Les négociations entre la direction de la snim et les syndicats des travailleurs mises sur les rails après le débrayage observé le 1 er mai ont encore tourné court ce jeudi. Pour autant, les délégués n’ont pas quitté la table des négociations et projettent participer a un nouveau round de négociations prévu ce vendredi dont l’issue reste incertaine quitte a se résoudre à signer un protocole de désaccord à l’issue de celui-ci rapporte une source syndicale.
On rappelle que l’offre de proposition des délégués a été revue a la baisse en ce qui concerne la gratification convenue dans l’accord de 2014 : la gratification passe de 1000000 a 700000 par agent, les autres éléments de l’offre s’articulent autour : d’une allocation mensuelle d’un montant de quinze (15 000) UM par agent jusqu’à l’obtention d’un accord sur l’augmentation générale, une subvention de cent mille (100 000) Um pour chaque employé pour les produits de l’économat pendant le ramadan, réintégration des licenciés, intégration de 13 employés de la sous-traitance. En effet, toujours portés par l’envie de défendre la position des salariés pour l’application de l’accord de 2014, les délégués n’ont pu comprendre la position fermée de la Direction. Alors qu’elle avait eu la même attitude le mois dernier , ce qui nous avait conduit à appeler à une journée de débrayage le 1er mai.
La mascarade de négociation à laquelle nous a convié la direction cette semaine, montre que le directoire n’a jamais eu la volonté de partager avec les salariés les bons résultats de 2016 vantés par la direction commente notre source. Il y a donc d’un côté les bons résultats, les bénéfices, l’hôtel qu’on projette construire a Nouakchott , et de l’autre des salariés dont les carrières sont de moins en moins évolutives , qui se voient de plus en plus souvent reporter leur évolution salariale sous prétexte « qu’il n’y a pas d’enveloppe », et auxquels on ne redistribue pas les fruits de la croissance, ni sous forme d’intéressement, ni sous la forme de subventions des produits de l’économat.
On rappelle que l’offre de proposition des délégués a été revue a la baisse en ce qui concerne la gratification convenue dans l’accord de 2014 : la gratification passe de 1000000 a 700000 par agent, les autres éléments de l’offre s’articulent autour : d’une allocation mensuelle d’un montant de quinze (15 000) UM par agent jusqu’à l’obtention d’un accord sur l’augmentation générale, une subvention de cent mille (100 000) Um pour chaque employé pour les produits de l’économat pendant le ramadan, réintégration des licenciés, intégration de 13 employés de la sous-traitance. En effet, toujours portés par l’envie de défendre la position des salariés pour l’application de l’accord de 2014, les délégués n’ont pu comprendre la position fermée de la Direction. Alors qu’elle avait eu la même attitude le mois dernier , ce qui nous avait conduit à appeler à une journée de débrayage le 1er mai.
La mascarade de négociation à laquelle nous a convié la direction cette semaine, montre que le directoire n’a jamais eu la volonté de partager avec les salariés les bons résultats de 2016 vantés par la direction commente notre source. Il y a donc d’un côté les bons résultats, les bénéfices, l’hôtel qu’on projette construire a Nouakchott , et de l’autre des salariés dont les carrières sont de moins en moins évolutives , qui se voient de plus en plus souvent reporter leur évolution salariale sous prétexte « qu’il n’y a pas d’enveloppe », et auxquels on ne redistribue pas les fruits de la croissance, ni sous forme d’intéressement, ni sous la forme de subventions des produits de l’économat.
Pour les délégués, cette attitude de la Direction consiste à d’un côté prendre le prétexte d’un contexte économique difficile pour justifier ses choix, tout en niant cette même difficulté aux salariés qui font ses résultats.
Dans l’état actuel des choses et face à l’intransigeance de la Direction, nous ne pouvions rester immobiles et encore moins accepter les propositions faites au mépris des nôtres. Même si notre plate forme revendicative n’est pas satisfaite à 100 %, nous restons convaincus que les négociations finiront par aboutir à une issue favorable à l’ensemble du personnel. C’est d’ailleurs, ce que bon nombre du personnel attend de pied ferme dans les jours à venir.
source rimeco.info
source rimeco.info