Les travaux de la 12ème réunion du comité directeur du FIGE et du 8ème colloque international du Forum des Inspections Générales d’État d’Afrique et Institutions Assimilées (FIGE) ont débuté, mardi à Djibouti, sous le thème : "Gouvernance et performance publique".
Ce huitième colloque permettra de discuter des liens entre gouvernance et performance et de partager les expériences des participants dans ce domaine. Il dégagera aussi des pistes pour que les missions de contrôle intègrent davantage cette dimension, afin que la mise en œuvre des recommandations puisse aboutir à plus d’efficacité, de responsabilité, de transparence, de prospérité et de cohésion sociale.
Dans le discours qu'il a prononcé, à cette occasion, le contrôleur général d’État, M. El Hassen Ould Zein a précisé que le choix de ce thème de la réunion est tout sauf fortuit, ajoutant qu'au delà de la dissipation des ressources financières induites par les détournements et la corruption, les États africains connaissent des pertes substantielles en raison de la mal-gouvernance, observée régulièrement, lors des missions de contrôle.
M. El Hassen Ould Zein a souligné que la crise sanitaire, que le monde a vécu ces dernières années, a mis encore plus en évidence ces conséquences négatives, notamment le faible niveau d’exécution des stratégies, la mauvaise exploitation des ressources, l’absence de coordination entre les différentes administrations, la corruption, la mauvaise image des entités publiques et la perte de confiance du citoyen.
Le FIGE, qui a été créé ici à Djibouti il y a un peu plus de 16 ans, à l’initiative de cinq Inspections Générales d’État, compte aujourd’hui vingt-six membres, issus de 20 pays. Il a pour objectif d’instaurer une coopération entre les institutions supérieures de contrôle des pays membres afin de développer l’échange des bonnes pratiques et d'améliorer les compétences dans la prévention et la lutte contre la corruption.
AMI
Ce huitième colloque permettra de discuter des liens entre gouvernance et performance et de partager les expériences des participants dans ce domaine. Il dégagera aussi des pistes pour que les missions de contrôle intègrent davantage cette dimension, afin que la mise en œuvre des recommandations puisse aboutir à plus d’efficacité, de responsabilité, de transparence, de prospérité et de cohésion sociale.
Dans le discours qu'il a prononcé, à cette occasion, le contrôleur général d’État, M. El Hassen Ould Zein a précisé que le choix de ce thème de la réunion est tout sauf fortuit, ajoutant qu'au delà de la dissipation des ressources financières induites par les détournements et la corruption, les États africains connaissent des pertes substantielles en raison de la mal-gouvernance, observée régulièrement, lors des missions de contrôle.
M. El Hassen Ould Zein a souligné que la crise sanitaire, que le monde a vécu ces dernières années, a mis encore plus en évidence ces conséquences négatives, notamment le faible niveau d’exécution des stratégies, la mauvaise exploitation des ressources, l’absence de coordination entre les différentes administrations, la corruption, la mauvaise image des entités publiques et la perte de confiance du citoyen.
Le FIGE, qui a été créé ici à Djibouti il y a un peu plus de 16 ans, à l’initiative de cinq Inspections Générales d’État, compte aujourd’hui vingt-six membres, issus de 20 pays. Il a pour objectif d’instaurer une coopération entre les institutions supérieures de contrôle des pays membres afin de développer l’échange des bonnes pratiques et d'améliorer les compétences dans la prévention et la lutte contre la corruption.
AMI