L’hôtel Al AFIFA de Dakar, la capitale sénégalaise abrite depuis, hier, lundi 11 décembre, un atelier régional de formation des journalistes culturels sous le thème : « la critique face aux enjeux culturels». Un atelier qui regroupe durant six jours des journalistes venus de quelques pays qui se partagent l’usage de la langue française.
La cérémonie d’ouverture de cet atelier a eu lieu en présence du Ministre sénégalais de la culture, de Michaelle Jean, Secrétaire Générale de la Francophonie, de Adama Ouane, Administrateur de l’organisation internationale de la francophonie (OIF) et d’un grand public dont des hommes de lettres, d’artistes, de professeurs et spécialistes en communication.
A cette occasion, M Toussaint Tiendrébéogo, spécialiste de programme chargé des politiques de développement des industries culturelles, a prononcé un mot dans lequel, il a déclaré que cet atelier s’inscrit dans le cadre de la mission de promotion de la diversité culturelle et linguistique consacrée par la charte de la francophonie. La promotion de la diversité est au cœur du projet francophonie.
Il a ensuite, signalé que la francophonie est par définition un espace de célébration de la diversité des cultures qui la compose : « s’enrichir de nos différences et converger vers la civilisation de l’universel » Comme le disait le président Feu Léopold Sédar Senghor, l’un des illustres pères fondateurs de la francophonie.
Les journalistes en place sont des acteurs incontournables pour contribuer à l’amélioration du niveau de compréhension des enjeux culturels auprès des décideurs publics et des populations et pour faire reconnaitre la contribution des arts et la culture dans la transformation des sociétés et le développement de vos pays, a-t-il signifié.
Le décrypteur du travail des artistes ou des manifestations culturelles, le journaliste culturel, par son regard, son analyse, peut avoir une influence (positive ou négative) plus ou moins importante sur l’accueil qui recevra un projet artistique ou un événement culturel auprès du public, précise Toussaint Tiendrébéogo.
Selon Thoussaint, l’art et la culture sont des créativités qui doivent bénéficier d’une attention plus renforcée des autorités nationales ces dernières années par le déploiement de différentes stratégies et instruments de soutien exemplaires et qui sont en train d’inspirer bien d’autres pays. Avant de terminer, il a affirmé les pays qui ont en commun l’usage de la langue française, sont connus en leur qualité de nations de cultures multiséculaires, riches de la diversité des cultures qui les composent.
Ce sont des pays qui se sont toujours illustrés par l’abondance de la créativité de leurs artistes et cela, quelle que soit la discipline artistique considérée. En fait, il a appelé les participants à faire preuve de leur compétence pour la revalorisation et la sauvegarde de la culture.
Vingt cinq journalistes originaires de neuf pays d’Afrique de l’Ouest à savoir, le bénin, le Burkina Faso, la cote d’ivoire, la guinée, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Togo et le Sénégal, pays hôte prennent part à cette formation organisée par l’OIF en collaboration avec le département sénégalais de la culture.
Notre pays membre de l’organisation internationale de la francophonie (OIF), est représenté à cette formation par notre compatriote et consœur, Fatimetou Sow DEYNA. Une journaliste chevronnée qui n’est pas à présenter pour avoir passé de belles années à la télévision nationale. Pour dire une voix qui a longtemps impressionnée les téléspectateurs et fans de la chaine publique jusqu’à la fin de l’année 2011.
Juste après, elle a atterri dans l'une des plus grandes chaines panafricaine à savoir Africa 7, installée à Dakar. Là, elle a fait ses preuves. Sa présence à cet atelier, a été avantageuse pour certains.
Après deux courtes années au pays de la Téranga, Fatimetou,elle rentra au pays pour renforcer l’équipe de la seconde chaine privée, El Wataniya. A la suite d'une crise financière, elle quitta pour Sahel TV, où, elle est restée jusqu’à la crise qui a frappée toutes les chaines privées nationales en octobre dernier.
C’est bien, une femme de médias affectée par un talent mérité, mais elle est aussi, consultante en communication et en formation.
L’art des reportages est une ambitionne chez cette journaliste, pour prouver qu’elle n’est pas seulement, une présentatrice.
A Dakar, au milieu de ses consœurs et confrères africains, elle s’est distinguée dès les premiers travaux de cette formation par ses présentations sur le rôle du journaliste dans le domaine de l’art et de la culture surtout en ce qui est de la critique.
