Invitée de l'émission "hôte de la Parlementaire ", la députée RFD Nana Mint Mohamed Lagdaf a déclaré qu'entre 2010 et 2014, le pays a engrangé 17 ,5 milliards de dollars qui n'ont servi absolument à rien et que des secteurs comme l'éducation et la santé sont dans une deliquessence déconcertante. La députée RFD a aussi déclaré que « la Mauritanie a besoin d'une refondation. Pour cela, il faut des concertations pour identifier ce que nous voulons en termes de politique sociale, économique, éducative. Les actions sporadiques individualisées ne servent pas à grand chose.
Il faut une vision, une politique et une stratégie bien pensée pour chaque secteur. La Mauritanie vit une crise qui s'est beaucoup amplifiée ces derniers temps. Or le protocole ne règle pas les problèmes dans un contexte marqué par beaucoup de défis dont le terrorisme, la perspective du gaz à l'horizon 2022. » «La normalisation des rapports entre les acteurs politiques exige une redéfinition des règles du jeu à travers un dialogue multidimensionnel inclusif auquel participe toute l'élite : politiciens, hommes d'affaires, personnalités nationales et de la société civile.
Je sens un nouvel esprit qui se manifeste par une certaine marge de liberté chez les députés de la majorité. L'élection du nouveau président a suscité un grand espoir qui doit se concrétiser par une véritable ouverture », dira-t-elle. Enfin Mint Mohamed Lagdaf a demandé que les conclusions des travaux de la commission d'enquête parlementaire soient prises en compte.
lecalame.info
Il faut une vision, une politique et une stratégie bien pensée pour chaque secteur. La Mauritanie vit une crise qui s'est beaucoup amplifiée ces derniers temps. Or le protocole ne règle pas les problèmes dans un contexte marqué par beaucoup de défis dont le terrorisme, la perspective du gaz à l'horizon 2022. » «La normalisation des rapports entre les acteurs politiques exige une redéfinition des règles du jeu à travers un dialogue multidimensionnel inclusif auquel participe toute l'élite : politiciens, hommes d'affaires, personnalités nationales et de la société civile.
Je sens un nouvel esprit qui se manifeste par une certaine marge de liberté chez les députés de la majorité. L'élection du nouveau président a suscité un grand espoir qui doit se concrétiser par une véritable ouverture », dira-t-elle. Enfin Mint Mohamed Lagdaf a demandé que les conclusions des travaux de la commission d'enquête parlementaire soient prises en compte.
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