Les négociations entre le gouverneur de la banque centrale de Mauritanie et le directeur du trésor public saoudien en visite la semaine dernière a Nouakchott ont abouti au rééchelonnement d’un dépôt de 300 millions de dollars .
Il s’agit d’un dépôt de 300 millions de dollars que l’Arabie Saoudite a accordé en 2015 a la Banque centrale de Mauritanie pour contrer la pression provoquée par l’effondrement des prix du fer en 2014 et qui a significativement gonflé la dette publique.
Ce dépôt est assorti d’un intérêt de 3% et dont la période de grâce de 3ans touche a sa fin.
Grace a ce dépôt, les réserves de change du pays couvrent actuellement plus de cinq moins d’importation et la Mauritanie se situe au dessus du seuil de la côte d’alerte en termes de réserves en devises , étant donné que ce seuil est normalement fixé par les spécialistes, a 110 jours d’importation.
Autant de raisons qui expliquent l’empressement de l’institut d’émission pour négocier son rééchelonnent jusqu’en 2021.
Face a des épisodes de stress récurrents, la BCM est obligée de maintenir le niveau des réserves en devises à un niveau permettant la pérennité des transactions et la garantie d’un bon dénouement des engagements de notre pays au titre des opérations commerciales et financières avec l’Extérieur.
source rimeco.org
Il s’agit d’un dépôt de 300 millions de dollars que l’Arabie Saoudite a accordé en 2015 a la Banque centrale de Mauritanie pour contrer la pression provoquée par l’effondrement des prix du fer en 2014 et qui a significativement gonflé la dette publique.
Ce dépôt est assorti d’un intérêt de 3% et dont la période de grâce de 3ans touche a sa fin.
Grace a ce dépôt, les réserves de change du pays couvrent actuellement plus de cinq moins d’importation et la Mauritanie se situe au dessus du seuil de la côte d’alerte en termes de réserves en devises , étant donné que ce seuil est normalement fixé par les spécialistes, a 110 jours d’importation.
Autant de raisons qui expliquent l’empressement de l’institut d’émission pour négocier son rééchelonnent jusqu’en 2021.
Face a des épisodes de stress récurrents, la BCM est obligée de maintenir le niveau des réserves en devises à un niveau permettant la pérennité des transactions et la garantie d’un bon dénouement des engagements de notre pays au titre des opérations commerciales et financières avec l’Extérieur.
source rimeco.org