Le Comité national pour la transparence dans les industries extractives a organisé, mercredi à Nouakchott, une journée de présentation et d’examen de son rapport pour l'année 2017-2018, afin de faire les rapprochements entre les chiffres et les quantités.
La réunion, organisée sous le haut patronage du Premier ministre, M. Mohamed Ould Bilal, regroupe des représentants du Comité national pour la Transparence dans les Industries Extractives, des partenaires techniques et financiers de la Mauritanie, des acteurs de l'initiative de transparence, et des membres de la société civile intéressés par les questions de transparence.
Le treizième rapport de ce type couvre la période du 1er janvier au 31 décembre 2017, tandis que le quatorzième rapport couvre la période du 1er janvier au 31 décembre 2018 et vise à aider le gouvernement mauritanien et les parties prenantes à déterminer la contribution du secteur des industries extractives au budget de l'Etat, à assurer la transparence et à optimiser l'utilisation des ressources l'Etat générées par ces industries.
Dans une allocution qu’il a prononcée à cette occasion, le ministre du Pétrole, de l'Énergie et des Mines, M. Abdesselam Ould Mohamed Saleh, a indiqué que ces deux rapports s’inscrivent en droite ligne des objectifs de transparence et de bonne gouvernance qui fondent l’action gouvernementale et qu’ils participent de la gestion optimale de nos ressources naturelles et des rendements financiers que génèrent les secteurs extractifs en général. Il a ajouté que le plan de travail du Comité national pour la transparence dans les industries extractives prévoit la périodicité de l'organisation d'ateliers pour annoncer et diffuser les informations, ainsi que le droit d'y accéder, avertissant que ces rapports sont basés sur une comparaison entre les revenus de l'État générés par les ressources minières et les hydrocarbures et ce que les entreprises opérant sur le terrain ont déclaré. Il a expliqué que la collecte et le traitement des données et leur diffusion au grand public et aux spécialistes intéressés est l'un des aspects d’application concrète du programme de Son Excellence M. Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani. Le ministre a, encore, indiqué que le gouvernement tient à orienter les ressources vers leur bonne destination, c’est-à-dire au service des grands objectifs de développement et l'amélioration des conditions de vie des citoyens. Le ministre a affirmé que ces rapports préparés par un bureau international de grande renommée, sont une référence crédible permettant aux participants et aux personnes intéressées de revoir l'état de la gestion des revenus des industries extractives pour la période concernée.
Auparavant, M. Mohamed Lemine Ould Ahmedou, conseiller du Premier ministre, président du Comité national pour l'Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives, avait confirmé que ces deux rapports font suite à douze autres rapports de même nature pour les périodes précédentes. Il a déclaré que la publication de ces rapport constitue un important acquis sur la voie de la consolidation des règles de bonne gouvernance et de transparence dans les secteurs pétrolier et minier, et reflète l'étendue de leur contribution significative à la création d'emplois et au soutien du trésor public et des recettes d'exportation.
Il a ajouté que le comité, en coopération avec la coopération allemande, a préféré intégrer les informations de l'initiative de transparence des industries extractives dans le système gouvernemental, à travers la création d’une plateforme qui est en fin de traitement. Celle-ci permettra aux autorités concernées d'intégrer efficacement ces informations dans le système gouvernemental de l’Initiative de transparence dans les Industries extractives.
Il a aussi évoqué les efforts déployés par le Comité national pour l'Initiative pour la transparence dans les industries extractives dans la préparation des deux rapports, faisant observer que l'approbation de ces rapports avait connu un certain retard en raison de la pandémie du coronavirus.
Pour sa part, M. Mohamed Said Ahmed Abdi, chef du projet Décentralisation à la Coopération allemande, a évoqué les aspects du soutien de la coopération allemande au Comité national pour la transparence dans les industries extractives. Ainsi, il a noté que de 2011 à 2017, il s'est déroulé, à travers le Programme de bonne gouvernance, en 2018, le programme de décentralisation et de finances publiques. Il a ajouté que cette coopération a permis la publication régulière, et en temps opportun, des rapports annuels, la préparation d'une stratégie de communication, la préparation d'un plan de travail pour le comité comprenant un mécanisme de suivi et le renforcement des capacités des acteurs de la société civile représentés dans le groupe multilatéral.
