PROFIL DE CAS : Un « N’dewné » dégoutant.
Depuis quelques jours, les images insoutenables d’une vidéo circulent sur les réseaux sociaux du monde entier. En ligne sur Tik-tok, Instagram, et Tweeter sous intitulé « Dubaï Porta Potty », cette vidéo LINK 2022 est devenue virale. Elle révèle malheureusement à notre connaissance que la supériorité matérielle et financière d’un individu peut anéantir une dignité humaine.
On déjà savait l’Homme (l’être humain) capable de tout. Capable de se laisser entrainer par le Satan pour aller au-delà de la limite de l’inimaginable et de l’insupportable. Mais jamais on ne pouvait s’imaginer que la folie de grandeur de cet Homme pouvait l’entrainer à l’extrême de l’indécence.
Pourtant, depuis toujours, et plus exactement depuis l’antiquité des phénomènes de plus en plus surprenants sont apparus. C’est en 1899 par exemple que Freud le père de la psychanalyse avait introduit la théorie du complexe d’œdipe inspiré par la mythologie grecque. Cette légende attribue au Roi de Thèbes, Œdipe d’avoir tué son père et marié sa propre mère.
Depuis cette date, l’humanité n’a jamais cessé d’apercevoir des sirènes d’alarme sous différentes formes qui mettaient en garde sur la dépravation poussée et extrême à laquelle l’inconscience de certaines personnes pouvait conduire.
L’inceste, la pédophilie, l’homosexualité, ces premiers cafouillages qui avaient souillés la dignité humaine, ont été « ajoutés » à d’autres formes encore plus incompatibles avec la valeur morale que nous recommandent nos religions et le bon sens de ne pas accomplir des actes contre-nature.
C’est le cas de la zoophilie entrée dans les mœurs de certains et qui occupe maintenant un terrain vaste où tout était permis. Tout ce qui rabaisse l’être humain jusqu’au plus bas de l’humiliation.
Malheureusement donc en ce qui concerne Dubaï, le mal était fait et nous avions simplement accepté iconsciemment d’aller le plus loin possible dans la dépravation des mœurs et coutumes.
Toutes les images pornographiques qui nous gavaient de faits « divers » d’un genre de plus en plus abjecte et de contre nature devaient nous servir d’alerte précoce et d’alarme pour nous éviter de nous retrouver face à l’imaginable et à l’insoutenable.
Et voilà. Malheureux c’est arrivé et c’était comme ça. C‘était écrit comme disait l’autre et on n’y peut rien. Malheureusement, pour nous tous, de toutes religions, (musulmans, catholiques ou autres), nous avons inconsciencieusement porté un coup très et très dur à nos valeurs religieuses.
La vidéo Dubaï Porta Potty largement diffusée sur les plateformes de tous les réseaux sociaux a laissé tous les communs du mortel perplexes. Sur ces images de la honte, qui est qui ? Qui a fait quoi ? Pourquoi ? Ce sont là des questions auxquelles il est peut-être même inutile de chercher des réponses. Ces réponses n’apporteront rien pour soulager l’humanité du mal qui lui a été fait.
L’humanité dans le sens le plus large du terme et dans son cercle élargi, avec ses blancs, ses noirs, ses jaunes, ses hommes, ses femmes, ses enfants, a été frappée par un cataclysme immoral duquel elle ne pourra peut-être plus jamais se relever.
La mal été fait. Il été fait sans exception à nous tous qui vivons sur cette terre. Mais aussi il a été fait à chacun de nous individuellement.
Quand l’inconscience pousse à une scatophilie satanique.
Le 2 mai, le Webjournal Afrique-Plus publiait en ligne, une vidéo (entre autres) devenue virale elle aussi, où une influenceuse apparait effectuant une « prestation » de service contre nature en entretenant des relations avec un chien. La vidéo étalée sur Twitter, Reddit et sur d’autres réseaux sociaux a particulièrement choqué les internautes africains.
Ces images insoutenables d’une jeune fille du continent (Lagos) soumise à une torture physique et morale ne représentent rien par rapport à ces millions d’images vidéos pornographiques d’européennes, asiatiques et africaines qui circulent sur les sites d’un marché à ciel ouvert qui rapporte plus aux pervers qui les publient que ce que rapporte la vente de la drogue dont l’écoulement est devenu de plus en plus difficile à cause des verrouillages des frontières par des contrôles plus performants.
