Une convention de financement d’un montant de 105. 000. 000 (cent cinq millions d’ouguiyas MRU) soit l’équivalent d’environ 2.500.000 (deux millions cinq cents mille Euros) destinée à la participation au financement du plan national de riposte sanitaire à la pandémie de la COVID-19 a été signée, vendredi à Nouakchott, par le ministre de l’Économie et de l’Industrie, M. Abdel Aziz Ould Dahi, l’ambassadeur de France en Mauritanie, SEM. Robert Moulié et le directeur de l’Agence Française de Développement (AFD), M. Lionel Yondo.
Le financement servira au renforcement des capacités des hôpitaux de l’intérieur du pays, à la formation du personnel qui en a la charge, à l’acquisition de matériel de protection du personnel soignant , d’équipements biomédicaux, de réactifs et des médicaments afin d’assurer un meilleur suivi de la situation épidémiologique en Mauritanie.
Dans le discours qu’il a prononcé, le ministre de l’Économie et de l’Industrie a indiqué que l’appui de l’AFD intervient dans un contexte marqué par une diffusion accélérée de la COVID-19 sur les plans national et international, avec des retombées sanitaires, économiques et sociales connues.
Il a souligné que la Mauritanie est rentrée dans une phase de plus grande diffusion de la maladie, qui va solliciter davantage le système sanitaire du pays qui est appelé à s’adapter et à mieux se préparer.
M. Abdel Aziz Ould Dahi a enfin exprimé la gratitude de la Mauritanie au gouvernement français pour l’appui constant et efficace qu’il ne cesse d’apporter à notre pays.
De son côté, l’ambassadeur de France a noté que le soutien de son pays appuie le ministère mauritanien de la santé dans ses actions prioritaires en renforçant la surveillance et le dépistage afin de réduire la mortalité et les conséquences délétères de la maladie sur la santé des populations.
Il a souligné qu’un financement permettant de soutenir les populations rurales et urbaines les plus vulnérables dont les conditions de vie se sont aggravées par la pandémie est à l’étude par l’AFD
Le présent financement soutiendra le renforcement de la surveillance épidémiologique au niveau central et à l’intérieur du pays afin de permettre des interventions rapides pour répondre aux alertes et au suivi des nouveaux cas. Il permettra aussi un dépistage large, décentralisé et répondant aux standards de biosécurité ainsi que l’amélioration d’une prise en charge de qualité et sécurisée, à travers le financement d’équipements de protection, de médicaments et de matériel de traitement des déchets.
AMI
Le financement servira au renforcement des capacités des hôpitaux de l’intérieur du pays, à la formation du personnel qui en a la charge, à l’acquisition de matériel de protection du personnel soignant , d’équipements biomédicaux, de réactifs et des médicaments afin d’assurer un meilleur suivi de la situation épidémiologique en Mauritanie.
Dans le discours qu’il a prononcé, le ministre de l’Économie et de l’Industrie a indiqué que l’appui de l’AFD intervient dans un contexte marqué par une diffusion accélérée de la COVID-19 sur les plans national et international, avec des retombées sanitaires, économiques et sociales connues.
Il a souligné que la Mauritanie est rentrée dans une phase de plus grande diffusion de la maladie, qui va solliciter davantage le système sanitaire du pays qui est appelé à s’adapter et à mieux se préparer.
M. Abdel Aziz Ould Dahi a enfin exprimé la gratitude de la Mauritanie au gouvernement français pour l’appui constant et efficace qu’il ne cesse d’apporter à notre pays.
De son côté, l’ambassadeur de France a noté que le soutien de son pays appuie le ministère mauritanien de la santé dans ses actions prioritaires en renforçant la surveillance et le dépistage afin de réduire la mortalité et les conséquences délétères de la maladie sur la santé des populations.
Il a souligné qu’un financement permettant de soutenir les populations rurales et urbaines les plus vulnérables dont les conditions de vie se sont aggravées par la pandémie est à l’étude par l’AFD
Le présent financement soutiendra le renforcement de la surveillance épidémiologique au niveau central et à l’intérieur du pays afin de permettre des interventions rapides pour répondre aux alertes et au suivi des nouveaux cas. Il permettra aussi un dépistage large, décentralisé et répondant aux standards de biosécurité ainsi que l’amélioration d’une prise en charge de qualité et sécurisée, à travers le financement d’équipements de protection, de médicaments et de matériel de traitement des déchets.
AMI