de l’évaluation qui sera faite des discussions entre lui et l’opposition que nous représentons, affirma le député. Il a signifié que l’assainissement de la scène politique doit se faire sur des discussions claires.
Selon le parlementaire et président du mouvement IRA, encore non reconnu,"un recensement biométrique fiable,un fichier électoral bien élaboré, une Céni renouvelée, une gestion fiable des ressources du pays, le système éducatif, la santé, la justice,..." sont certains points fondamentaux qui seront listés dans le document qui sera soumis lors des discussions et ils doivent être dignement débattus.
Mais, à travers ses propos, nous avons constaté que s’il doit y avoir un dialogue, c’est avant l’investiture du président nouvellement élu. Et c’est là, une thèse à l’image d’une condition qui pose des interrogations au niveau de l’opinion publique.
De ce fait, des militants de l'opposition s'interrogent sur les avantages d'un dialogue avec un pouvoir en fin de mandat.
D'aucuns s'interrogent sur ce dialogue dont parle Biram en l'absence des trois autres (Sidi Mohamed Ould Boubacar, Kane Hamidou Baba et Mohamed Ould Maouloud).
Cependant, ces derniers n'ont pas été consultés par le président du parti au pouvoir, Ould Mohamed Khouna qui s'était rendu une fois au QG de Biram dans ce cadre des allures d'un dialogue. Et depuis c'est le suspens!
Il a rappelé qu’il apporte ici une précision limpide sur une idée que certains détracteurs ne cessent de véhiculer dans les rangs des populations.
Et seul un dialogue sincère avec les quatre ex-candidats de l'opposition et au cours duquel, tous les problèmes qui intéressent les mauritaniens seront débattus dans le but de trouver des solutions définitives, a-t-il souligné.
D’ailleurs, notre reconnaissance du futur pouvoir dépendra de l’évaluation qui sera faite des discussions entre lui et l’opposition que nous représentons, affirma le député. Il a signifié que l’assainissement de la scène politique doit se faire sur des discussions claires.
Selon le parlementaire et président du mouvement IRA, encore non reconnu,"un recensement biométrique fiable,un fichier électoral bien élaboré, une Céni renouvelée, une gestion fiable des ressources du pays, le système éducatif, la santé, la justice,..." sont certains points fondamentaux qui seront listés dans le document qui sera soumis lors des discussions et ils doivent être dignement débattus.
Mais, à travers ses propos, nous avons constaté que s’il doit y avoir un dialogue, c’est avant l’investiture du président nouvellement élu. Et c’est là, une thèse à l’image d’une condition qui pose des interrogations au niveau de l’opinion publique.
De ce fait, des militants de l'opposition s'interrogent sur les avantages d'un dialogue avec un pouvoir en fin de mandat.
D'aucuns s'interrogent sur ce dialogue dont parle Biram en l'absence des trois autres (Sidi Mohamed Ould Boubacar, Kane Hamidou Baba et Mohamed Ould Maouloud).
Cependant, ces derniers n'ont pas été consultés par le président du parti au pouvoir, Ould Mohamed Khouna qui s'était rendu une fois au QG de Biram dans ce cadre des allures d'un dialogue. Et depuis c'est le suspens!