Bravo au collège de défense du G5 sahel qui a réussi jusque là le pari de maintenir la qualité de la formation dans un contexte international marqué par la guerre antiterroriste des sables par dessus les frontières. Une instabilité politique avérée sous régionale inquiétante qui risquerait fort d’entraver les efforts de paix et de sécurité dans cette partie du monde où se trouvent les plus grandes réserves mondiales de ressources naturelles .
Cette institution militaire transfrontalière dont le projet fut confié à l’un de nos plus brillants et modestes officiers généraux Brahim vall ould cheibani, constitue à nos yeux les prunes de notre enseignement militaire qui est resté ankylosé plusieurs décennies durant.
L’accès à cette école aujourd’hui se fait dans la transparence totale à travers un concours légal, honnête et sérieux qu’aucun ne peut contester. Ce mérite revient en grande partie au commandement de cette école un chef qui est d’autant plus respecté qu’il ne parle qu’à bon escient.
Je salue également l’intransigeance du choix irréprochable des cadres qui est basé sur leur intégrité morale, leur compétence avérée et confirmée par les concepteurs chargés de la conception des nombreux projets et programmes mieux placés que quiconque pour placer l’homme qu’il faut à la place qu’il faut.
Je voudrais à cette occasion rappeler le rôle capitale joué par le binôme leadeur Mohamed Ghazouani et Hanena ould Sidi mes deux anciens élèves qui ont pu hisser fièrement l’âme de nos forces de défense et de sécurité dont le devoir est non seulement de protéger la nation contre d’éventuelles agressions extérieures mais aussi s’opposer à toute menace visant notre unité nationale.
Ma génération étant partie, j’interpelle à ce moment solennel celles qui président aux destinées de nos forces armées pour leur dire plus qu’hier que l’heure est grave et que c’est dans ces moments de challenge international et de crises soudaines vécues en ce moment que rien ne doit importer à nos institutions que de ménager dans les cadres tant civils que militaires, ces personnages d’exception qui seront nos seuls recours face aux défis du moment.
M’adressant aux officiers supérieurs issus de cette école en tant qu’ainé, je vous recommande d’établir une collaboration étroite entre vous et avec les autorités locales face aux défis de l’heure. Faites également en sorte d’être ouverts et proches de vos subordonnés dans le respect bien entendu de la discipline qui constitue la force de nos armées .Tels sont les conseils parmi tant d’autres que j’avais obtenus de mon cher oncle et père feu colonel Hamoud ould Nagi chef d’état major national de 1970 à 1976 transmis en conséquence à mon fils commandant Hamoud, sorti avec son DEM.
La vertu d’un chef militaire réside dans sa capacité à s’attirer la confiance de ses subordonnées et son peuple où qu’il soit à la différence des civiles qui ne cherchent que la popularité dans la politique.
Vive les forces de défense et de sécurité mauritaniennes. « We the people, our beeing matter, live together, ».
Allah bless Mauritania.
Cette institution militaire transfrontalière dont le projet fut confié à l’un de nos plus brillants et modestes officiers généraux Brahim vall ould cheibani, constitue à nos yeux les prunes de notre enseignement militaire qui est resté ankylosé plusieurs décennies durant.
L’accès à cette école aujourd’hui se fait dans la transparence totale à travers un concours légal, honnête et sérieux qu’aucun ne peut contester. Ce mérite revient en grande partie au commandement de cette école un chef qui est d’autant plus respecté qu’il ne parle qu’à bon escient.
Je salue également l’intransigeance du choix irréprochable des cadres qui est basé sur leur intégrité morale, leur compétence avérée et confirmée par les concepteurs chargés de la conception des nombreux projets et programmes mieux placés que quiconque pour placer l’homme qu’il faut à la place qu’il faut.
Je voudrais à cette occasion rappeler le rôle capitale joué par le binôme leadeur Mohamed Ghazouani et Hanena ould Sidi mes deux anciens élèves qui ont pu hisser fièrement l’âme de nos forces de défense et de sécurité dont le devoir est non seulement de protéger la nation contre d’éventuelles agressions extérieures mais aussi s’opposer à toute menace visant notre unité nationale.
Ma génération étant partie, j’interpelle à ce moment solennel celles qui président aux destinées de nos forces armées pour leur dire plus qu’hier que l’heure est grave et que c’est dans ces moments de challenge international et de crises soudaines vécues en ce moment que rien ne doit importer à nos institutions que de ménager dans les cadres tant civils que militaires, ces personnages d’exception qui seront nos seuls recours face aux défis du moment.
M’adressant aux officiers supérieurs issus de cette école en tant qu’ainé, je vous recommande d’établir une collaboration étroite entre vous et avec les autorités locales face aux défis de l’heure. Faites également en sorte d’être ouverts et proches de vos subordonnés dans le respect bien entendu de la discipline qui constitue la force de nos armées .Tels sont les conseils parmi tant d’autres que j’avais obtenus de mon cher oncle et père feu colonel Hamoud ould Nagi chef d’état major national de 1970 à 1976 transmis en conséquence à mon fils commandant Hamoud, sorti avec son DEM.
La vertu d’un chef militaire réside dans sa capacité à s’attirer la confiance de ses subordonnées et son peuple où qu’il soit à la différence des civiles qui ne cherchent que la popularité dans la politique.
Vive les forces de défense et de sécurité mauritaniennes. « We the people, our beeing matter, live together, ».
Allah bless Mauritania.