La ministre des affaires sociales, de l'enfance et de la famille, Mme Meymouna Mohamed Taghi a indiqué que la place privilégiée qu'occupe la femme mauritanienne au sein de la société et dans les cercles de prise des décisions est le résultat de la volonté politique visant à l'associer au développement du pays et des efforts qu'elle déploie elle-même à cet effet..
Dans un mot prononcé, vendredi, à l'occasion de sa participation à Tunis aux travaux de la réunion préparatoire régionale de la 62eme session de la commission des Nations unies chargée de suivre la situation de la femme, la ministre a mis en relief l'expérience de la Mauritanie en matière de promotion de la femme en général et de la femme rurale en particulier et les réalisations qu'elle a accomplies au cours des toutes dernières années.
Cette réunion a permis de dégager une vision unifiée arabe sur les sujets à caractère prioritaire, à travers la discussion d'un certain nombre de questions dont l'enseignement, la situation économique des femmes et des filles en milieu rural, la réalisation de la sécurité alimentaire et l'éradication de la violence, sous toutes ses formes, contre les femmes et les filles rurales.
La ministre des affaires sociales, de l'enfance et de la famille avait participé, auparavant, aux travaux de la 37eme session de la commission de la femme arabe dans la capitale tunisienne.
Dans un communiqué publié à cette occasion, la commission a insisté, au terme de ses travaux, sur l'importance de poursuivre le développement des lois et des législations et de bannir toutes les formes de ségrégation dans le but de renforcer la place de la femme et de préserver sa dignité humaine.
Elle a, en outre, appelé les institutions arabes à matérialiser, en collaboration et en concertation avec la société civile et les organisations régionales et internationales, les droits humains des femmes et à dynamiser leur rôle dans le développement, la préservation de la sécurité, de la paix et de la stabilité dans les pays où elle vivent.
Elle a enfin appelé à un échange d'expériences et à des pratiques réussies au niveau arabe et international en vue du suivi de l'atteinte des objectifs escomptés à travers les mécanismes concernant les affaires féminines au niveau national.
source AMI
Dans un mot prononcé, vendredi, à l'occasion de sa participation à Tunis aux travaux de la réunion préparatoire régionale de la 62eme session de la commission des Nations unies chargée de suivre la situation de la femme, la ministre a mis en relief l'expérience de la Mauritanie en matière de promotion de la femme en général et de la femme rurale en particulier et les réalisations qu'elle a accomplies au cours des toutes dernières années.
Cette réunion a permis de dégager une vision unifiée arabe sur les sujets à caractère prioritaire, à travers la discussion d'un certain nombre de questions dont l'enseignement, la situation économique des femmes et des filles en milieu rural, la réalisation de la sécurité alimentaire et l'éradication de la violence, sous toutes ses formes, contre les femmes et les filles rurales.
La ministre des affaires sociales, de l'enfance et de la famille avait participé, auparavant, aux travaux de la 37eme session de la commission de la femme arabe dans la capitale tunisienne.
Dans un communiqué publié à cette occasion, la commission a insisté, au terme de ses travaux, sur l'importance de poursuivre le développement des lois et des législations et de bannir toutes les formes de ségrégation dans le but de renforcer la place de la femme et de préserver sa dignité humaine.
Elle a, en outre, appelé les institutions arabes à matérialiser, en collaboration et en concertation avec la société civile et les organisations régionales et internationales, les droits humains des femmes et à dynamiser leur rôle dans le développement, la préservation de la sécurité, de la paix et de la stabilité dans les pays où elle vivent.
Elle a enfin appelé à un échange d'expériences et à des pratiques réussies au niveau arabe et international en vue du suivi de l'atteinte des objectifs escomptés à travers les mécanismes concernant les affaires féminines au niveau national.
source AMI