Le syndicat indépendant des professeurs de l’enseignement secondaire a menacé de suspendre la surveillance du baccalauréat ce mardi, si le petit déjeuner n’était pas octroyé aux professeurs chargés de la surveillance.
Dans son communiqué publié, le syndicat déplore cette mesure prise pour la première fois par le ministère de l’éducation de ne pas octroyer aux professeurs surveillant le bac le montant du petit déjeuner, soit 45 nouvelle ouguiyas.
Le syndicat ajoute que si le montant du n’est pas payé, la surveillance sera suspendue dès mardi après midi, quand bien même les surveillants seront dans les établissements, mais pas dans les salles d’examen.
Le syndicat fait porter la responsabilité de toute entrave éventuelle dans le déroulement de l’examen au seul ministère, appelant à une solution au problème.
L’examen du baccalauréat avait débuté lundi avec 50045 candidats toutes les filières confondues, répartis entre sur 132 centres dont 71 à l’intérieur du pays.
les filles représentent près de 49% des candidats.
source saharamedias.fr