Aboubecrine Sidi de retour de Dakar
source Tawary.com
La cérémonie d’ouverture de cet atelier a eu lieu en présence du Ministre sénégalais de la culture, de Michaelle Jean, Secrétaire Générale de la Francophonie, de Adama Ouane, Administrateur de l’organisation internationale de la francophonie (OIF) et d’un grand public dont des hommes de lettres, d’artistes, de professeurs et spécialistes en communication.
A cette occasion, M Toussaint Tiendrébéogo, spécialiste de programme chargé des politiques de développement des industries culturelles, a prononcé un mot dans lequel, il a déclaré que cet atelier s’inscrit dans le cadre de la mission de promotion de la diversité culturelle et linguistique consacrée par la charte de la francophonie. La promotion de la diversité est au cœur du projet francophonie.
Il a ensuite, signalé que la francophonie est par définition un espace de célébration de la diversité des cultures qui la compose : « s’enrichir de nos différences et converger vers la civilisation de l’universel » Comme le disait le président Feu Léopold Sédar Senghor, l’un des illustres pères fondateurs de la francophonie.
Les journalistes en place sont des acteurs incontournables pour contribuer à l’amélioration du niveau de compréhension des enjeux culturels auprès des décideurs publics et des populations et pour faire reconnaitre la contribution des arts et la culture dans la transformation des sociétés et le développement de vos pays, a-t-il signifié.
Le décrypteur du travail des artistes ou des manifestations culturelles, le journaliste culturel, par son regard, son analyse, peut avoir une influence (positive ou négative) plus ou moins importante sur l’accueil qui recevra un projet artistique ou un événement culturel auprès du public, précise Toussaint Tiendrébéogo.
Selon Thoussaint, l’art et la culture sont des créativités qui doivent bénéficier d’une attention plus renforcée des autorités nationales ces dernières années par le déploiement de différentes stratégies et instruments de soutien exemplaires et qui sont en train d’inspirer bien d’autres pays. Avant de terminer, il a affirmé les pays qui ont en commun l’usage de la langue française, sont connus en leur qualité de nations de cultures multiséculaires, riches de la diversité des cultures qui les composent.
Ce sont des pays qui se sont toujours illustrés par l’abondance de la créativité de leurs artistes et cela, quelle que soit la discipline artistique considérée. En fait, il a appelé les participants à faire preuve de leur compétence pour la revalorisation et la sauvegarde de la culture.
Vingt cinq journalistes originaires de neuf pays d’Afrique de l’Ouest à savoir, le bénin, le Burkina Faso, la cote d’ivoire, la guinée, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Togo et le Sénégal, pays hôte prennent part à cette formation organisée par l’OIF en collaboration avec le département sénégalais de la culture.
Notre pays membre de l’organisation internationale de la francophonie (OIF), est représenté à cette formation par notre compatriote et consœur, Fatimetou Sow DEYNA. Une journaliste chevronnée qui n’est pas à présenter pour avoir passé de belles années à la télévision nationale. Pour dire une voix qui a longtemps impressionnée les téléspectateurs et fans de la chaine publique jusqu’à la fin de l’année 2011.
Juste après, elle a atterri dans l'une des plus grandes chaines panafricaine à savoir Africa 7, installée à Dakar. Là, elle a fait ses preuves. Sa présence à cet atelier, a été avantageuse pour certains.
Après deux courtes années au pays de la Téranga, Fatimetou,elle rentra au pays pour renforcer l’équipe de la seconde chaine privée, El Wataniya. A la suite d'une crise financière, elle quitta pour Sahel TV, où, elle est restée jusqu’à la crise qui a frappée toutes les chaines privées nationales en octobre dernier.
C’est bien, une femme de médias affectée par un talent mérité, mais elle est aussi, consultante en communication et en formation.
L’art des reportages est une ambitionne chez cette journaliste, pour prouver qu’elle n’est pas seulement, une présentatrice.
A Dakar, au milieu de ses consœurs et confrères africains, elle s’est distinguée dès les premiers travaux de cette formation par ses présentations sur le rôle du journaliste dans le domaine de l’art et de la culture surtout en ce qui est de la critique.
Aboubecrine Sidi de retour de Dakar
source Tawary.com