Le président de la république, Mohamed O. Abdel Aziz a regagné Nouakchott samedi en provenance d’Akjoujt, au terme d’une tournée de près d’une semaine à l’intérieur du pays, destinée à faire campagne en faveur du « OUI » lors du referendum du 5 aout prochain, relatif aux amendements constitutionnels.
Selon les sources de Sahara Media, le chef de l’état se reposera deux jours à Nouakchott, avant de se rendre mardi prochain à Nouadhibou, dernière étape de ce périple.
Selon les mêmes sources l’étape de la capitale économique était prévue lundi, et on ignore les raisons de son report à mardi.
Au cours de sa tournée, le chef de l’état se déplaçait à bord d’un petit avion militaire à raison de deux wilayas par jour, l’une le matin et l’autre le soir.
Quatre thèmes majeurs étaient développés à chaque fois par le président de la république.
D’abord l’explication de la portée des amendements constitutionnels et leur importance pour le pays, une attaque véhémente contre le sénat qui constitue selon lui un handicap au travail législatif et un fardeau sur le budget de l’état, et une autre, non moins virulente contre l’opposition qui a boycotté le dialogue, et enfin la défense de son bilan à la tête du pays depuis son arrivée au pouvoir en 2008.
source saharamedias.net
Selon les sources de Sahara Media, le chef de l’état se reposera deux jours à Nouakchott, avant de se rendre mardi prochain à Nouadhibou, dernière étape de ce périple.
Selon les mêmes sources l’étape de la capitale économique était prévue lundi, et on ignore les raisons de son report à mardi.
Au cours de sa tournée, le chef de l’état se déplaçait à bord d’un petit avion militaire à raison de deux wilayas par jour, l’une le matin et l’autre le soir.
Quatre thèmes majeurs étaient développés à chaque fois par le président de la république.
D’abord l’explication de la portée des amendements constitutionnels et leur importance pour le pays, une attaque véhémente contre le sénat qui constitue selon lui un handicap au travail législatif et un fardeau sur le budget de l’état, et une autre, non moins virulente contre l’opposition qui a boycotté le dialogue, et enfin la défense de son bilan à la tête du pays depuis son arrivée au pouvoir en 2008.
source saharamedias.net