Le Forum national pour la démocratie et l’unité (FNDU) a décidé de faire opposition aux propositions de réformes constitutionnelles proposées par le régime. Réunis en séance extraordinaire mardi, les membres de ce regroupement ont convenu d’une série d’activités devant faire barrage à cette consultation portant sur des amendements relatifs entre autres à la suppression du sénat, des changements à l’hymne et au drapeau nationaux. En plus de meetings populaires et des conférences de presse qu’il compte organiser sur l’ensemble du territoire national, le FNDU compte engager une série de consultations avec les partenaires extérieurs de la Mauritanie.
C’est dans ce cadre qu’il faut placer la rencontre que certains de ses leaders ont eue lundi dernier avec le chef de la Délégation européenne à Nouakchott et les audiences programmées auprès des chancelleries étrangères dans la capitale. Il s’agit pour l’opposition de dénoncer non pas seulement, l’étude du projet de réformes constitutionnelles parlementaire posé sur la table des députés et des sénateurs, mais aussi et surtout la tenue même du dernier dialogue dit inclusif qui selon le FNDU présente des « conclusions nulles et non avenues »..
Contacté à propos par nos soins, le président de Tewassoul est optimiste. « Tous les moyens légitimes et légaux seront mis à profit pour barrer la route au Régime actuel dans son projet de changer la constitution mauritanienne » dira-t-il non sans souligner qu’il compte sur le soutien de la majorité des formations politiques de l’opposition confondue et même des partis politiques de la majorité qui ont participé au dialogue et qui ont finalement été amenés à constater que les conclusions proposées à la lecture des Parlementaires ne sont pas celles qui avaient été retenues lors des conclaves.
Le président de Tewassoul compte surtout sur la solidarité de ces partis pourraient se sentir trahis après que le président de la République qui avait promis, à l’issue de ce dialogue l’organisation d’un référendum populaire pour adopter les modifications constitutionnelles se soit finalement rétracté en convoquant ce mercredi une session extraordinaire du Parlement prélude à une consultation via le congrès du Parlement sur les dites réformes.
Les jours à venir verront ainsi l’activité politique reprendre du poil de la bête. Pour cause, au lieu donc de pacifier le champ politique dans le pays, dans l’impasse depuis le premier mandat du président Mohamed Abdelaziz, en 2009, les nouvelles propositions de réformes, faites sans un consensus impliquant l’Opposition mauritanienne, risquent encore d’aggraver la crise politique dans le pays.
N’GAïdé Hameth
source lauthentic.info
C’est dans ce cadre qu’il faut placer la rencontre que certains de ses leaders ont eue lundi dernier avec le chef de la Délégation européenne à Nouakchott et les audiences programmées auprès des chancelleries étrangères dans la capitale. Il s’agit pour l’opposition de dénoncer non pas seulement, l’étude du projet de réformes constitutionnelles parlementaire posé sur la table des députés et des sénateurs, mais aussi et surtout la tenue même du dernier dialogue dit inclusif qui selon le FNDU présente des « conclusions nulles et non avenues »..
Contacté à propos par nos soins, le président de Tewassoul est optimiste. « Tous les moyens légitimes et légaux seront mis à profit pour barrer la route au Régime actuel dans son projet de changer la constitution mauritanienne » dira-t-il non sans souligner qu’il compte sur le soutien de la majorité des formations politiques de l’opposition confondue et même des partis politiques de la majorité qui ont participé au dialogue et qui ont finalement été amenés à constater que les conclusions proposées à la lecture des Parlementaires ne sont pas celles qui avaient été retenues lors des conclaves.
Le président de Tewassoul compte surtout sur la solidarité de ces partis pourraient se sentir trahis après que le président de la République qui avait promis, à l’issue de ce dialogue l’organisation d’un référendum populaire pour adopter les modifications constitutionnelles se soit finalement rétracté en convoquant ce mercredi une session extraordinaire du Parlement prélude à une consultation via le congrès du Parlement sur les dites réformes.
Les jours à venir verront ainsi l’activité politique reprendre du poil de la bête. Pour cause, au lieu donc de pacifier le champ politique dans le pays, dans l’impasse depuis le premier mandat du président Mohamed Abdelaziz, en 2009, les nouvelles propositions de réformes, faites sans un consensus impliquant l’Opposition mauritanienne, risquent encore d’aggraver la crise politique dans le pays.
N’GAïdé Hameth
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