Ce qu’on attendait et qu’il en parle, d’une année scolaire abrège. Personne n’en parle sinon l’éducateur cupide qui réclame le paiement de ce mois de Juin. C’est un mois d’activités intenses pour l’école. L’occasion pour élèves et enseignants de faire le bilan de l’année scolaire.
Le facteur temps !
Malheureusement aucun « acteur au rang de partenaire de l’école » n’en a parlé. On n’en citera aucun et s’ils se reconnaissent c’est tant mieux et pour leur statut de partenaire il va falloir les y préparer. D’un côté alors l’élève qui ne dispose du temps nécessaire pour parcourir le contenu du programme de l’année et l’autre côté l’incompréhension des acteurs du statut de partenaire. Entendons nous bien, partenaire au sens du distingué Mandela : ce n’est pas ce que tu fais pour moi mais ce qu’on fait ensemble. Pour le dire plus simplement les décideurs vont trop vite, plus vite que les populations sans leur laisser au moins les moyens de les rattraper.
Aucun processus n’a été véritablement entamé pour installer l’école dans les comportements. Du statut état providence on est passé au statut d’état partenaire sans transition devant l’agressivité de l’inflation et de la précarité. Quelle souffrance ! Et dire le décor du régime substantiel est toujours de rigueur. L’acquisition de cette compétence de comportement permet à la fois de poser les questions qu’on pourrait classer de questions spécifiques avec elles l’émergence d’une classe d’acteurs impliqués et le chantier de la réussite scolaire serait tracé.
Comme le dit l’autre pour qu’un pays avance il faut que ces populations doivent difficiles à gérer. Sinon cette belle idée d’A. Baby « l’école n’est pas neutre », belle j’allais dire mercantile et à la fois triste car l’élite qui connait l’importance de l’école y investit beaucoup au prix de segmenter l’école publique et la masse entassée dans des classes en surnombre en est moins consciente, continuera à crétiniser les masses.
alakhbar