Les autorités mauritaniennes sont en quête d’un partenaire privé pour la réalisation d’une route à péage entre Nouakchott et Boutilimitt d’un montant de 292 millions € apprend-t-on de sources sûres.
L’infrastructure (la première du genre en Mauritanie) servira à améliorer la sécurité routière sur la distance qui sépare Nouakchott et Boutilimitt théâtre des accidents les plus mortels dans le pays; elle servira également à l’intégration du territoire et enfin contribuera à l’intégration régionale et à la facilitation du transport et du commerce sur le corridor Nouakchott Bamako.
Najah Major Works promoteur immobilier qui a construit l’Aéroport international Nouakchott Outoumsy avait été pressenti comme partenaire privé de l’Etat mauritanien sur le projet mais cela c’était avant que le promoteur immobilier ne s’embourbe dans des difficultés financières.
Les autorités prévoient un contrat d’exploitation de la route d’une durée de 20 ans ce qui selon les autorités permettra au partenaire privé d’amortir son investissement.
Le projet n’est pas inscrit sur le plan d’action 2020 du ministère de l’Equipement et du Transport, il n’a pas fait non plus l’objet d’un appel d’offres. Tout cela laisse supposer qu’il est possible qu’il soit attribué au terme d’une procédure d’entente directe.
financialafrik
L’infrastructure (la première du genre en Mauritanie) servira à améliorer la sécurité routière sur la distance qui sépare Nouakchott et Boutilimitt théâtre des accidents les plus mortels dans le pays; elle servira également à l’intégration du territoire et enfin contribuera à l’intégration régionale et à la facilitation du transport et du commerce sur le corridor Nouakchott Bamako.
Najah Major Works promoteur immobilier qui a construit l’Aéroport international Nouakchott Outoumsy avait été pressenti comme partenaire privé de l’Etat mauritanien sur le projet mais cela c’était avant que le promoteur immobilier ne s’embourbe dans des difficultés financières.
Les autorités prévoient un contrat d’exploitation de la route d’une durée de 20 ans ce qui selon les autorités permettra au partenaire privé d’amortir son investissement.
Le projet n’est pas inscrit sur le plan d’action 2020 du ministère de l’Equipement et du Transport, il n’a pas fait non plus l’objet d’un appel d’offres. Tout cela laisse supposer qu’il est possible qu’il soit attribué au terme d’une procédure d’entente directe.
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