Son Excellence le Président de la République, M. Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, a supervisé, lundi à Nouakchott, la pose de la première pierre du projet de construction d'un Datacenter de haute performance et au lancement d'un package d'importants projets numériques, qui incarnent l'intégration de notre pays dans le cadre de la transformation numérique, qui est un préalable au développement durable et à la bonne gouvernance.
Le projet de construction d'un Datacenter de haute performance (Datacenter Mauritania) va permettre à notre pays de renforcer sa souveraineté numérique, localiser l'hébergement des données numériques dans le pays et améliorer le respect des normes de sécurité. Dans ce sens, le département va disposer d’un outil essentiel pour la transition numérique. Ainsi, le secteur public se digitalise dans un cadre sécurisé et avec une bonne qualité de l'hébergement.
Le coût global de ce projet, financé par la Banque européenne d'Investissement et dont la fin des travaux est prévue dans 480 jours, est de 8 390 654 dollars américains.
Quant au paquet de projets numériques, il comprend l'acquisition d'un système de visioconférence pour l’intranet du gouvernement, permettant d’assurer l’interconnexion et l’interopérabilité entre la Présidence, le Premier ministère, les 35 départements ministériels et les organes stratégiques de l’État.
La mise en place du système, va à améliorer la collaboration et la coordination des actions gouvernementales à travers le système de communication visuelle, notamment en cas de nécessité de distanciation physique. La plateforme mettra à niveau, la coopération sécurisée et distanciée entre les hauts responsables de l’État, et l'introduction de nouvelles pratiques dans le domaine de l'administration numérique.
L'enveloppe financière de ce système, financé par la Banque mondiale, est de 697,5 mille dollars américains. Le délai d’exécution est fixé à 3 mois.
Le troisième et dernier élément du paquet lancé, aujourd’hui, est le projet de mise en place d’une plateforme de digitalisation de services publics. Il vise à permettre la digitalisation des services publics au profit des citoyens, entreprises et agents de l’État. Grâce à cet outil, vingt services prioritaires sont disponibles, sans, ou avec peu de déplacements. C’est notamment le cas des demandes et obtention de pièces d’état civil, de visas, de cas judiciaires, des formalités d’obtention de permis de conduire, des démarches et services de la Caisse nationale de Sécurité sociale (CNSS) et de l’e-payement des services digitalisés et ceux non digitalisés, entre autres.
A travers le projet, le ministère en charge de la Transition numérique, entend augmenter la performance de l’Administration en rendant facilement accessible l’information sur les procédures et démarches. Enfin, le ministère estime que ce projet est un premier pas, vers l’objectif écologiste «0 papier».
A noter que le projet est financé par le Programme Prioritaire Élargi du Président de la République (ProPep) et la Banque Mondiale, à hauteur de 2,788 millions de dollars américains. Le délai d’exécution prévu est de 18 mois. AMI
Le projet de construction d'un Datacenter de haute performance (Datacenter Mauritania) va permettre à notre pays de renforcer sa souveraineté numérique, localiser l'hébergement des données numériques dans le pays et améliorer le respect des normes de sécurité. Dans ce sens, le département va disposer d’un outil essentiel pour la transition numérique. Ainsi, le secteur public se digitalise dans un cadre sécurisé et avec une bonne qualité de l'hébergement.
Le coût global de ce projet, financé par la Banque européenne d'Investissement et dont la fin des travaux est prévue dans 480 jours, est de 8 390 654 dollars américains.
Quant au paquet de projets numériques, il comprend l'acquisition d'un système de visioconférence pour l’intranet du gouvernement, permettant d’assurer l’interconnexion et l’interopérabilité entre la Présidence, le Premier ministère, les 35 départements ministériels et les organes stratégiques de l’État.
La mise en place du système, va à améliorer la collaboration et la coordination des actions gouvernementales à travers le système de communication visuelle, notamment en cas de nécessité de distanciation physique. La plateforme mettra à niveau, la coopération sécurisée et distanciée entre les hauts responsables de l’État, et l'introduction de nouvelles pratiques dans le domaine de l'administration numérique.
L'enveloppe financière de ce système, financé par la Banque mondiale, est de 697,5 mille dollars américains. Le délai d’exécution est fixé à 3 mois.
Le troisième et dernier élément du paquet lancé, aujourd’hui, est le projet de mise en place d’une plateforme de digitalisation de services publics. Il vise à permettre la digitalisation des services publics au profit des citoyens, entreprises et agents de l’État. Grâce à cet outil, vingt services prioritaires sont disponibles, sans, ou avec peu de déplacements. C’est notamment le cas des demandes et obtention de pièces d’état civil, de visas, de cas judiciaires, des formalités d’obtention de permis de conduire, des démarches et services de la Caisse nationale de Sécurité sociale (CNSS) et de l’e-payement des services digitalisés et ceux non digitalisés, entre autres.
A travers le projet, le ministère en charge de la Transition numérique, entend augmenter la performance de l’Administration en rendant facilement accessible l’information sur les procédures et démarches. Enfin, le ministère estime que ce projet est un premier pas, vers l’objectif écologiste «0 papier».
A noter que le projet est financé par le Programme Prioritaire Élargi du Président de la République (ProPep) et la Banque Mondiale, à hauteur de 2,788 millions de dollars américains. Le délai d’exécution prévu est de 18 mois. AMI