Mais même si ces images vidéos insoutenables, d’une jeune noire africaine « payée » par un chien (sans doute un européen) pour faire l’amour avec son chien donnent de l’insomnie à beaucoup d’entre nous qui luttent partout sur la planète, ce « délit » est minime par rapport à la cruauté de ces riches émiratis véritables chiens de race qui ont piétiné les valeurs de la Oumaa Islamique, du monde africain et même de la planète toute entière en montrant aux yeux du monde jusqu’où leur sadisme pouvait les entrainer.
Les nationalités de la honte.
Nous avons tous été humiliés. Nous avons tous, en tant qu’êtres humains été jetés en pâture à l’inimaginable à cause de ce qu’on a fait faire à nos filles. 68 congolaises (Kinshasa et Brazzaville), 57 ivoiriennes, 44 camerounaises, 33 sénégalaises, et 22 maliennes, toutes ces filles pauvres qui ont été prises au piège par ce marché sordide et abjecte, où les corps sont loués à des monstres d’un genre nouveau.
Des monstres qui peuvent, par folie de grandeur et par perturbations psychiques graves, payer jusqu’à 97 millions de Frs CFA pour accoupler une fille avec leurs chameaux, jusqu’à 45 millions de frs CFA pour le « plaisir » sexuel de leurs chiens, et jusqu’à 39 millions de Frs CFA pour se soulager dans la bouche d’une fille.
Ceux qu’on appelle les Riches de Dubaï ont pervertis la race humaine. J’ai honte pour nous autres musulmans, j’ai honte pour nous autres arabes et j’ai honte pour ce nouveau rapport de force entre ces riches qui ne savent plus où injecter leur argent, et ces pauvres qui en cherchent en vendant aux enchères la valeur morale de leur corps de femmes envoûtée par les billets verts.
Dubai, la ville des lumières et du luxe insolent, jadis destination très prisée par les femmes et les filles du Monde entier, est devenue malheureusement une destination touristique de l’horreur où se vendent des billets pour l’enfer. Cet enfer dont l’accès est acheté avec de l’argent sale appartenant à des pervers sales, ignobles et maudits qui ne méritent que d’être brûlés vifs au pied du Burj El Khalifa cet édifice de 7 étoiles, 828 mètres de haut inauguré en 1999.
Ou peut-être même qui, avant d’être brulés vifs méritent d’être contraints d’avaler leurs propres excréments et d’être forcés à s’accoupler publiquement avec leurs chiens afin de dédommager la Société pour le préjudice moral subi à cause de ces images de comportements contraires à la morale.
Mohamed Chighali.
Journaliste indépendant
Administrateur de la Plateforme
« Groupe de Presse Francophone.Fr »
de Mauritanie
On déjà savait l’Homme (l’être humain) capable de tout. Capable de se laisser entrainer par le Satan pour aller au-delà de la limite de l’inimaginable et de l’insupportable. Mais jamais on ne pouvait s’imaginer que la folie de grandeur de cet Homme pouvait l’entrainer à l’extrême de l’indécence.
Pourtant, depuis toujours, et plus exactement depuis l’antiquité des phénomènes de plus en plus surprenants sont apparus. C’est en 1899 par exemple que Freud le père de la psychanalyse avait introduit la théorie du complexe d’œdipe inspiré par la mythologie grecque. Cette légende attribue au Roi de Thèbes, Œdipe d’avoir tué son père et marié sa propre mère.
Depuis cette date, l’humanité n’a jamais cessé d’apercevoir des sirènes d’alarme sous différentes formes qui mettaient en garde sur la dépravation poussée et extrême à laquelle l’inconscience de certaines personnes pouvait conduire.
L’inceste, la pédophilie, l’homosexualité, ces premiers cafouillages qui avaient souillés la dignité humaine, ont été « ajoutés » à d’autres formes encore plus incompatibles avec la valeur morale que nous recommandent nos religions et le bon sens de ne pas accomplir des actes contre-nature.
C’est le cas de la zoophilie entrée dans les mœurs de certains et qui occupe maintenant un terrain vaste où tout était permis. Tout ce qui rabaisse l’être humain jusqu’au plus bas de l’humiliation.
Malheureusement donc en ce qui concerne Dubaï, le mal était fait et nous avions simplement accepté iconsciemment d’aller le plus loin possible dans la dépravation des mœurs et coutumes.
Toutes les images pornographiques qui nous gavaient de faits « divers » d’un genre de plus en plus abjecte et de contre nature devaient nous servir d’alerte précoce et d’alarme pour nous éviter de nous retrouver face à l’imaginable et à l’insoutenable.
