Les responsables de l’Union des Forces de Progrès (UFP/opposition) ont fait face à la presse ce mardi 30 août, en début d’après-midi, quelques jours après la tenue d’un Conseil National (CN).
Une rencontre au cours de laquelle Mohamed ould Maouloud, leader du parti, a évoqué plusieurs sujets d’importance nationale, sous-régionale et internationale.
Abordant le chapitre des inondations et « leurs conséquences gravissimes sur la vie des populations, en particulier les couches les plus vulnérables », le président de l’UFP a lancé « un appel à la solidarité et la mobilisation des autorités publiques, de la société civile, des partenaires nationaux et internationaux pour des actions d’appui en faveur des populations impactées ».
Une situation catastrophique dont il impute l’entière responsabilité à l’Etat, qui a distribué des assises foncières impropres à l’habitat.
Au plan politique, le leader de l’UFP a plaidé en faveur de la tenue d’un dialogue national inclusif, qui reste une option patriotique face à un contexte lourd de menaces.
Il a expliqué les raisons du boycott des rencontres entre le ministre de l’intérieur et les partis politiques, par la Coalition composée du Rassemblement des Forces Démocratiques (RFD), l’Union des Forces de Progrès (UFP) et l’Union Nationale pour l’Alternance Démocratique (UNAD).
Révélant que cette démarche vise à protester contre l’arrêt unilatéral du processus de Dialogue National Inclusif quelques jours avant la date prévue pour le lancement, et n’est pas l’expression d’une opposition au principe du dialogue sur le processus électoral.
Mohammed ould Maouloud est aussi revenu sur les déclarations de l’Inspecteur Général d’Etat (IGE), concernant des détournements au niveau de différentes institutions et établissements publics, à hauteur de 1,4 milliards de MRU.
Des pratiques qu’il a vivement condamnées, tout en relevant que le traitement « discriminatoire » du dossier de la gouvernance sous le régime de Mohamed ould Abdel Aziz, à travers lequel de nombreux hauts responsables ont pu échappé aux liens de l’accusation après l’instruction, apparaît comme un appel d’air pour les candidats aux pratiques de prévarication.
Le président de l’UFP a enfin salué l’adoption de la loi relative à l’intégration des langues nationales dans le système éducatif, tout en réaffirmant « l’exigence de l’officialisation du Peul, Soninké et Wolof ».
Au plan sous-régional, Mohamed ould Maouloud a déploré « la montée des tensions entre le Maroc et le POLISARIO, les conséquences de la crise!malienne sur les populations des wilayas de l’Est » et dénoncé « la politique d’occupation et d’agression de l’entité sioniste contre les populations palestiniennes ».
lecalame
Une rencontre au cours de laquelle Mohamed ould Maouloud, leader du parti, a évoqué plusieurs sujets d’importance nationale, sous-régionale et internationale.
Abordant le chapitre des inondations et « leurs conséquences gravissimes sur la vie des populations, en particulier les couches les plus vulnérables », le président de l’UFP a lancé « un appel à la solidarité et la mobilisation des autorités publiques, de la société civile, des partenaires nationaux et internationaux pour des actions d’appui en faveur des populations impactées ».
Une situation catastrophique dont il impute l’entière responsabilité à l’Etat, qui a distribué des assises foncières impropres à l’habitat.
Au plan politique, le leader de l’UFP a plaidé en faveur de la tenue d’un dialogue national inclusif, qui reste une option patriotique face à un contexte lourd de menaces.
Il a expliqué les raisons du boycott des rencontres entre le ministre de l’intérieur et les partis politiques, par la Coalition composée du Rassemblement des Forces Démocratiques (RFD), l’Union des Forces de Progrès (UFP) et l’Union Nationale pour l’Alternance Démocratique (UNAD).
Révélant que cette démarche vise à protester contre l’arrêt unilatéral du processus de Dialogue National Inclusif quelques jours avant la date prévue pour le lancement, et n’est pas l’expression d’une opposition au principe du dialogue sur le processus électoral.
Mohammed ould Maouloud est aussi revenu sur les déclarations de l’Inspecteur Général d’Etat (IGE), concernant des détournements au niveau de différentes institutions et établissements publics, à hauteur de 1,4 milliards de MRU.
Des pratiques qu’il a vivement condamnées, tout en relevant que le traitement « discriminatoire » du dossier de la gouvernance sous le régime de Mohamed ould Abdel Aziz, à travers lequel de nombreux hauts responsables ont pu échappé aux liens de l’accusation après l’instruction, apparaît comme un appel d’air pour les candidats aux pratiques de prévarication.
Le président de l’UFP a enfin salué l’adoption de la loi relative à l’intégration des langues nationales dans le système éducatif, tout en réaffirmant « l’exigence de l’officialisation du Peul, Soninké et Wolof ».
Au plan sous-régional, Mohamed ould Maouloud a déploré « la montée des tensions entre le Maroc et le POLISARIO, les conséquences de la crise!malienne sur les populations des wilayas de l’Est » et dénoncé « la politique d’occupation et d’agression de l’entité sioniste contre les populations palestiniennes ».
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