Le consortium Franklin/Finexem, qui a été recruté pour fournir des conseils et un soutien en vue de la restructuration de la dette extérieure de la Mauritanie, pour un montant de 600 000 euros et un délai de 6 mois, vient de révéler que le niveau d’entendement du pays est de l’ordre de 5 milliards de dollars.
Recruté en décembre 2020 afin d’aider la Mauritanie à gérer sa dette extérieure, le consortium Franklin/Finexem vient de révéler que le niveau d’entendement du pays est de l’ordre de 5 milliards de dollars, soit plus de 60% du PIB national qui est estimé à 7,4 milliards de dollars. « En ce qui concerne le service de la dette, il est de plus de 200 millions dollars », selon Franklin et son partenaire Finexem.
Le cabinet Franklin/Finexem vient d’entamer la seconde étape de sa mission qui consiste à élaborer pour la Mauritanie la meilleure stratégie de négociation de sa dette extérieure. L’économie mauritanienne a été fortement impactée par la pandémie du Coronavirus, qui continue de frapper l’économie mondiale.
Le commerce en 2020 par rapport à 2019 y a enregistré une chute de 9%, le transport une baisse de 3%, l’activité manufacturière un taux négatif de -4% et la pêche (second pilier de l’économie nationale) un taux négatif de -5%. « Le choix de la Mauritanie s’est porté sur Franklin-Finexem pour son expertise juridique et financière, sa connaissance approfondie du pays et son expérience dans l’amorce de restructurations ayant eu un impact économique et social significatif », affirmait le ministère mauritanien de l’Economie.
Cependant, la Mauritanie entend remplir les critères d’éligibilité fixés par le G20 pour renégocier sa dette avec ses créanciers, tout comme le Tchad, la Zambie et l’Éthiopie. Le rapport de Franklin/Finexem sur la gestion de la dette du pays est attendu pour le 30 juin prochain.
afrik
Recruté en décembre 2020 afin d’aider la Mauritanie à gérer sa dette extérieure, le consortium Franklin/Finexem vient de révéler que le niveau d’entendement du pays est de l’ordre de 5 milliards de dollars, soit plus de 60% du PIB national qui est estimé à 7,4 milliards de dollars. « En ce qui concerne le service de la dette, il est de plus de 200 millions dollars », selon Franklin et son partenaire Finexem.
Le cabinet Franklin/Finexem vient d’entamer la seconde étape de sa mission qui consiste à élaborer pour la Mauritanie la meilleure stratégie de négociation de sa dette extérieure. L’économie mauritanienne a été fortement impactée par la pandémie du Coronavirus, qui continue de frapper l’économie mondiale.
Le commerce en 2020 par rapport à 2019 y a enregistré une chute de 9%, le transport une baisse de 3%, l’activité manufacturière un taux négatif de -4% et la pêche (second pilier de l’économie nationale) un taux négatif de -5%. « Le choix de la Mauritanie s’est porté sur Franklin-Finexem pour son expertise juridique et financière, sa connaissance approfondie du pays et son expérience dans l’amorce de restructurations ayant eu un impact économique et social significatif », affirmait le ministère mauritanien de l’Economie.
Cependant, la Mauritanie entend remplir les critères d’éligibilité fixés par le G20 pour renégocier sa dette avec ses créanciers, tout comme le Tchad, la Zambie et l’Éthiopie. Le rapport de Franklin/Finexem sur la gestion de la dette du pays est attendu pour le 30 juin prochain.
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