Kinross Tasiast a tenu, en guise de réponse à la plateforme revendicative assortie de grève générale brandie par ses délégués du personnel, à marquer « son incompréhension au regard non seulement de la nature des revendications listées dans la plateforme mais surtout de l’opportunité d’initier une telle polémique dans la conjoncture mondiale et nationale actuelle très particulière marquée par le défi de la pandémie Covid-19 et ses répercussions multiples ».
Se réservant le droit de contester en temps utile sans préjudice de la régularité d’une telle plateforme, Kinross Tasiast apporte les premiers éléments de réponse, « tout en réaffirmant son attachement au dialogue social » et « au respect scrupuleux des textes ».
Concernant l’organisation du travail, « il ne nous semble pas que le fait de réorganiser les conditions de travail des employés de façon exceptionnelle et temporaire pour tenir compte de la situation extraordinaire que nous vivons tous particulièrement puisse être considéré comme une violation des dispositions légales », précise-t-elle. La société dit ne « ménager aucun effort pour faciliter l’exercice de leurs missions par les délégués du personnel ».
Relativement aux heures supplémentaires, Kinross Tasiast fait savoir que « les modalités de calcul et de paiement des heures supplémentaires qui sont appliqués par la société n’ont jamais fait l’objet de rappel à l’ordre car parfaitement conformes à la législation en vigueur ».
Par rapport aux consignes de sécurité en d’endiguer la pandémie du Covid-19, Kinross Tasiast « dit aller au-delà des consignes des autorités tant nationales qu’internationales pour contenir au maximum les risques de contagion et de propagation du Covid-19 ».
A propos des clauses de la conclusion de l’accord de 2019 relatives à la fixation des objectifs pour le calcul du bonus, Kinross Tasiast rappelle que ‘’toutes les parties avaient une idée parfaitement claire et précise des modalités de fonctionnement dudit bonus ».
Enfin, Kinross Tasiast réitère « son incompréhension devant les revendications exprimées dans la plateforme ». Elle demeure néanmoins «soucieuse de continuer d’entretenir des rapports ouverts et transparents avec les délégués du personnel ainsi que tous ses employés ».
Pour rappel, le 18 avril dernier,les délégués du personnel avaient déposé une plateforme revendicative assortie d’une grève générale pour « non-respect de certaines dispositions de la législation du travail».
lecalame.info
Se réservant le droit de contester en temps utile sans préjudice de la régularité d’une telle plateforme, Kinross Tasiast apporte les premiers éléments de réponse, « tout en réaffirmant son attachement au dialogue social » et « au respect scrupuleux des textes ».
Concernant l’organisation du travail, « il ne nous semble pas que le fait de réorganiser les conditions de travail des employés de façon exceptionnelle et temporaire pour tenir compte de la situation extraordinaire que nous vivons tous particulièrement puisse être considéré comme une violation des dispositions légales », précise-t-elle. La société dit ne « ménager aucun effort pour faciliter l’exercice de leurs missions par les délégués du personnel ».
Relativement aux heures supplémentaires, Kinross Tasiast fait savoir que « les modalités de calcul et de paiement des heures supplémentaires qui sont appliqués par la société n’ont jamais fait l’objet de rappel à l’ordre car parfaitement conformes à la législation en vigueur ».
Par rapport aux consignes de sécurité en d’endiguer la pandémie du Covid-19, Kinross Tasiast « dit aller au-delà des consignes des autorités tant nationales qu’internationales pour contenir au maximum les risques de contagion et de propagation du Covid-19 ».
A propos des clauses de la conclusion de l’accord de 2019 relatives à la fixation des objectifs pour le calcul du bonus, Kinross Tasiast rappelle que ‘’toutes les parties avaient une idée parfaitement claire et précise des modalités de fonctionnement dudit bonus ».
Enfin, Kinross Tasiast réitère « son incompréhension devant les revendications exprimées dans la plateforme ». Elle demeure néanmoins «soucieuse de continuer d’entretenir des rapports ouverts et transparents avec les délégués du personnel ainsi que tous ses employés ».
Pour rappel, le 18 avril dernier,les délégués du personnel avaient déposé une plateforme revendicative assortie d’une grève générale pour « non-respect de certaines dispositions de la législation du travail».
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