Le conseil de sécurité des nations unies a donné mercredi son feu vert pour le déploiement d’une force africaine dans la région du Sahel et le Sahara africains.
La France, à l’origine de l’initiative, avait réussie à convaincre Washington, septique au départ à cette proposition.
Le conseil a donc autorisé le déploiement d’une force commune des 5 pays du Sahel (Mauritanie, Mali, Burkina Faso, Tchad et Niger) de 5000 hommes dans cette région mais pas sous mandat de l’ONU.
La création de cette force spéciale commune avait été décidée par les 5 pays du G5 pour faire face à la recrudescence du terrorisme dans la région.
Les chefs d’état de ces pays se réuniront le 2 juillet prochain à Bamako en présence du président français manuel Macron.
L’ambassadeur français aux nations unies François Delattre a dit que cette décision est un signe fort consacrant l’unité du conseil et sa détermination à combattre, plus que jamais, le terrorisme au Sahel.
Un porte parole de la mission américaine aux nations unies a salué l’accord trouvé avec la France qui prévoit dit-il la mise en place d’une force chargée de la lutte contre le terrorisme, le trafic transfrontalier et la traite des personnes.
Tout en autorisant le déploiement de cette force, le conseil de sécurité ne se réfère pas à l’article 7 de la charte des nations unies qui autorise l’usage de la force.
Les opérations des groupes armés salafistes affiliés à Al Qaida et à l’état islamique se sont accrues et se sont même étendues à d’autres régions du Mali et aux pays voisins notamment le Burkina Faso et le Niger.
source saharamedias.net
La France, à l’origine de l’initiative, avait réussie à convaincre Washington, septique au départ à cette proposition.
Le conseil a donc autorisé le déploiement d’une force commune des 5 pays du Sahel (Mauritanie, Mali, Burkina Faso, Tchad et Niger) de 5000 hommes dans cette région mais pas sous mandat de l’ONU.
La création de cette force spéciale commune avait été décidée par les 5 pays du G5 pour faire face à la recrudescence du terrorisme dans la région.
Les chefs d’état de ces pays se réuniront le 2 juillet prochain à Bamako en présence du président français manuel Macron.
L’ambassadeur français aux nations unies François Delattre a dit que cette décision est un signe fort consacrant l’unité du conseil et sa détermination à combattre, plus que jamais, le terrorisme au Sahel.
Un porte parole de la mission américaine aux nations unies a salué l’accord trouvé avec la France qui prévoit dit-il la mise en place d’une force chargée de la lutte contre le terrorisme, le trafic transfrontalier et la traite des personnes.
Tout en autorisant le déploiement de cette force, le conseil de sécurité ne se réfère pas à l’article 7 de la charte des nations unies qui autorise l’usage de la force.
Les opérations des groupes armés salafistes affiliés à Al Qaida et à l’état islamique se sont accrues et se sont même étendues à d’autres régions du Mali et aux pays voisins notamment le Burkina Faso et le Niger.
source saharamedias.net