Des unités de la police anti-émeute ont très tôt, lundi huit octobre, bouclé les alentours de l’assemblée nationale, le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique et les centres jugés très sensibles, a-t-on constaté.
La présence effective des policiers armés de grenades et de matraques sautait aux yeux devant le ministère de l’enseignement supérieur, où, des centaines d’étudiants irrités par la décision qui prive tout bachelier âgé de 25 ans de s’inscrire dans les universités mauritaniennes.
Une mesure mal accueillie par les étudiants dont la majorité viennent des villes de l’intérieur du pays, telles que Néma, Aioun, Kiffa, Rosso, Tidjikdja et Zouératt.
Devant l’Assemblée nationale des forces de police ont brutalement repoussé les dizaines de militants du mouvement IRA qui demandaient la libération de Biram et son camarade arrêtés depuis le mois d'Août dernier. Des blessés graves ont été dénombrés dans les rangs des militants d’IRA. Ils ont été évacués au centre hospitalier national pour des soins.
Au ministère de l’enseignement supérieur, les policiers scrutaient attentivement les mouvements des étudiants massés à l’entrée.
source tawary.com
La présence effective des policiers armés de grenades et de matraques sautait aux yeux devant le ministère de l’enseignement supérieur, où, des centaines d’étudiants irrités par la décision qui prive tout bachelier âgé de 25 ans de s’inscrire dans les universités mauritaniennes.
Une mesure mal accueillie par les étudiants dont la majorité viennent des villes de l’intérieur du pays, telles que Néma, Aioun, Kiffa, Rosso, Tidjikdja et Zouératt.
Devant l’Assemblée nationale des forces de police ont brutalement repoussé les dizaines de militants du mouvement IRA qui demandaient la libération de Biram et son camarade arrêtés depuis le mois d'Août dernier. Des blessés graves ont été dénombrés dans les rangs des militants d’IRA. Ils ont été évacués au centre hospitalier national pour des soins.
Au ministère de l’enseignement supérieur, les policiers scrutaient attentivement les mouvements des étudiants massés à l’entrée.
source tawary.com