La cérémonie de présentation des rapports s’est déroulée en présence du ministre des Finances, du conseiller du Premier ministre chargé des Ressources énergétiques et du Développement industriel, et de représentants de partenaires internationaux.
AMI
La réunion, organisée sous le haut patronage du Premier ministre, M. Mohamed Ould Bilal, regroupe des représentants du Comité national pour la Transparence dans les Industries Extractives, des partenaires techniques et financiers de la Mauritanie, des acteurs de l'initiative de transparence, et des membres de la société civile intéressés par les questions de transparence.
Le treizième rapport de ce type couvre la période du 1er janvier au 31 décembre 2017, tandis que le quatorzième rapport couvre la période du 1er janvier au 31 décembre 2018 et vise à aider le gouvernement mauritanien et les parties prenantes à déterminer la contribution du secteur des industries extractives au budget de l'Etat, à assurer la transparence et à optimiser l'utilisation des ressources l'Etat générées par ces industries.
Dans une allocution qu’il a prononcée à cette occasion, le ministre du Pétrole, de l'Énergie et des Mines, M. Abdesselam Ould Mohamed Saleh, a indiqué que ces deux rapports s’inscrivent en droite ligne des objectifs de transparence et de bonne gouvernance qui fondent l’action gouvernementale et qu’ils participent de la gestion optimale de nos ressources naturelles et des rendements financiers que génèrent les secteurs extractifs en général. Il a ajouté que le plan de travail du Comité national pour la transparence dans les industries extractives prévoit la périodicité de l'organisation d'ateliers pour annoncer et diffuser les informations, ainsi que le droit d'y accéder, avertissant que ces rapports sont basés sur une comparaison entre les revenus de l'État générés par les ressources minières et les hydrocarbures et ce que les entreprises opérant sur le terrain ont déclaré. Il a expliqué que la collecte et le traitement des données et leur diffusion au grand public et aux spécialistes intéressés est l'un des aspects d’application concrète du programme de Son Excellence M. Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani. Le ministre a, encore, indiqué que le gouvernement tient à orienter les ressources vers leur bonne destination, c’est-à-dire au service des grands objectifs de développement et l'amélioration des conditions de vie des citoyens. Le ministre a affirmé que ces rapports préparés par un bureau international de grande renommée, sont une référence crédible permettant aux participants et aux personnes intéressées de revoir l'état de la gestion des revenus des industries extractives pour la période concernée.
Auparavant, M. Mohamed Lemine Ould Ahmedou, conseiller du Premier ministre, président du Comité national pour l'Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives, avait confirmé que ces deux rapports font suite à douze autres rapports de même nature pour les périodes précédentes. Il a déclaré que la publication de ces rapport constitue un important acquis sur la voie de la consolidation des règles de bonne gouvernance et de transparence dans les secteurs pétrolier et minier, et reflète l'étendue de leur contribution significative à la création d'emplois et au soutien du trésor public et des recettes d'exportation.
Il a ajouté que le comité, en coopération avec la coopération allemande, a préféré intégrer les informations de l'initiative de transparence des industries extractives dans le système gouvernemental, à travers la création d’une plateforme qui est en fin de traitement. Celle-ci permettra aux autorités concernées d'intégrer efficacement ces informations dans le système gouvernemental de l’Initiative de transparence dans les Industries extractives.
Il a aussi évoqué les efforts déployés par le Comité national pour l'Initiative pour la transparence dans les industries extractives dans la préparation des deux rapports, faisant observer que l'approbation de ces rapports avait connu un certain retard en raison de la pandémie du coronavirus.
Pour sa part, M. Mohamed Said Ahmed Abdi, chef du projet Décentralisation à la Coopération allemande, a évoqué les aspects du soutien de la coopération allemande au Comité national pour la transparence dans les industries extractives. Ainsi, il a noté que de 2011 à 2017, il s'est déroulé, à travers le Programme de bonne gouvernance, en 2018, le programme de décentralisation et de finances publiques. Il a ajouté que cette coopération a permis la publication régulière, et en temps opportun, des rapports annuels, la préparation d'une stratégie de communication, la préparation d'un plan de travail pour le comité comprenant un mécanisme de suivi et le renforcement des capacités des acteurs de la société civile représentés dans le groupe multilatéral.
La cérémonie de présentation des rapports s’est déroulée en présence du ministre des Finances, du conseiller du Premier ministre chargé des Ressources énergétiques et du Développement industriel, et de représentants de partenaires internationaux.
AMI