Les indicateurs d’évaluation de la qualité dans les domaines d’alphabétisation et de l’éducation non formelle ont fait l’objet, lundi à Nouakchott, d’un atelier sous régional, organisé conjointement par la commission nationale pour l’éducation, la culture et la science et l’ISESCO, à l’intention des experts du Sénégal, du Togo, du Mali, de Burkina Faso et de la Mauritanie.
Le secrétaire général de commission nationale pour l’éducation, la culture et la science, Dr. Ismaël Ould Chouaïb, a précisé, dans son mot d’ouverture, que la rencontre s’inscrit dans le droit fil des orientations du Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, visant à rehausser le secteur de l’éducation et d’améliorer son niveau aux plans qualitatif et quantitatif.
Il a ajouté que l’atelier a pour but d’échanger les expériences entre les pays concernés et d’unifier leurs indicateurs d’évaluation de la qualité d’alphabétisation et de l’éducation non formelle.
Pour sa part, le représentant de l’association africaine pour le développement de l’enseignement, M. Maiga Youssouf a souligné la réalisation d’’enseignement non formelle de qualité en Afrique nécessite d’avantage d’expertises et de rencontre.
Quant au représentant de l’ISESCO, M. Kane Mohamedou Elimane, il a salué l’intérêt accroissant qu’accordent les pays de la région à la réforme de leurs secteurs éducatifs.
La cérémonie d’ouverture s’est déroulée en présence du directeur de l’enseignement fondamental.
source AMI
Le secrétaire général de commission nationale pour l’éducation, la culture et la science, Dr. Ismaël Ould Chouaïb, a précisé, dans son mot d’ouverture, que la rencontre s’inscrit dans le droit fil des orientations du Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, visant à rehausser le secteur de l’éducation et d’améliorer son niveau aux plans qualitatif et quantitatif.
Il a ajouté que l’atelier a pour but d’échanger les expériences entre les pays concernés et d’unifier leurs indicateurs d’évaluation de la qualité d’alphabétisation et de l’éducation non formelle.
Pour sa part, le représentant de l’association africaine pour le développement de l’enseignement, M. Maiga Youssouf a souligné la réalisation d’’enseignement non formelle de qualité en Afrique nécessite d’avantage d’expertises et de rencontre.
Quant au représentant de l’ISESCO, M. Kane Mohamedou Elimane, il a salué l’intérêt accroissant qu’accordent les pays de la région à la réforme de leurs secteurs éducatifs.
La cérémonie d’ouverture s’est déroulée en présence du directeur de l’enseignement fondamental.
source AMI