Juste un mot pour recadrer le dernier article de notre ami krombolé où il emploie le terme Chezvlane à quatre reprises pour articuler son dernier article « Ghazwani : Une posture présidentielle/ par Ely Ould Sid’Ahmed Krombelé
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Ceux qui ne lisent qu’avec les yeux ne verront pas le sournois procédé à mon sujet. Il n’a rien dit de désobligeant mais tout son article semble vouloir recadrer mon dernier article « Pour ces raisons, Ghazouani ne fera pas un autre mandat « comme s’il y avait matière à s’y engager.
Ainsi il résume de travers mes propos et introduit son article par ce qu’il prétend recadrer « Dans un article paru Chezvlane, l'auteur peint un Ghazwani déçu, désintéressé voire très peu poreux au souffle d'un second mandat… »
Je n’ai jamais employé le mot déçu mais désabusé non pas à propos du commandement mais à propos de l’élite du pays à qui il a affaire « On dirait que devenu président, il a découvert plus que quiconque qu’il n’y a rien à espérer de l’élite mauritanienne qui tient se pays ou qui s’oppose au pouvoir et sans laquelle il n’y a pas de stabilité à moins d’user de la force d’un régime militaire et de la violence psychologique des dictateurs depuis 1978. »
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Ensuite, il déroule son analyse avec un plagiat quand il parle de la perspicacité du chef de l’Etat face à ses interlocuteurs et quand il dit que cela ne fait pas plaisir à Ghazouani qu’on enfonce Aziz devant lui. Il suffit de relire mon article pour s’en convaincre.
En vérité, Krombolé pouvait étaler sa tartine sans me citer et sans piller mes remarques mais il a voulu dévaloriser l’opinion que je me fais du chef de l’Etat comme si j’avais besoin de ce grossier recadrage qu’il pense être subtil. Ainsi il va jusqu’à dire « Pour répondre explicitement à Chezvlane, je dirais qu'un chef ne quitte pas le commandement parce que son navire tangue. Au contraire, son devoir est de sauver son équipage et de rester le dernier sur le "rostre ensanglanté ».
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Où as-tu lu que j’invite le président à démissionner ? J’ai dit que je pense qu’il ne voudra pas faire un second mandat pour les raisons évoquées dans mon article, en quoi cela s’appelle quitter le commandement comme dit Krombolé, tourner le dos à son devoir ?
Là encore on voit toute la mauvaise foi de l’article qui a pour unique volonté de nuire sans trop montrer les dents afin de n’être pas mordu en retour ou peut-être que me connaissant, il sait que j’allais réagir sincèrement, ce qu’il lui donnerait motif à une attaque plus explicite.
J’invite Krombolé à ne pas jouer au plus fin avec quelqu’un qui a la gentillesse de corriger ses articles avant publication soit pour redresser de banales fautes de frappes, des formules bancales ou des inventions inconnues de la langue française. Son style ampoulé agrémenté de quelques formules latines arrivages, ne peut mystifier que les amateurs de langue archaïque.
Les lecteurs doivent savoir que s’il s’est lancé dans cet exercice sournois à mon sujet, c’est tout simplement car je ne réponds plus à ses appels et ses messages depuis une certaine discussion à propos de hommes de plume face au nerf de la guerre : l’argent. Je l’ai mis en quarantaine pour un mois car sa réaction délirante m’a déçu.
Sans parler de son cas personnel dont je ne sais rien, je lui disais, en parlant des plumitifs en général, qu’il est impossible de se dire journaliste, activiste ou juste intellectuel indépendant d’un régime ou de quiconque quand financièrement on ne l’est pas. Il vaut mieux être clairement communicant et encore, ce n’est pas donné à tout le monde car le communicant développe des arguments en restant crédible là où le plumitif tartine pour faire avaler en vain des salades grotesques.
J’ai ajouté que tous ceux qui reçoivent salaire ou avantages doivent aller au front pour défendre bec et ongles leur employeur ou leur bienfaiteur. Il m’a répondu que c’était bien possible pour un homme de plume de bénéficier du nerf de la guerre et rester indépendant. La discussion philosophique se passait bien jusqu’à ce que je lui pose en plaisantant une question que je ne savais pas si sensible. Là, il prit la mouche et il m’a dit que je n’étais qu’un petit bandit et qu’il regrettait de m’avoir connu. Ensuite, il m’a raccroché au nez. Cela m’a bien fait rire car je croyais qu’il plaisantait alors qu’il était sérieux.
Il m’en veut aussi d’avoir supprimé un de ses articles où il s’en prenait à Aziz à peine sorti de l’hôpital. Il soupçonne que j’ai reçu l’ordre de le supprimer pourtant il sait que je lui ai dit qu’après publication, j’ai réalisé qu’il y avait pour lui comme pour moi des risques de poursuites judiciaires via les avocats d’Aziz pour diffamation vu ses attaques. Je lui ai dit de mettre le conditionnel de rigueur et je republierai l’article. Il a refusé ; ce qui ne l’a pas empêché de demander à Cridem de le retirer en continuant à m’en vouloir.
