Expert international, mauritanien, et ancien cadre supérieur de l’ONU, j’avais proposé, le dimanche 27/02/2022, sur ma page Facebook, un plan de paix novateur et entièrement original pour l'arrêt définitif de la guerre en Ukraine.
Ce plan, basé sur une analyse causale, systémique, géostratégique et historique, prend en considération les attentes des différents protagonistes du conflit (Ukraine, Russie, OTAN, UE, etc.)
Apparemment, l'entretien téléphonique que vient d'avoir les présidents Macron et Putine, dans l'après-midi de ce lundi 28/02/2022, au sujet des possibles scenarios de sortie de crise, semble me donner raison globalement, étant donné que pratiquement les mêmes idées que j'ai avancées aient constitué la trame de leur conversation.
Comme quoi...
Voici, Verbatim, le post que j'avais publié hier :
- Les deux belligérants, la Russie et l'Ukraine, décrètent un cessez-le-feu immédiat ;
L'Ukraine, en tant qu'Était SOUVERAIN, annonce publiquement et immédiatement par la voix de sin President de la République la saisine du parlement en vue d'adopter par loi constitutionnelle votée au parlement suivant la procédure d'urgence, un statut militaire neutre par rapport à l'antagonisme OTAN-Russie;
- La Russie conclut un pacte d'amitié de non agression avec l'Ukraine;-
L'OTAN conclut un pacte de non agression et d'amitié avec L'Ukraine;
- Les forces russes se retirent du territoire ukrainien envahi à partir du 23/02/2022 et reviennent à leur position d'avant le début de cette invasion ;
- Les régions séparatistes ukrainiennes bénéficient d'une autonomie interne et sont une zone démilitarisée;
- Les troupes russes se retirent de ces deux regions;
- Un fonds pour la reconstruction de L'Ukraine est constitué à hauteur de 10 milliards d'euros;- Les sanctions bilatérales et multilatérales contre la Russie sont levées ;
- Une conférence internationale comme celle de San Francisco se tient pour réformer les textes de L'ONU afin que celle-ci se dote des moyens juridiques permettant de contraindre par les moyens appropriés et immediats les États, même détenteurs du Droit de Véto, à ne pas porter atteinte à la souveraineté ou à l'intégrité territoriale d'autres États à travers des actes de guerre ou de déstabilisation quelconque.
Mohamed Ali Ould Lemrabott, Expert international, Ancien cadre de l'ONU