Le groupe parlementaire de l’union des forces du progrès et du rassemblement des forces démocratiques (UFP-RFD) a l’Assemblée Nationale a justifié, jeudi à Nouakchott, son refus d’adopter le budget de l’Etat 2019, lors d’une conférence de presse conjointe.
Il a justifié sa décision par la négligence des priorités du peuples Mauritaniens, à savoir la santé, l’éducation, le développement social, la protection du consommateur, le transport ainsi que les autres domaines ayant trait à la vie quotidienne du citoyen.
Le groupe a plaidé pour une nouvelle approche efficace et rapide permettant de limiter le nombre d’accidents de la route, qui selon lui, résulte de l’état dégradant du réseau routier, surtout au niveau des routes de l’espoir et celle de Nouakchott-Nouadhibou, qui sont les plus exploitées.
Pour remédier à cette situation, le groupe appelle à davantage d’équipements et de conditions propices pour la sécurité des voyageurs et à la sanction des parties responsables de la répétition de ce genre de catastrophes, qui coûte la vie à un nombre important de nos compatriotes.
Le groupe a déclaré également avoir présenté une proposition dans laquelle il a demandé la création d’une commission d’enquête dans certains départements ministériels sur des questions ayant trait par exemple au Fonds des Revenus des Hydrocarbures ; au domaine foncier et au patrimoine de l’Etat ; aux activités de la société chinoise Hondong ; à la fondation de la SNIM ; aux projets exécutés dans le domaine de l’énergie solaire ; à ce qui a été communément appelé le marché du Port de l’Amitié; la liquidation de la société SONIMEX et autres institutions de l’Etat.
La conférence de presse s’est déroulée en présence du président du parti du RFD, M. Ahmed Ould Daddah ; le chef du groupe parlementaire en question ; le président de l’UFP, M. Mohamed Ould Maouloud ; le secrétaire général du parti de Inad, M. Sidi Ould El Kory et plusieurs membres du groupe parlementaire des deux partis.
AMI
Il a justifié sa décision par la négligence des priorités du peuples Mauritaniens, à savoir la santé, l’éducation, le développement social, la protection du consommateur, le transport ainsi que les autres domaines ayant trait à la vie quotidienne du citoyen.
Le groupe a plaidé pour une nouvelle approche efficace et rapide permettant de limiter le nombre d’accidents de la route, qui selon lui, résulte de l’état dégradant du réseau routier, surtout au niveau des routes de l’espoir et celle de Nouakchott-Nouadhibou, qui sont les plus exploitées.
Pour remédier à cette situation, le groupe appelle à davantage d’équipements et de conditions propices pour la sécurité des voyageurs et à la sanction des parties responsables de la répétition de ce genre de catastrophes, qui coûte la vie à un nombre important de nos compatriotes.
Le groupe a déclaré également avoir présenté une proposition dans laquelle il a demandé la création d’une commission d’enquête dans certains départements ministériels sur des questions ayant trait par exemple au Fonds des Revenus des Hydrocarbures ; au domaine foncier et au patrimoine de l’Etat ; aux activités de la société chinoise Hondong ; à la fondation de la SNIM ; aux projets exécutés dans le domaine de l’énergie solaire ; à ce qui a été communément appelé le marché du Port de l’Amitié; la liquidation de la société SONIMEX et autres institutions de l’Etat.
La conférence de presse s’est déroulée en présence du président du parti du RFD, M. Ahmed Ould Daddah ; le chef du groupe parlementaire en question ; le président de l’UFP, M. Mohamed Ould Maouloud ; le secrétaire général du parti de Inad, M. Sidi Ould El Kory et plusieurs membres du groupe parlementaire des deux partis.
AMI