De plus, je n’aime pas cette façon d’écrire Chezvlane sans me nommer alors que nous sommes amis et nous communiquons régulièrement sur WhatsApp. Il pourrait écrire mon nom mais peut-être qu’il en est encore à l’heure d’une de ses vieilles attaques à propos de Soueid Ahmed car je ne suis pas des Dowich. Aussi c’est une façon pour lui de me priver de nom. Je lui avais répondu à l’époque à propos de cette bêtise. Je ne connais rien de toute la gloire qu’il tire du tribalisme et me flatte d’être Mbeuzgui ayant grandi au Sénégal. Je regarde tous ses glorieux mirages sous l’angle de l’anthropologie qui remet les mythes de l’ergot à l’heure des mites.
Quant à lui, je me félicite qu’il ne signe plus Krombolé tout court mais désormais Ely Ould Sid’Ahmed Krombolé. On voit que les critiques des activistes négro-mauritaniens ont touché les os comme on dit en hassania car ils ont toujours dit que Krombolé sonnait très bambara.
Mon cher Ely Ould Sid’Ahmed, faut écrire tes articles en laissant ton jeune ami Vlane en paix et tout ira bien. Je sais que tu ne pourras pas t’empêcher de te lancer dans une autre attaque moins déguisée celle-là. Essaie de ne pas m’obliger à te répondre sous un autre ton.
Quant au chef de l’Etat, si tu veux le soutenir commence, comme je te l’ai dit plusieurs fois, par ne plus te lancer dans ton PMU sur l’armée où tu distribues les bons points aux uns et aux autres ; personne ne peut imaginer que ça soit gratuit et ensuite Ghazouani n’a pas besoin de ta science pour savoir qui promouvoir et où muter les uns et les autres. Tes sorties ressemblent beaucoup à des tirs de mercenaire pour motiver un cessez-le-feu à l’heure où internet est devenu le terrain du sport favori des plumitifs : la calomnie.
Mon cher Ely Ould Sid’Ahmed, faut écrire tes articles en laissant ton jeune ami Vlane en paix et tout ira bien. Je sais que tu ne pourras pas t’empêcher de te lancer dans une autre attaque moins déguisée celle-là. Essaie de ne pas m’obliger à te répondre sous un autre ton.
Quant au chef de l’Etat, si tu veux le soutenir commence, comme je te l’ai dit plusieurs fois, par ne plus te lancer dans ton PMU sur l’armée où tu distribues les bons points aux uns et aux autres ; personne ne peut imaginer que ça soit gratuit et ensuite Ghazouani n’a pas besoin de ta science pour savoir qui promouvoir et où muter les uns et les autres. Tes sorties ressemblent beaucoup à des tirs de mercenaire pour motiver un cessez-le-feu à l’heure où internet est devenu le terrain du sport favori des plumitifs : la calomnie.
Même le jeune et irréprochable général Mohamed Cheikh Ould Bodié chef d’Etat-major des forces spéciales n’a pas échappé à tes flèches malsaines.
Extrait « tel le brillant saint-cyrien Hamadé Ould Boidé, un soldat d'avenir, mais qui doit éviter à vouloir brûler les étapes à l'instar d'une poignée de ses collègues de la même génération, qui d'ailleurs ne pensent qu'à se faire de l'argent, beaucoup d’argent. «
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Pour finir tu dis « encore une fois Chezvlane, on ne peut remettre en cause l'admiration que tu portes au président Ghazwani ». Au moins une vérité sachant que si tu pouvais y porter atteinte sournoisement, tu le ferais et comme il n’y a que cela d’important pour moi, tout ce que tu diras n’aura jamais à mes yeux le moindre intérêt.
Aussi, à propos de Ghazouani que tu défends pour l’instant, je t’invite en parlant de moi à ne pas donner de toi l’image d’un sagate li mayeu hmeul saebou.
Merci
VLANE A.O.S.A
Extrait « tel le brillant saint-cyrien Hamadé Ould Boidé, un soldat d'avenir, mais qui doit éviter à vouloir brûler les étapes à l'instar d'une poignée de ses collègues de la même génération, qui d'ailleurs ne pensent qu'à se faire de l'argent, beaucoup d’argent. «
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Pour finir tu dis « encore une fois Chezvlane, on ne peut remettre en cause l'admiration que tu portes au président Ghazwani ». Au moins une vérité sachant que si tu pouvais y porter atteinte sournoisement, tu le ferais et comme il n’y a que cela d’important pour moi, tout ce que tu diras n’aura jamais à mes yeux le moindre intérêt.
Aussi, à propos de Ghazouani que tu défends pour l’instant, je t’invite en parlant de moi à ne pas donner de toi l’image d’un sagate li mayeu hmeul saebou.
Merci
VLANE A.O.S.A