Le président Mohamed O. Abdel Aziz a accusé certains partis politiques de s’opposer à l’essence même de l’état, ajoutant qu’il découvre pour la première fois des citoyens qui soutiennent un état étranger contre leur pays.
Dans son discours à Kiffa, cinquième étape de sa tournée à l’intérieur du pays dans le cadre de la campagne pour l’adoption des amendements constitutionnels, le président Aziz a déclaré « qu’hisser en Mauritanie un drapeau autre que celui du pays est inacceptable et qu’un tel comportement ne se voit nulle part ailleurs ».
Il a défendu l’amendement relatif au changement de l’emblème national, « des changements dit-il qui glorifient le sacrifice et le respect des martyrs ».
Le président de la république a poursuivi ses diatribes à l’encontre du sénat, « un fardeau inutile sur le dos du pouvoir législatif, car il ne fait que paralyser son fonctionnement en retardant l’examen des lois relatives aux projets de développement économique.
O. Abdel Aziz a par ailleurs accusé les régimes antérieurs d’avoir sacrifié les régions de l’intérieur du pays au détriment de la capitale, ce qui avait favorisé un exode des populations vers cette ville.
source saharamedias.net
Dans son discours à Kiffa, cinquième étape de sa tournée à l’intérieur du pays dans le cadre de la campagne pour l’adoption des amendements constitutionnels, le président Aziz a déclaré « qu’hisser en Mauritanie un drapeau autre que celui du pays est inacceptable et qu’un tel comportement ne se voit nulle part ailleurs ».
Il a défendu l’amendement relatif au changement de l’emblème national, « des changements dit-il qui glorifient le sacrifice et le respect des martyrs ».
Le président de la république a poursuivi ses diatribes à l’encontre du sénat, « un fardeau inutile sur le dos du pouvoir législatif, car il ne fait que paralyser son fonctionnement en retardant l’examen des lois relatives aux projets de développement économique.
O. Abdel Aziz a par ailleurs accusé les régimes antérieurs d’avoir sacrifié les régions de l’intérieur du pays au détriment de la capitale, ce qui avait favorisé un exode des populations vers cette ville.
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