Le souci n'est pas de comparer mais simplement de souligner les limites de l'influence de la globalisation. Comme on ne recrée pas la roue, les exemples réussis constituent le grenier d’inspiration à adapter dans nos localités. Quelle influence alors, cette façon de faire de la décentralisation ailleurs, a comme impact dans nos différentes instances pour leur marche vers la maturité de gestion des collectivités.
Nous prenons le schéma de la France dans sa pratique de la décentralisation et de transfert des compétences aux différentes structures (communal, départemental et régional). L’exemple de l’organisation du secteur de l'éducation de la France pourrait être intéressant. Si on essayer de transposer ce modèle chez nous, nous voyons tout de suite les limites de notre système car nous n’avons qu’un niveau dans l’échelon et un deuxième qui se cherche une forme.
Si pour la France l’école primaire, les crèches, les garderies et les cantines relèvent des compétences communales ; les collèges dépendent des départements et la région quand à elle se charge des lycées sur des questions bien précises.
Ce qui nous empêche de réussir de cette sorte c’est parce que nous n’avons pas les différentes instances pour répartir les différents secteurs de notre système éducatif. Il est important de souligner au passage que l’enseignement préscolaire est quasi inexistant. Il faut penser corriger ce manque de respect des droits de l’enfant surtout les tous petits en généralisant cette étape de la scolarité.
Par ailleurs il y a des tares qui doivent être corrigées pour amorcer la dynamique véritablement dans processus de la décentralisation. Les moyens sont-ils vraiment le seul élément du puzzle problème, est-ce seulement cela qui justifier la rétention des moyens pour accompagner les compétences confiées aux communes. Rappelons que chez nous l’école primaire est une compétence communale mais le modèle politique substantiel adopté favorise un laxisme qui grippe toute duplication d’exemple réussi de gestion des collectivités.
Ce qui est centralité n’est pas décentralité excusez cette déformation de langage.
Ici nous n’allons pas tenter de décrire le comportement de ces récipiendaires de la décentralisation, pour prendre une période des années 86, mais l’analyser sous une posture qui pourrait permettre de mériter l’attention. Ou allions nous dire suscitant d'une part l’adhésion des populations pour faire bouger les choses à partir d'une injonction par le bas pour le cas précis de l’éducation des tous petits, une simple organisation auraient inciter les populations participer à la généralisation et au respect de ce droit des tous petits ,d'autre part placer l'état dans une situation de contrainte pour accompagner avec les moyens nécessaires pour réaliser les projets communaux là aussi c’est le statuquo alors ne serait ce que pour la professionnaliser des ressources humaines communales ,ces autorités locales ont préféré faire du clientélisme par simplement des recrutements de personnel pléthorique sans aucune qualification avec surtout des traitements modiques et sans contrainte même de présence.
Les communes ont un seul effort a faire celui la capacité d’assumer la responsabilité de rupture comme nous l’avons souligner un peu plus haut centralité est décentralité cependant dans une bonne intelligence « rien ne se fait sans cet état » pour se faire respecter par ces deux ensembles qui déterminent son existence. Au cas contraire nous allons continuer a chantonner ce refrain que « les peuples n ont que le gouvernement qui mérite » et justifiera toujours la rétention des moyens par l’inaptitude de gestion des communes ou la vitalité du modèle à pérenniser l’omniprésence de la centralité.
source alkhbar.info
Nous prenons le schéma de la France dans sa pratique de la décentralisation et de transfert des compétences aux différentes structures (communal, départemental et régional). L’exemple de l’organisation du secteur de l'éducation de la France pourrait être intéressant. Si on essayer de transposer ce modèle chez nous, nous voyons tout de suite les limites de notre système car nous n’avons qu’un niveau dans l’échelon et un deuxième qui se cherche une forme.
Si pour la France l’école primaire, les crèches, les garderies et les cantines relèvent des compétences communales ; les collèges dépendent des départements et la région quand à elle se charge des lycées sur des questions bien précises.
Ce qui nous empêche de réussir de cette sorte c’est parce que nous n’avons pas les différentes instances pour répartir les différents secteurs de notre système éducatif. Il est important de souligner au passage que l’enseignement préscolaire est quasi inexistant. Il faut penser corriger ce manque de respect des droits de l’enfant surtout les tous petits en généralisant cette étape de la scolarité.
Par ailleurs il y a des tares qui doivent être corrigées pour amorcer la dynamique véritablement dans processus de la décentralisation. Les moyens sont-ils vraiment le seul élément du puzzle problème, est-ce seulement cela qui justifier la rétention des moyens pour accompagner les compétences confiées aux communes. Rappelons que chez nous l’école primaire est une compétence communale mais le modèle politique substantiel adopté favorise un laxisme qui grippe toute duplication d’exemple réussi de gestion des collectivités.
Ce qui est centralité n’est pas décentralité excusez cette déformation de langage.
Ici nous n’allons pas tenter de décrire le comportement de ces récipiendaires de la décentralisation, pour prendre une période des années 86, mais l’analyser sous une posture qui pourrait permettre de mériter l’attention. Ou allions nous dire suscitant d'une part l’adhésion des populations pour faire bouger les choses à partir d'une injonction par le bas pour le cas précis de l’éducation des tous petits, une simple organisation auraient inciter les populations participer à la généralisation et au respect de ce droit des tous petits ,d'autre part placer l'état dans une situation de contrainte pour accompagner avec les moyens nécessaires pour réaliser les projets communaux là aussi c’est le statuquo alors ne serait ce que pour la professionnaliser des ressources humaines communales ,ces autorités locales ont préféré faire du clientélisme par simplement des recrutements de personnel pléthorique sans aucune qualification avec surtout des traitements modiques et sans contrainte même de présence.
Les communes ont un seul effort a faire celui la capacité d’assumer la responsabilité de rupture comme nous l’avons souligner un peu plus haut centralité est décentralité cependant dans une bonne intelligence « rien ne se fait sans cet état » pour se faire respecter par ces deux ensembles qui déterminent son existence. Au cas contraire nous allons continuer a chantonner ce refrain que « les peuples n ont que le gouvernement qui mérite » et justifiera toujours la rétention des moyens par l’inaptitude de gestion des communes ou la vitalité du modèle à pérenniser l’omniprésence de la centralité.
source alkhbar.info