Les sociétés Elif et EGK établies respectivement à Nouakchott et Bamako ont été retenues provisoirement par le ministère mauritanien du Développement rural pour la réalisation d’un projet de génie civil d’un montant d’environ 3 millions USD. Il s’agit des travaux de réhabilitation de 62 km de digue piste et ouvrages connexes situés dans la région agro-pastorale du Brakna (sud-ouest de la Mauritanie).
Le projet qui vient d’être attribué à titre provisoire à Mohamed Limam (DG d’Elif) et Mamadou Konaté (patron d’EGK) est financé par la Banque africaine de développement (BAD) et entre dans le cadre du Programme (mauritanien) d’appui à la transformation agricole (PATAM). La finalité du programme en question est de contribuer à l’amélioration de la sécurité alimentaire et des conditions de vie des populations du Brakna cela à travers un développement inclusif et durable des filières agricoles de la région.
Dans les détails, le consortium mauritano-malien aura à réhabiliter une digue piste longue de 62 km ; un pont de 65 mètres de longueur et la réhabilitation de deux bretelles et dispose d’un délai de 15 mois.
L’attribution du contrat de réhabilitation intervient dans un contexte où les autorités laissent entendre qu’elles travaillent pour atteindre l’autosuffisance alimentaire. Un refrain commun à tous les régimes qui se sont succédé à la tête du pays, mais dont la réalisation reste aujourd’hui encore au stade de vœu pieux.
financialafrik
Le projet qui vient d’être attribué à titre provisoire à Mohamed Limam (DG d’Elif) et Mamadou Konaté (patron d’EGK) est financé par la Banque africaine de développement (BAD) et entre dans le cadre du Programme (mauritanien) d’appui à la transformation agricole (PATAM). La finalité du programme en question est de contribuer à l’amélioration de la sécurité alimentaire et des conditions de vie des populations du Brakna cela à travers un développement inclusif et durable des filières agricoles de la région.
Dans les détails, le consortium mauritano-malien aura à réhabiliter une digue piste longue de 62 km ; un pont de 65 mètres de longueur et la réhabilitation de deux bretelles et dispose d’un délai de 15 mois.
L’attribution du contrat de réhabilitation intervient dans un contexte où les autorités laissent entendre qu’elles travaillent pour atteindre l’autosuffisance alimentaire. Un refrain commun à tous les régimes qui se sont succédé à la tête du pays, mais dont la réalisation reste aujourd’hui encore au stade de vœu pieux.
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