En quelques heures sa sortie a été vue par 150.000 personnes.
https://fb.watch/t1AVgJmdR3/
Birame dans cette vidéo va jusqu'à dire que lorsque Ghazouani est venu voter, le staff de la CENI a couru vers lui comme les chiens de la même tente ! ( voir à la 6ème minute et 50s ). Birame parle désormais en toute impunité comme si l'Etat avait peur de lui, il diffame en toute impunité au cœur de l'assemblée le ministre de la défense Hanana Ould Sidi, le président de l'assemblée nationale Mohamed Ould Meguett qu'il traite de tortionnaires de négro-mauritaniens et quand le président de l'UFP Ould Moloud porte plainte contre lui pour diffamation car Birame a prétendu qu'il a reçu 500 millions de l'homme d'affaires Bouamatou, Birame rit de la justice et ne risque rien ! ( Birame reconnaît qu'il a touché lui-même 150 millions de ce même homme d'affaires )
Le grand démocrate Birame a dit aussi qu'il ne reconnaît pas la CENI car c'est la CENI de Ghazouani. Il dit qu'il ne reconnaît que sa CENI, celle de ses informaticiens. Il ne sait plus ce qu'il dit. Il se Bindenise. Cela ne l'empêche pas de dire des choses qui relèvent des tribunaux à moins qu'il n'ait les preuves de ses graves accusations.
Ainsi il a dit que le président de la CENI, Dah Ould Abdel Jelil est un tortionnaire des peuls !
Comment peut-on permettre à ce personnage de continuer à se présenter à l'élection présidentielle sachant qu'il ne reconnaîtra jamais les résultats sauf s'il est gagnant et profite de la tribune pour diffamer jusqu'au président de la CENI et intoxiquer ses pauvres électeurs qui boivent ses sornettes et l'ivresse de son narcissisme ?
Ce monsieur n'a pas de parti, il ne sort de nulle part sinon du PRDS quand durant ses moments de galères, il a compris qu'il pouvait faire du bruit avec la cause des hratine. La suite on la connaît. Aziz, qui fut le président qui a le plus marginalisé les Hratine, a cyniquement réussi à le faire exister malgré son discours haineux contre les beidânes ( ceci expliquant cela ) puis lui a donné les parrainages nécessaires pour être candidat à l'élection présidentielle.
Son discours, sa haine des beidânes a montré son potentiel à des activistes négro-mauritaniens d'abord ( Bakary Tandia est son mentor aux USA ), des plumes maures qui pensent que lui seul peut renverser la table, ensuite on verra et des chancelleries qui ne font pas mystère de leur souhait de voir un président noir en Mauritanie face à ce qu'ils appellent la minorité dominante beidâne. Ainsi, il a commencé à recevoir des prix et des honneurs jusqu'à l'ONU mais au lieu de se servir de cela pour faire une fondation et aider les hratine, il a continué à faire le jeu du chaos rêvé de ses mentors mauritaniens et étrangers.
Par bêtise, il a avoué n'avoir aucune maison en Mauritanie car il a construit à Dakar... Contrairement à ses anciens compagnons comme Brahim Bilal Ramdane de la Fondation Sahel qui s'active pour soutenir les hratine par l'éducation et la formation, Birame n'a jamais rien fait de tel ! Il n'a que sa langue pour empoisonner les liens entre maures blancs et noirs et sa main qu'il tend aux hommes d'affaires maures Blancs.
Par exemple Bouamatou qui lui a donné près de 150 millions et Birame a fini par insulter son père et son grand-père sans prendre la peine de le rembourser avant. De même pour Ghazouani qui lui a donné le droit d'avoir une association ce que même son mentor le cynique Aziz lui a refusé, il a crié partout qu'il a trouvé en Ghazouani son ami avant de s'en prendre à lui car il en voulait plus. Il a fini par avouer qu'il a voulu berner Ghazouani.
Ce monsieur jouit d'une impunité qui ne sert que les extrémistes maures blancs qui veulent effrayer la communauté maure pour qu'elle rejoigne leur politique néoféodale et les négro-mauritaniens qui espèrent par les hratine, éternels dindons de la farce, régler leurs comptes avec ce qu'ils appellent le régime beidâne. Dans tout ça, Birame ne fait rien qui serve la cause des hratine. Il ne s'agit que de lui et du projet néfaste de ses mentors tapis dans l'ombre.
Il est temps soit de lui donner le droit à un parti politique pour qu'il continue à empoisonner la société soit mettre fin à l'impunité dont il jouit qui lui permet de diffamer à tout-va et menacer la sécurité publique en faisant sortir des pauvres gosses dans les rues.
Le président de la CENI devrait porter plainte contre lui et l'Etat doit voter une loi qui oblige ceux qui participent aux élections à reconnaître les compétences de la CENI ou à s'abstenir de participer. Il y a un conseil constitutionnel pour les recours. Personne ne doit pouvoir dire comme Birame " je ne crois qu'à ma CENI mes informaticiens " sans avoir en main la moindre preuve pour étayer sa mauvaise foi.
