Le député Biram Dah Abeid a déclaré, dans une conférence de presse tenue dans la ville de Nouadhibou, que l’espoir est presque perdu dans les réformes du système actuel, appelant le président Mohamed Ould Ghazouani à se souvenir de la discussion qui a eu lieu avec lui il y a quelque temps.
Ould Abeid s’est adressé au président, déclarant: “Nous devons contempler, reconsidérer et prendre garde aux prétendants, car cela n’ont pas profité aux anciens présidents, dont l’ancien président, Mohamed Ould Abdel Aziz”
Biram a indiqué que la ville de Nouadhibou souffre de famine due à la malnutrition, atteint aussi par des médecins des hôpitaux, à un moment où ses capacités économiques des hôpitaux étaient censées être suffisantes pour répondre aux besoins du pays.
Ould Abeid a estimé qu’il n’est pas satisfait de la manière dont la tragédie douloureuse prés de la ville de Nouadhibou a été traitée, affirmant que les victimes sont restées pendant des heures sur les lieux de l’accident, considérant qu’il s’agit d’une négligence manifeste et d’une négligence de la vie des citoyens. Le ministre la santé avait promu des ambulances pour les secours des accidents, qu’en est il devenu.
Biram a décrit que les entreprises chinoises et turques comme une menace pour la sécurité alimentaire et maritime nationale, et les accords avec ces pays doivent être revus, avertissant que leur poursuite en l’absence de dissuasion et de surveillance signifie la poursuite du pillage.
Le député a estimé que la Mauritanie souffre d’un problème de contrôle maritime. Il n y a pas de contrôle des accords que le gouvernement conclus avec des étrangers, notant que des ressources humaines et techniques suffisantes n’ont pas été mobilisées, et qu’une formation et des mécanismes suffisants n’ont pas été investis pour suivre le rythme de la mise en œuvre des accords, considérant que seulement 40% d’entre eux ont été appliqués.
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