Les travaux de l’atelier de lancement du projet d’accès au service public de la justice et du genre organisé par l’association des femmes chefs de ménage et l’ONG Terre des Hommes ont démarré mercredi à Nouakchott .
Ce projet vise garantir l’accès à la justice des jeunes garçons et des jeunes filles ainsi que des enfants en conflit avec la loi et à prévenir contre l’extrémisme et la violence en particulier à l’égard des femmes et des filles.
Dans un mot pour la circonstance, M. Amar Ould Ghassem, conseiller technique du ministre de la justice, secrétaire général du ministère par intérim, a indiqué que l’organisation de cette rencontre intervient quelques jours après l’approbation par le gouvernement de deux communications qui constitueront une feuille de route de l’action gouvernementale dans le domaine de la justice pour les prochaines années. Il s’agit de la communication sur la politique sectorielle et de la stratégie nationale d’accès au service public de la justice.
Il a relevé que la politique sectorielle représente un axe du programme électoral du Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani qui s’est engagé à mettre en place un système judiciaire indépendant et apte à défendre les droits des citoyens et leurs libertés, engagement réaffirmé par le Premier ministre, M. Ismail Bedde Cheikh Sidiya dans sa déclaration de politique générale du gouvernement devant l’Assemblée nationale.
M. Amar Ould Ghassem a ajouté que se préoccuper de l’accès au service public de la justice et assurer l’efficience des mécanismes de cet accès représente une des garanties importantes pour le renforcement et la promotion des droits de l’Homme, ce qui est d’une importance majeure pour les justiciables de faibles revenus mais aussi pour les habitués des tribunaux en général.
La stratégie nationale d’accès à la justice englobe l’action visant à rapprocher ce service public des justiciables au plan géographique et à travers la réforme de l’organisation judiciaire et son rapprochement culturellement par le biais de la propagation de la conscience des droits et devoirs et la dynamisation des principaux acteurs en plus de la création d’un mécanisme d’aide judiciaire pour renforcer et faciliter l’accès à la justice des franges vulnérables.
Le ministère, dit-il, va s’atteler à réformer le cadre législatif en général afin de l’adapter aux engagements internationaux de la Mauritanie surtout en ce qui concerne la délinquance, le crime organisé et le terrorisme.
A leur tour, Mme Aminetou Mint Ely, présidente de l’association des femmes chefs de ménage et M. Dia, représentant de l’ONG Terre des Hommes - Italie, ont souligné que leur ONGs ont pour but de faire la lumière sur les problèmes des populations marginalisées comme les jeunes, et les enfants en conflit avec la loi ainsi que les victimes de la violence basée sur le genre.
Le coordinateur général du bureau technique de la coopération à l’ambassade d’Espagne, M. Juan Jose Lavin Suarez a précisé que la protection de l’enfant figure parmi les plus importantes garanties et préoccupations de son pays louant la coopération des ministères concernés dans l’amélioration de la situation des enfants mineurs.
La cérémonie s’est déroulée en présence du secrétaire général du ministère de l’intérieur et de la décentralisation, d’une représentante du ministère des affaires sociales, de l’enfance et de la famille, du directeur de la protection judiciaire de l’enfant au ministère, et une assistance nombreuse.
ami
Ce projet vise garantir l’accès à la justice des jeunes garçons et des jeunes filles ainsi que des enfants en conflit avec la loi et à prévenir contre l’extrémisme et la violence en particulier à l’égard des femmes et des filles.
Dans un mot pour la circonstance, M. Amar Ould Ghassem, conseiller technique du ministre de la justice, secrétaire général du ministère par intérim, a indiqué que l’organisation de cette rencontre intervient quelques jours après l’approbation par le gouvernement de deux communications qui constitueront une feuille de route de l’action gouvernementale dans le domaine de la justice pour les prochaines années. Il s’agit de la communication sur la politique sectorielle et de la stratégie nationale d’accès au service public de la justice.
Il a relevé que la politique sectorielle représente un axe du programme électoral du Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani qui s’est engagé à mettre en place un système judiciaire indépendant et apte à défendre les droits des citoyens et leurs libertés, engagement réaffirmé par le Premier ministre, M. Ismail Bedde Cheikh Sidiya dans sa déclaration de politique générale du gouvernement devant l’Assemblée nationale.
M. Amar Ould Ghassem a ajouté que se préoccuper de l’accès au service public de la justice et assurer l’efficience des mécanismes de cet accès représente une des garanties importantes pour le renforcement et la promotion des droits de l’Homme, ce qui est d’une importance majeure pour les justiciables de faibles revenus mais aussi pour les habitués des tribunaux en général.
La stratégie nationale d’accès à la justice englobe l’action visant à rapprocher ce service public des justiciables au plan géographique et à travers la réforme de l’organisation judiciaire et son rapprochement culturellement par le biais de la propagation de la conscience des droits et devoirs et la dynamisation des principaux acteurs en plus de la création d’un mécanisme d’aide judiciaire pour renforcer et faciliter l’accès à la justice des franges vulnérables.
Le ministère, dit-il, va s’atteler à réformer le cadre législatif en général afin de l’adapter aux engagements internationaux de la Mauritanie surtout en ce qui concerne la délinquance, le crime organisé et le terrorisme.
A leur tour, Mme Aminetou Mint Ely, présidente de l’association des femmes chefs de ménage et M. Dia, représentant de l’ONG Terre des Hommes - Italie, ont souligné que leur ONGs ont pour but de faire la lumière sur les problèmes des populations marginalisées comme les jeunes, et les enfants en conflit avec la loi ainsi que les victimes de la violence basée sur le genre.
Le coordinateur général du bureau technique de la coopération à l’ambassade d’Espagne, M. Juan Jose Lavin Suarez a précisé que la protection de l’enfant figure parmi les plus importantes garanties et préoccupations de son pays louant la coopération des ministères concernés dans l’amélioration de la situation des enfants mineurs.
La cérémonie s’est déroulée en présence du secrétaire général du ministère de l’intérieur et de la décentralisation, d’une représentante du ministère des affaires sociales, de l’enfance et de la famille, du directeur de la protection judiciaire de l’enfant au ministère, et une assistance nombreuse.
ami