VLANE
https://fb.watch/t1AVgJmdR3/
Birame dans cette vidéo va jusqu'à dire que lorsque Ghazouani est venu voter, le staff de la CENI a couru vers lui comme les chiens de la même tente ! ( voir à la 6ème minute et 50s ). Birame parle désormais en toute impunité comme si l'Etat avait peur de lui, il diffame en toute impunité au cœur de l'assemblée le ministre de la défense Hanana Ould Sidi, le président de l'assemblée nationale Mohamed Ould Meguett qu'il traite de tortionnaires de négro-mauritaniens et quand le président de l'UFP Ould Moloud porte plainte contre lui pour diffamation car Birame a prétendu qu'il a reçu 500 millions de l'homme d'affaires Bouamatou, Birame rit de la justice et ne risque rien ! ( Birame reconnaît qu'il a touché lui-même 150 millions de ce même homme d'affaires )
Le grand démocrate Birame a dit aussi qu'il ne reconnaît pas la CENI car c'est la CENI de Ghazouani. Il dit qu'il ne reconnaît que sa CENI, celle de ses informaticiens. Il ne sait plus ce qu'il dit. Il se Bindenise. Cela ne l'empêche pas de dire des choses qui relèvent des tribunaux à moins qu'il n'ait les preuves de ses graves accusations.
Ainsi il a dit que le président de la CENI, Dah Ould Abdel Jelil est un tortionnaire des peuls !
Comment peut-on permettre à ce personnage de continuer à se présenter à l'élection présidentielle sachant qu'il ne reconnaîtra jamais les résultats sauf s'il est gagnant et profite de la tribune pour diffamer jusqu'au président de la CENI et intoxiquer ses pauvres électeurs qui boivent ses sornettes et l'ivresse de son narcissisme ?
Ce monsieur n'a pas de parti, il ne sort de nulle part sinon du PRDS quand durant ses moments de galères, il a compris qu'il pouvait faire du bruit avec la cause des hratine. La suite on la connaît. Aziz, qui fut le président qui a le plus marginalisé les Hratine, a cyniquement réussi à le faire exister malgré son discours haineux contre les beidânes ( ceci expliquant cela ) puis lui a donné les parrainages nécessaires pour être candidat à l'élection présidentielle.
Son discours, sa haine des beidânes a montré son potentiel à des activistes négro-mauritaniens d'abord ( Bakary Tandia est son mentor aux USA ), des plumes maures qui pensent que lui seul peut renverser la table, ensuite on verra et des chancelleries qui ne font pas mystère de leur souhait de voir un président noir en Mauritanie face à ce qu'ils appellent la minorité dominante beidâne. Ainsi, il a commencé à recevoir des prix et des honneurs jusqu'à l'ONU mais au lieu de se servir de cela pour faire une fondation et aider les hratine, il a continué à faire le jeu du chaos rêvé de ses mentors mauritaniens et étrangers.
Par bêtise, il a avoué n'avoir aucune maison en Mauritanie car il a construit à Dakar... Contrairement à ses anciens compagnons comme Brahim Bilal Ramdane de la Fondation Sahel qui s'active pour soutenir les hratine par l'éducation et la formation, Birame n'a jamais rien fait de tel ! Il n'a que sa langue pour empoisonner les liens entre maures blancs et noirs et sa main qu'il tend aux hommes d'affaires maures Blancs.
Par exemple Bouamatou qui lui a donné près de 150 millions et Birame a fini par insulter son père et son grand-père sans prendre la peine de le rembourser avant. De même pour Ghazouani qui lui a donné le droit d'avoir une association ce que même son mentor le cynique Aziz lui a refusé, il a crié partout qu'il a trouvé en Ghazouani son ami avant de s'en prendre à lui car il en voulait plus. Il a fini par avouer qu'il a voulu berner Ghazouani.
Ce monsieur jouit d'une impunité qui ne sert que les extrémistes maures blancs qui veulent effrayer la communauté maure pour qu'elle rejoigne leur politique néoféodale et les négro-mauritaniens qui espèrent par les hratine, éternels dindons de la farce, régler leurs comptes avec ce qu'ils appellent le régime beidâne. Dans tout ça, Birame ne fait rien qui serve la cause des hratine. Il ne s'agit que de lui et du projet néfaste de ses mentors tapis dans l'ombre.
Il est temps soit de lui donner le droit à un parti politique pour qu'il continue à empoisonner la société soit mettre fin à l'impunité dont il jouit qui lui permet de diffamer à tout-va et menacer la sécurité publique en faisant sortir des pauvres gosses dans les rues.
Le président de la CENI devrait porter plainte contre lui et l'Etat doit voter une loi qui oblige ceux qui participent aux élections à reconnaître les compétences de la CENI ou à s'abstenir de participer. Il y a un conseil constitutionnel pour les recours. Personne ne doit pouvoir dire comme Birame " je ne crois qu'à ma CENI mes informaticiens " sans avoir en main la moindre preuve pour étayer sa mauvaise foi.
VLANE