Je laisse aux trolls, aux haineuses, aux haineux, à celles et ceux qui ont fait de moi leur seule et malsaine obsession la violence et l’inculture, leur souffrance ( il en faut de la souffrance et du mal-être pour être aussi amers et jaloux)…
Moi je préfère penser aux lumineux, à ceux qui sont liens avec le monde, aux étoiles qui parlent d’humanité et non pas de violences.
Je préfère l’amour à la haine.
Mais je constate quand même que certaines ou certains ont envers moi des comportements malsains et une fascination qui est mortifère… Le monde est rempli de grands malades.
Je ne peux rien contre leurs obsessions envers moi. Je ne peux rien aux « amours » malsaines. Je ne suis pas psychiatre. Je suis juste moi.
Je ne changerai pas un mot de ce que j’écris. J’assume depuis toujours mon nom et mes élans. J’assume avec fierté ma liberté de parole et mes combats. Je ne changerai pas. Je ne plierai pas aux diktats et aux injonctions.
Votre folie n’est pas la mienne.
Si vous n’aimez pas ce que j’écris, passez votre chemin. Je n’oblige personne, ni femme ni homme à me lire.
J’assume.
Et je continuerai à écrire comme je l’entends, n’en déplaise aux grincheux..
Toujours. Je refuse de plier devant les insultes. Je refuse de plier devant la laideur. Je refuse de plier devant les menaces et l’ironie à 3 balles teintée d’inculture. Je refuse.
Vous voulez me détruire? Allez y. Il restera mes mots.
Que pouvez vous faire face à des mots? Vous pouvez me faire mal physiquement. Vous pouvez beaucoup oh vous le tribunal auto proclamé, les pseudos spécialistes littéraires, les pseudos spécialistes religieux… Mais vous ne pouvez rien faire de mon cerveau, de mes mots.
Et je continuerai à écrire, à faire de la poésie, à dénoncer, à m’indigner. À aimer, à aimer encore, encore et encore.
Vous êtes l’exemple vivant de la nécessité de mes luttes : vous êtes la bête hideuse, percluse de jalousies et de méchancetés.
Vous ne me touchez pas. Vous n’êtes rien que des trolls anonymes pour qui citer 3 lignes d’un auteur ferait de vous des gens cultivés…. Misère intellectuelle. Misère humaine.
Vous êtes la bête hideuse.
Mariem Mint Derwich
Facebook – 29 avril 2018
source kassataya.com