Les travaux d’un forum national sur la Zone de libre-échange continentale africaine, organisé par le ministère du commerce, de l’industrie et du tourisme, en collaboration avec la commission économique des Nations Unies pour l'Afrique (CEA) ont démarré mercredi à Nouakchott.
Cette rencontre, de deux jours, vise à faire connaître la zone de libre-échange continentale africaine et à vulgariser le projet d’une stratégie nationale pour la mise en œuvre de cet accord pour réaliser un ensemble d’objectifs locaux et continentaux dont, entre autres, le marché commun africain, l’encouragement des investissements dans les pays africains, le renforcement des partenariats bilatéraux et le développement de l’industrie entre les États membres de l’Union.
A cette occasion, la secrétaire générale du ministère du commerce, de l’industrie et du tourisme, Mme El Aliya Mint Menkouss, a indiqué qu’en 2012 le sommet des chefs d’États et de Gouvernements de l’Union Africaine a décidé de l’accélération de la Zone de libre-échange continentale africaine avant 2018 en vue de contribuer au développement global de l’Afrique, conformément aux objectifs de l’agenda africain.
Elle a ajouté que la Zone de libre-échange continentale africaine constitue une source d’opportunités immenses pour les États membres, pour les citoyens de l’Union, pour les entreprises africaines et pour les investisseurs étrangers ainsi que pour le marché financier et pour les autres nations du monde.
Elle a, entre outre, souligné que la Mauritanie a œuvré durant la dernière décennie, conformément à la volonté de Son Excellence le Président de la République Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, à renforcer les infrastructures de base dans l’ensemble des domaines en faveur du développement socio-économique du pays en plus de l’adoption d’une stratégie nationale du développement industrielle.
Elle a également indiqué que le secteur privé a un rôle décisif dans la mise en œuvre de la Zone de libre-échange continentale africaine et dans l’atteinte de ses objectifs.
De son côté, le représentant de la commission économique des nations unies pour l’Afrique, Dr. Souleymane Abdallah, a souligné la grande importance de cette zone de libre-échange africaine (ZELZCA) eu égard à son large espace susceptible de renforcer les échanges commerciaux bilatéraux.
Il a ajouté qu’avec cet accord, les entreprises africaines seront plus compétitives et pourront satisfaire la consommation intérieure, mais aussi répondre aux besoins de cette classe moyenne en pleine expansion et rendre le continent plus attrayant.
Au sujet des retombées économiques de la zone, Dr. Souleymane Abdallah a précisé que les estimations de la CEA montrent que la ZELZCA augmentera le commerce inter-africain de plus de 50%, le PIB du continent de plus de quarante milliards de dollars et les exportations de plus de 55 milliards de dollars
Il importe de rappeler que 52 États sur les 55 pays africains ont signé l’accord constitutif de la zone de libre-échange continentale africaine et ceci depuis son lancement à Kigali (Rwanda) le 21 mars 2018 lors du sommet extraordinaire consacré à ce sujet.
La cérémonie d’ouverture de ce forum s’est déroulée en présence des secrétaires généraux des ministères du développement rural et du ministère délégué auprès du ministre de l’économie et des finances, chargé du Budget et du Conseiller technique chargé du Commerce.
source AMI
Cette rencontre, de deux jours, vise à faire connaître la zone de libre-échange continentale africaine et à vulgariser le projet d’une stratégie nationale pour la mise en œuvre de cet accord pour réaliser un ensemble d’objectifs locaux et continentaux dont, entre autres, le marché commun africain, l’encouragement des investissements dans les pays africains, le renforcement des partenariats bilatéraux et le développement de l’industrie entre les États membres de l’Union.
A cette occasion, la secrétaire générale du ministère du commerce, de l’industrie et du tourisme, Mme El Aliya Mint Menkouss, a indiqué qu’en 2012 le sommet des chefs d’États et de Gouvernements de l’Union Africaine a décidé de l’accélération de la Zone de libre-échange continentale africaine avant 2018 en vue de contribuer au développement global de l’Afrique, conformément aux objectifs de l’agenda africain.
Elle a ajouté que la Zone de libre-échange continentale africaine constitue une source d’opportunités immenses pour les États membres, pour les citoyens de l’Union, pour les entreprises africaines et pour les investisseurs étrangers ainsi que pour le marché financier et pour les autres nations du monde.
Elle a, entre outre, souligné que la Mauritanie a œuvré durant la dernière décennie, conformément à la volonté de Son Excellence le Président de la République Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, à renforcer les infrastructures de base dans l’ensemble des domaines en faveur du développement socio-économique du pays en plus de l’adoption d’une stratégie nationale du développement industrielle.
Elle a également indiqué que le secteur privé a un rôle décisif dans la mise en œuvre de la Zone de libre-échange continentale africaine et dans l’atteinte de ses objectifs.
De son côté, le représentant de la commission économique des nations unies pour l’Afrique, Dr. Souleymane Abdallah, a souligné la grande importance de cette zone de libre-échange africaine (ZELZCA) eu égard à son large espace susceptible de renforcer les échanges commerciaux bilatéraux.
Il a ajouté qu’avec cet accord, les entreprises africaines seront plus compétitives et pourront satisfaire la consommation intérieure, mais aussi répondre aux besoins de cette classe moyenne en pleine expansion et rendre le continent plus attrayant.
Au sujet des retombées économiques de la zone, Dr. Souleymane Abdallah a précisé que les estimations de la CEA montrent que la ZELZCA augmentera le commerce inter-africain de plus de 50%, le PIB du continent de plus de quarante milliards de dollars et les exportations de plus de 55 milliards de dollars
Il importe de rappeler que 52 États sur les 55 pays africains ont signé l’accord constitutif de la zone de libre-échange continentale africaine et ceci depuis son lancement à Kigali (Rwanda) le 21 mars 2018 lors du sommet extraordinaire consacré à ce sujet.
La cérémonie d’ouverture de ce forum s’est déroulée en présence des secrétaires généraux des ministères du développement rural et du ministère délégué auprès du ministre de l’économie et des finances, chargé du Budget et du Conseiller technique chargé du Commerce.
source AMI