Le pôle de l’alternance démocratique ne s’est pas retiré de la concertation politique en gestation, mais en a été expulsé, a affirmé dans une conférence de presse organisée le lundi 30 mai courant, le député et président de l’Initiative pour la résurgence du mouvement abolitionniste (IRA), Dah Biram Ould Abdeid, cité par le confrère Alakhbar .
L’enlèvement de la police de la banderole portant le slogan du parti (non autorisé) RAG, au cours du meeting de l’IRA organisé en ma présence dans la ville d’Atar représente un message, a-t-il dit.
La lettre d’expulsion est intervenue après une réunion tenue au Premier ministère où elle a été soutenue par certains barons du régime, quoique des proches du Président Ould Ghazouani préfèrent le maintien de l’apaisement, mais “l’actuel équilibre des forces ne jouait pas en leur faveur », a précisé le parlementaire.
Déformer le dialogue et le dévier de son cours initial ainsi que dresser des obstacles sur son chemin, conjugués à la non implication du président du parti de l’Alliance Populaire Progressiste (APP) Messaoud Ould Boulkheir ainsi qu’à l’expulsion du pôle de l’alternance démocratique, représentent réunis « un affront au Président devant toute partie, dès lors où il s’agit d’une altération de l’image qu’il a montré aux citoyens et au monde d’une part et un complot contre le stade fondamental de l’atmosphère d’’apaisement dans laquelle il a mis le pays, d’autre part, a-t-il préisé.
Nous espérons bien que le dialogue aboutisse, quelles que soient les parties qui y participeraient à des résultats importants, a affirmé Biram, mettant toutefois en garde, le clonage des négociateurs du Congrès d’Aleg, en se concertant avec des vocables communautaires et en se limitant aux identités nationalistes ethniques
Le calvaire des détenus dans le cadre des incidents de R’Kiz et les “arrestations répétées d’activistes sur les réseaux sociaux”, sont des sujets parmi d’autres sur lequel le député s’est attardé devant les médias.
Il a été également question d’un cas esclavagiste suivi par l’IRA et relatif à la fille Ghalle Mint Mahmoud, âgée de 8 ans, qui selon le président de l’IRA frappe toujours, avec l’appui judiciaire pacifique de son organisation, à la porte de la liberté au tribunal d’Aleg
senalioune
L’enlèvement de la police de la banderole portant le slogan du parti (non autorisé) RAG, au cours du meeting de l’IRA organisé en ma présence dans la ville d’Atar représente un message, a-t-il dit.
La lettre d’expulsion est intervenue après une réunion tenue au Premier ministère où elle a été soutenue par certains barons du régime, quoique des proches du Président Ould Ghazouani préfèrent le maintien de l’apaisement, mais “l’actuel équilibre des forces ne jouait pas en leur faveur », a précisé le parlementaire.
Déformer le dialogue et le dévier de son cours initial ainsi que dresser des obstacles sur son chemin, conjugués à la non implication du président du parti de l’Alliance Populaire Progressiste (APP) Messaoud Ould Boulkheir ainsi qu’à l’expulsion du pôle de l’alternance démocratique, représentent réunis « un affront au Président devant toute partie, dès lors où il s’agit d’une altération de l’image qu’il a montré aux citoyens et au monde d’une part et un complot contre le stade fondamental de l’atmosphère d’’apaisement dans laquelle il a mis le pays, d’autre part, a-t-il préisé.
Nous espérons bien que le dialogue aboutisse, quelles que soient les parties qui y participeraient à des résultats importants, a affirmé Biram, mettant toutefois en garde, le clonage des négociateurs du Congrès d’Aleg, en se concertant avec des vocables communautaires et en se limitant aux identités nationalistes ethniques
Le calvaire des détenus dans le cadre des incidents de R’Kiz et les “arrestations répétées d’activistes sur les réseaux sociaux”, sont des sujets parmi d’autres sur lequel le député s’est attardé devant les médias.
Il a été également question d’un cas esclavagiste suivi par l’IRA et relatif à la fille Ghalle Mint Mahmoud, âgée de 8 ans, qui selon le président de l’IRA frappe toujours, avec l’appui judiciaire pacifique de son organisation, à la porte de la liberté au tribunal d’Aleg
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