Selon M. Dia qui s’exprimait lors d’un point de presse conjoint avec le porte-parole du gouvernement mauritanien, jeudi soir à Nouakchott, cette politique sectorielle traitera 5 axes fondamentaux portant sur la législation, la formation et les spécialités du fonctionnement quotidien et de l’accès à la justice.
Les deux autres axes sont les installations et infrastructures et la communication, a précisé le ministre qui commentait une communication présentée le même jour en Conseil des ministres.
M. Dia a rappelé que le département de la Justice avait connu plusieurs réformes dont la première, financée par la Banque mondiale, en 1995, la seconde en 2007 et la troisième en 2015.
Il a cependant signalé que ces réformes n’étaient pas exhaustives pour n’avoir couvert que des aspects limités du secteur, ce qui a donné lieu à des résultats très insuffisants.