Notre pays a commémoré, jeudi à Nouakchott, la journée nationale de lutte contre les pratiques discriminatoires qui coïncide avec le 9 janvier de chaque année.
A cette occasion, le Commissariat aux Droits de l’Homme, à l’Action humanitaire et aux Relations avec la société civile a organisé un atelier pour renforcer les performances des organisations nationales intervenant dans le domaine de la défense des droits de l’homme en matière de sensibilisation sur le danger des pratiques discriminatoires.
Cet atelier va permettre aux participants de suivre un ensemble d’exposés et d’interventions qui mettront en exergue le contenu de la Convention internationale sur l'élimination de toutes les formes de discrimination raciale et les différents volets de la loi N°023-2018 incriminant la discrimination.
Le commissaire adjoint aux Droits de l’Homme, à l’Action humanitaire et aux Relations avec la société civile, M. Rassoul Ould El Khal, a indiqué que les engagements émis dans le programme du Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, mettent un accent particulier sur la protection et la préservation de la dignité humaine, sur la consolidation de la cohésion sociale et sur le dépassement des pratiques nuisibles à travers l’élimination de toutes les formes des disparités sociales entre les couches et les composantes de la société mauritanienne.
Il a souligné que cet atelier constitue une tribune d’échange d’expertises sur l’ensemble des moyens susceptibles de faire face à ce phénomène racial et sur la manière de promouvoir les valeurs de tolérance et de la citoyenneté, et les principes des droits de l’homme.
Le Commissaire adjoint a rappelé que la loi N° 023 – 2018 incriminant la discrimination élaborée et adoptée par la Mauritanie constitue un important pas pour faire face aux pratiques discriminatoires d’une part et d’autre part, une action concrète sur la voie du respect et de la mise en œuvre de nos engagements internationaux dans le domaine des droits de l’homme en veillant à la cohérence de nos législations nationales avec les conventions internationales.
La cérémonie d’ouverture de l’atelier s’est déroulée en présence du président du Mécanisme National de Prévention de la Torture (MNPT), du secrétaire général de la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH), du président du Forum des acteurs non gouvernementaux et de la Représentante du Bureau du Haut –Commissariat des droits de l’homme des Nations Unies à Nouakchott.
AMI
A cette occasion, le Commissariat aux Droits de l’Homme, à l’Action humanitaire et aux Relations avec la société civile a organisé un atelier pour renforcer les performances des organisations nationales intervenant dans le domaine de la défense des droits de l’homme en matière de sensibilisation sur le danger des pratiques discriminatoires.
Cet atelier va permettre aux participants de suivre un ensemble d’exposés et d’interventions qui mettront en exergue le contenu de la Convention internationale sur l'élimination de toutes les formes de discrimination raciale et les différents volets de la loi N°023-2018 incriminant la discrimination.
Le commissaire adjoint aux Droits de l’Homme, à l’Action humanitaire et aux Relations avec la société civile, M. Rassoul Ould El Khal, a indiqué que les engagements émis dans le programme du Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, mettent un accent particulier sur la protection et la préservation de la dignité humaine, sur la consolidation de la cohésion sociale et sur le dépassement des pratiques nuisibles à travers l’élimination de toutes les formes des disparités sociales entre les couches et les composantes de la société mauritanienne.
Il a souligné que cet atelier constitue une tribune d’échange d’expertises sur l’ensemble des moyens susceptibles de faire face à ce phénomène racial et sur la manière de promouvoir les valeurs de tolérance et de la citoyenneté, et les principes des droits de l’homme.
Le Commissaire adjoint a rappelé que la loi N° 023 – 2018 incriminant la discrimination élaborée et adoptée par la Mauritanie constitue un important pas pour faire face aux pratiques discriminatoires d’une part et d’autre part, une action concrète sur la voie du respect et de la mise en œuvre de nos engagements internationaux dans le domaine des droits de l’homme en veillant à la cohérence de nos législations nationales avec les conventions internationales.
La cérémonie d’ouverture de l’atelier s’est déroulée en présence du président du Mécanisme National de Prévention de la Torture (MNPT), du secrétaire général de la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH), du président du Forum des acteurs non gouvernementaux et de la Représentante du Bureau du Haut –Commissariat des droits de l’homme des Nations Unies à Nouakchott.
AMI