Les 18 et 19 novembre, le président sénégalais Macky Sall présidera le forum de Dakar sur la paix et la sécurité en Afrique. Y sont attendus le Mauritanien Mohamed Ould Ghazouani, invité d’honneur, ainsi que le Premier ministre français Édouard Philippe.
Comme depuis 2014, chefs d’État africains, ministres français, militaires haut gradés en activité ou reconvertis dans le privé et chercheurs en tout genre se retrouveront à Dakar pour le forum international sur la paix et la sécurité en Afrique. L’événement doit se tenir les 18 et 19 novembre, après une brève cérémonie d’ouverture dans la soirée du 17 novembre, au Centre international de conférences Abdou Diouf, à Diamniadio, dans la banlieue de Dakar.
Présidé par le chef de l’État sénégalais Macky Sall, le forum tournera largement autour de la situation sécuritaire au Sahel, même s’il propose officiellement une thématique plus large : « Paix et sécurité en Afrique : les défis actuels du multilatéralisme ». Sécurité collective, terrorisme et conflits communautaires ou encore défense numérique seront les sujets des principales tables-rondes.
Ghazouani en invité d’honneur
Signe de l’importance de la couleur sahélienne donnée à l’événement, c’est le président mauritanien Mohamed Ould Ghazouani qui en sera l’invité d’honneur. Un symbole important – son prédécesseur, Mohamed Ould Abdel Aziz, n’était pas un habitué du forum – alors que le G5 Sahel, dont fait partie la Mauritanie, peine à peser sur une situation sécuritaire de plus en plus dégradée.
Soutien de première heure du G5 Sahel, la France a décidé d’envoyer une large délégation à Dakar. Le Premier ministre Édouard Philippe et sa ministre des Armées, Florence Parly, actuellement en visite au Tchad, seront présents, aux côtés des principaux officiers de l’armée française pour la région. Pierre Buyoya, Haut représentant de l’Union africaine pour le Mali et le Sahel, et Bindou Keïta, sous-secrétaire général des Nations unies pour l’Afrique, prendront également la parole.
Des contrats en coulisses ?
Au-delà des débats officiels, beaucoup devrait se jouer en coulisses, à l’abri des regards indiscrets. Aux côtés de leurs homologues français, les principaux chefs d’état-major des armées de la sous-région sont attendus afin de « favoriser un renforcement de la collaboration sur le terrain », explique un participant.
jeuneafrique
Comme depuis 2014, chefs d’État africains, ministres français, militaires haut gradés en activité ou reconvertis dans le privé et chercheurs en tout genre se retrouveront à Dakar pour le forum international sur la paix et la sécurité en Afrique. L’événement doit se tenir les 18 et 19 novembre, après une brève cérémonie d’ouverture dans la soirée du 17 novembre, au Centre international de conférences Abdou Diouf, à Diamniadio, dans la banlieue de Dakar.
Présidé par le chef de l’État sénégalais Macky Sall, le forum tournera largement autour de la situation sécuritaire au Sahel, même s’il propose officiellement une thématique plus large : « Paix et sécurité en Afrique : les défis actuels du multilatéralisme ». Sécurité collective, terrorisme et conflits communautaires ou encore défense numérique seront les sujets des principales tables-rondes.
Ghazouani en invité d’honneur
Signe de l’importance de la couleur sahélienne donnée à l’événement, c’est le président mauritanien Mohamed Ould Ghazouani qui en sera l’invité d’honneur. Un symbole important – son prédécesseur, Mohamed Ould Abdel Aziz, n’était pas un habitué du forum – alors que le G5 Sahel, dont fait partie la Mauritanie, peine à peser sur une situation sécuritaire de plus en plus dégradée.
Soutien de première heure du G5 Sahel, la France a décidé d’envoyer une large délégation à Dakar. Le Premier ministre Édouard Philippe et sa ministre des Armées, Florence Parly, actuellement en visite au Tchad, seront présents, aux côtés des principaux officiers de l’armée française pour la région. Pierre Buyoya, Haut représentant de l’Union africaine pour le Mali et le Sahel, et Bindou Keïta, sous-secrétaire général des Nations unies pour l’Afrique, prendront également la parole.
Des contrats en coulisses ?
Au-delà des débats officiels, beaucoup devrait se jouer en coulisses, à l’abri des regards indiscrets. Aux côtés de leurs homologues français, les principaux chefs d’état-major des armées de la sous-région sont attendus afin de « favoriser un renforcement de la collaboration sur le terrain », explique un participant.
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