Adama Bocar Soko n’est plus ministre de l’Education Nationale, chargé de la Réforme du Secteur Educatif, depuis lundi soir.
Il est remplacé à la tête du département à peine un mois après avoir pris fonction, dans un contexte de mise en œuvre d’une réforme appelée à renforcer le rôle de l’arabe, tout en introduisant les langues nationales à l’école.
Ce timing suscite de nombreuses interrogations relatives à un «limogeage» ou « une démission ».En tout cas, un document largement relayé par les réseaux sociaux,
soutient la deuxième hypothèse. Celui-ci met en évidence « un plan de réforme de l’éducation conduisant vers un échec, parce qu’il ne peut pas être appliqué sur le terrain, faute d’avoir fait l’objet des études préliminaires préalables ». Ce document qualifie la réforme «d’irréaliste et irréalisable ».
Ces différentes raisons seraient à l’origine du refus de M. Soko de prendre cette responsabilité devant l’histoire.
lecalame
Il est remplacé à la tête du département à peine un mois après avoir pris fonction, dans un contexte de mise en œuvre d’une réforme appelée à renforcer le rôle de l’arabe, tout en introduisant les langues nationales à l’école.
Ce timing suscite de nombreuses interrogations relatives à un «limogeage» ou « une démission ».En tout cas, un document largement relayé par les réseaux sociaux,
soutient la deuxième hypothèse. Celui-ci met en évidence « un plan de réforme de l’éducation conduisant vers un échec, parce qu’il ne peut pas être appliqué sur le terrain, faute d’avoir fait l’objet des études préliminaires préalables ». Ce document qualifie la réforme «d’irréaliste et irréalisable ».
Ces différentes raisons seraient à l’origine du refus de M. Soko de prendre cette responsabilité devant l’histoire.
lecalame