Comme l’Islam limite le nombre de divorces à 3, au-delà desquels toute épouse devient Harame, pour son mari, la jurisprudence autorise le recours à la technique de « T’CHEWTIR »qui permet au mari de ré-épouser son ex-femme, à condition qu’elle se marie avec un autre homme, dont elle divorce pour pouvoir se remarier avec l’ancien.
Certains maris, « collants », font recours à ce procédé, qui n’est pas sans risques. Le choix du nouveau « mari » de « madame » est fait en commun accord avec les trois concernés, qui doivent être liés par un niveau de confiance assez élevé.
Pour l’époux de madame « ERRI’ASSA », qui se trouverait dans une situation de ce genre, et qui vient de déclarer, officiellement, aujourd’hui, qu’il tient à récupérer son ex-épouse, mais qu’il n’a pas encore choisi lequel de ses meilleurs amis il doit charger de cette mission très délicate.
Alors, les membres du cercle, très restreint, des amis en question se frottent les…, en attendant ce choix.
On comprend les hésitations de l’ex, puisque celui qu’il aura choisi, pourrait apprécier sa future situation matrimoniale et renoncer à divorcer, en dénonçant l’accord préalable et en ayant tous les Cadis de son côté.
La patience et la prudence s’imposent donc, pour la grande décision de 2019