Et voilà. Malheureux c’est arrivé et c’était comme ça. C‘était écrit comme disait l’autre et on n’y peut rien. Malheureusement, pour nous tous, de toutes religions, (musulmans, catholiques ou autres), nous avons inconsciencieusement porté un coup très et très dur à nos valeurs religieuses.
La vidéo Dubaï Porta Potty largement diffusée sur les plateformes de tous les réseaux sociaux a laissé tous les communs du mortel perplexes. Sur ces images de la honte, qui est qui ? Qui a fait quoi ? Pourquoi ? Ce sont là des questions auxquelles il est peut-être même inutile de chercher des réponses. Ces réponses n’apporteront rien pour soulager l’humanité du mal qui lui a été fait.
L’humanité dans le sens le plus large du terme et dans son cercle élargi, avec ses blancs, ses noirs, ses jaunes, ses hommes, ses femmes, ses enfants, a été frappée par un cataclysme immoral duquel elle ne pourra peut-être plus jamais se relever.
La mal été fait. Il été fait sans exception à nous tous qui vivons sur cette terre. Mais aussi il a été fait à chacun de nous individuellement.
Quand l’inconscience pousse à une scatophilie satanique.
Le 2 mai, le Webjournal Afrique-Plus publiait en ligne, une vidéo (entre autres) devenue virale elle aussi, où une influenceuse apparait effectuant une « prestation » de service contre nature en entretenant des relations avec un chien. La vidéo étalée sur Twitter, Reddit et sur d’autres réseaux sociaux a particulièrement choqué les internautes africains.
Ces images insoutenables d’une jeune fille du continent (Lagos) soumise à une torture physique et morale ne représentent rien par rapport à ces millions d’images vidéos pornographiques d’européennes, asiatiques et africaines qui circulent sur les sites d’un marché à ciel ouvert qui rapporte plus aux pervers qui les publient que ce que rapporte la vente de la drogue dont l’écoulement est devenu de plus en plus difficile à cause des verrouillages des frontières par des contrôles plus performants.
Mais même si ces images vidéos insoutenables, d’une jeune noire africaine « payée » par un chien (sans doute un européen) pour faire l’amour avec son chien donnent de l’insomnie à beaucoup d’entre nous qui luttent partout sur la planète, ce « délit » est minime par rapport à la cruauté de ces riches émiratis véritables chiens de race qui ont piétiné les valeurs de la Oumaa Islamique, du monde africain et même de la planète toute entière en montrant aux yeux du monde jusqu’où leur sadisme pouvait les entrainer.
Les nationalités de la honte.
Nous avons tous été humiliés. Nous avons tous, en tant qu’êtres humains été jetés en pâture à l’inimaginable à cause de ce qu’on a fait faire à nos filles. 68 congolaises (Kinshasa et Brazzaville), 57 ivoiriennes, 44 camerounaises, 33 sénégalaises, et 22 maliennes, toutes ces filles pauvres qui ont été prises au piège par ce marché sordide et abjecte, où les corps sont loués à des monstres d’un genre nouveau.
Des monstres qui peuvent, par folie de grandeur et par perturbations psychiques graves, payer jusqu’à 97 millions de Frs CFA pour accoupler une fille avec leurs chameaux, jusqu’à 45 millions de frs CFA pour le « plaisir » sexuel de leurs chiens, et jusqu’à 39 millions de Frs CFA pour se soulager dans la bouche d’une fille.
Ceux qu’on appelle les Riches de Dubaï ont pervertis la race humaine. J’ai honte pour nous autres musulmans, j’ai honte pour nous autres arabes et j’ai honte pour ce nouveau rapport de force entre ces riches qui ne savent plus où injecter leur argent, et ces pauvres qui en cherchent en vendant aux enchères la valeur morale de leur corps de femmes envoûtée par les billets verts.
Dubai, la ville des lumières et du luxe insolent, jadis destination très prisée par les femmes et les filles du Monde entier, est devenue malheureusement une destination touristique de l’horreur où se vendent des billets pour l’enfer. Cet enfer dont l’accès est acheté avec de l’argent sale appartenant à des pervers sales, ignobles et maudits qui ne méritent que d’être brûlés vifs au pied du Burj El Khalifa cet édifice de 7 étoiles, 828 mètres de haut inauguré en 1999.
Ou peut-être même qui, avant d’être brulés vifs méritent d’être contraints d’avaler leurs propres excréments et d’être forcés à s’accoupler publiquement avec leurs chiens afin de dédommager la Société pour le préjudice moral subi à cause de ces images de comportements contraires à la morale.
Mohamed Chighali.
Journaliste indépendant
Administrateur de la Plateforme
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