La China Road and Bridge Company (CRBC), filiale du géant China Communication and Construction Company (CCCC) est pressentie pour le contrat de construction de l’échangeur du carrefour Madrid à Nouakchott. Un projet inédit dans la mesure où il sera le premier ouvrage du genre construit en plein cœur de la ville de Nouakchott.
Le financement de la réalisation de l’échangeur dit de l’Amitié ainsi que l’acquisition du matériel de sûreté pour l’Aéroport international Nouakchott Oumtousy d’un montant global de 300 millions de Yuans (42,3 millions de dollars) a été consenti par la Chine à titre de dons en janvier 2018.
La construction d’un échangeur est si cruciale qu’elle permettra de fluidifier le trafic routier au niveau du carrefour Madrid où les embouteillages sont fréquents aux heures de pointe.
La China Road and Bridge Company a déjà raflé le contrat de construction du port de pêche industrielle situé à 28 km au sud de Nouakchott d’un montant de 586 millions de yuans (82,5 millions de dollars), financé par la Chine qui a conclu un accord avec la Mauritanie en février 2018. Le projet du port de pêche industrielle est d’autant plus stratégique qu’il aura un impact significatif sur les opportunités d’emploi et la création de la valeur ajoutée dans le domaine de la pêche en Mauritanie.
En ce qui concerne l’exécution du projet de port en eau profonde de Nouadhibou (la capitale économique de la Mauritanie, située à 400 km au Nord de Nouakchott) c’est une autre filiale de la China Communication and Construction Company (CCCC) en l’occurrence la China Harbour Engineering Company (CHEC) qui est pressentie. “Le projet en question vise à concurrencer le port de Tanger”, avance-t-on. De quoi laisser dubitatif cet ancien commandant du Port autonome de Nouadhibou pour qui, “c’est peine perdue car rivaliser avec le port marocain en question n’est pas dans les cordes de la Zone franche de Nouadhibou (ZFN), l’autorité contractante de la construction du futur port en eau profonde”.
financiafrik.com
Le financement de la réalisation de l’échangeur dit de l’Amitié ainsi que l’acquisition du matériel de sûreté pour l’Aéroport international Nouakchott Oumtousy d’un montant global de 300 millions de Yuans (42,3 millions de dollars) a été consenti par la Chine à titre de dons en janvier 2018.
La construction d’un échangeur est si cruciale qu’elle permettra de fluidifier le trafic routier au niveau du carrefour Madrid où les embouteillages sont fréquents aux heures de pointe.
La China Road and Bridge Company a déjà raflé le contrat de construction du port de pêche industrielle situé à 28 km au sud de Nouakchott d’un montant de 586 millions de yuans (82,5 millions de dollars), financé par la Chine qui a conclu un accord avec la Mauritanie en février 2018. Le projet du port de pêche industrielle est d’autant plus stratégique qu’il aura un impact significatif sur les opportunités d’emploi et la création de la valeur ajoutée dans le domaine de la pêche en Mauritanie.
En ce qui concerne l’exécution du projet de port en eau profonde de Nouadhibou (la capitale économique de la Mauritanie, située à 400 km au Nord de Nouakchott) c’est une autre filiale de la China Communication and Construction Company (CCCC) en l’occurrence la China Harbour Engineering Company (CHEC) qui est pressentie. “Le projet en question vise à concurrencer le port de Tanger”, avance-t-on. De quoi laisser dubitatif cet ancien commandant du Port autonome de Nouadhibou pour qui, “c’est peine perdue car rivaliser avec le port marocain en question n’est pas dans les cordes de la Zone franche de Nouadhibou (ZFN), l’autorité contractante de la construction du futur port en eau profonde”.
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