Le Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, s’est rendu mercredi à Ouad- Naga où il a pris connaissance de l’état d’avancement du chantier de construction du parc national d’Aouleigatt.
Sur le site, le Chef de l’Etat a été accueilli par le ministre de l’environnement et du développement durable, M. Amedi Camara, entouré de ses principaux collaborateurs, du maire d’Aouleigatt et des autorités administratives et municipales de la Mouaghataa de Ouad Naga.
Il a, par la suite, suivi des explications techniques sur les caractéristiques de la structure, ses composantes et ses étapes déjà réalisées, de la part de son directeur, M. Sid’Ahmed Ould Baba.
Le Chef de l’Etat a également fait le tour du parc et s’est arrêté au niveau de certaines composantes pour s’enquérir des efforts déployés en matière de production des arbustes et des forages verts destinés à l’alimentation des animaux sauvages dans le parc.
Il a constaté aussi le déroulement du travail dans certains ateliers du projet.
Le parc a été créé le 5 octobre 2016 dans la zone d’Aouleigatt. Il est d’une superficie de 1600 hectares, encerclés avec du grillage.
Il a une mission double consistant à exercer deux rôles essentiels dont le premier porte sur la récupération des espèces d’animaux disparus ou en voie de disparition, tandis que le second porte sur la dynamisation du tourisme écologique dans la zone.
Le parc comprend également plusieurs autres composantes dont un lieu d’adaptation des gazelles et des biches, une foire des animaux sauvages comme les lions, des espaces pour l’exposition des variétés de poissons et des reptiles et des espaces de 20 hectares destinés à la production des forages, un lac artificiel de 250 mètres de longueurs et 100 mètres de largeur pour impulser le tourisme et la culture écologique.
Des travaux sont à pied d’œuvre pour la construction d’une cité touristique aux environs du site qui abrite actuellement certains animaux comme les gazelles et les mouflons.
Le parc est lié par des accords de partenariat et de coopération avec le Sénégal, le Mali, le Niger, le Tchad et la Turquie et l’Espagne dans le but de récupérer ou acquérir certains espaces d’animaux et d’échanger les expériences et compétences dans le domaine
L’Etat mauritanien supporte entièrement toutes les charges et dépenses nécessaires pour le fonctionnement de cette structure publique.
source AMI
Sur le site, le Chef de l’Etat a été accueilli par le ministre de l’environnement et du développement durable, M. Amedi Camara, entouré de ses principaux collaborateurs, du maire d’Aouleigatt et des autorités administratives et municipales de la Mouaghataa de Ouad Naga.
Il a, par la suite, suivi des explications techniques sur les caractéristiques de la structure, ses composantes et ses étapes déjà réalisées, de la part de son directeur, M. Sid’Ahmed Ould Baba.
Le Chef de l’Etat a également fait le tour du parc et s’est arrêté au niveau de certaines composantes pour s’enquérir des efforts déployés en matière de production des arbustes et des forages verts destinés à l’alimentation des animaux sauvages dans le parc.
Il a constaté aussi le déroulement du travail dans certains ateliers du projet.
Le parc a été créé le 5 octobre 2016 dans la zone d’Aouleigatt. Il est d’une superficie de 1600 hectares, encerclés avec du grillage.
Il a une mission double consistant à exercer deux rôles essentiels dont le premier porte sur la récupération des espèces d’animaux disparus ou en voie de disparition, tandis que le second porte sur la dynamisation du tourisme écologique dans la zone.
Le parc comprend également plusieurs autres composantes dont un lieu d’adaptation des gazelles et des biches, une foire des animaux sauvages comme les lions, des espaces pour l’exposition des variétés de poissons et des reptiles et des espaces de 20 hectares destinés à la production des forages, un lac artificiel de 250 mètres de longueurs et 100 mètres de largeur pour impulser le tourisme et la culture écologique.
Des travaux sont à pied d’œuvre pour la construction d’une cité touristique aux environs du site qui abrite actuellement certains animaux comme les gazelles et les mouflons.
Le parc est lié par des accords de partenariat et de coopération avec le Sénégal, le Mali, le Niger, le Tchad et la Turquie et l’Espagne dans le but de récupérer ou acquérir certains espaces d’animaux et d’échanger les expériences et compétences dans le domaine
L’Etat mauritanien supporte entièrement toutes les charges et dépenses nécessaires pour le fonctionnement de cette structure publique.
source AMI